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Mer 2 Mai 2018 - 20:53

Anonymous
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A l'intention de Dame Montilyet

Boîte aux lettres de Josephine Montilyet Traitant quotidiennement les missives de l'Inquisition, le bureau de Josephine est souvent bien rempli de courriers divers et variés. Elle garde cependant un temps, chaque matin alors que l'aube est naissante, pour lire ses courriers personnels et y répondre avec toute son attention.


Ven 11 Mai 2018 - 14:21

Tullia E. Von Raijer
Tullia E. Von Raijer

– Garde des Ombres –

Messages : 2520




Très chère Dame Montilyet,


C
e fut un plaisir que d'avoir été reçue dans votre bureau. Je ne manquerais pas de revenir vous voir, ne serait ce que pour déguster un de ces délicieux vins Antivans avec une connaisseuse ! L'uniforme des soldats de l'Inquisition est également une chose affreuse. Beaucoup de pragmatisme mais tout de même... J'ai quelques suggestions qui pourraient vous intéresser, et je serais heureuse de pouvoir en débattre avec vous. Le goût doit primer pour représenter l'Inquisition, ne croyez vous pas ~ ?

A notre prochaine rencontre.

Bien à vous,

Tullia E. Von Raijer,
Garde-Commandeur d'Orlaïs


Jeu 17 Mai 2018 - 11:41

Anonymous
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Très noble Mademoiselle de Montilyet, Ambassadrice de la
Sainte Inquisition, Amie très chère, Muse à mon cœur,


M
a chère amie, soyez consciente que mon cœur a failli exploser à la réception tant attendue d'une réponse de votre part ! Je me suis languis de vous, ô belle antivane, des semaines et des semaines durant, affalé, brisé, inconsolable, devant mon bureau de vieux bois dans l'étude de ma tour ! J'ai ouï dire que vous aviez offert vos incommensurables talents à celle que l'on nomme Inquisitrice - un terme désuet, j'avais bon espoir que vous trouviez mieux. Dès lors, je vous ai imaginé bien seule, entourée de soldats incultes et de bien mauvais goût, à errer dans les couloirs d'une gigantesque forteresse que vous qualifiez vous-même de glaciale ! Horreur ! Vous n'avez qu'un mot à écrire, noble Dame, et je m'empresserai de venir vous chercher sur mon destrier d'argent, bravant les périls des coupes-jarrets et paysans de basse moralité ! Soyez-en consciente, je resterai à jamais votre serviteur devant l’Éternel.
Je suis fort heureux d'apprendre que vous trouvez dans tout ce chaos matière à vous évader vers les lumineuses terres de votre enfance, dans la chantante Antiva dont vous avez pris toute cette beauté. Le vin est le meilleur ami de l'homme, et nous devrions vanter ses mérites encore et encore, que l'on arrête une bonne fois pour toutes de boire de l'eau. Je défaille rien qu'à cette pensée, ô sombre malheur, infamie ! Je suis certain que vous vous en sortez à merveille, comme toujours, et que votre triomphe sera bientôt si éclatant que vous pourrez rejoindre votre pays avec les honneurs et la gratitude de tout Thédas. En attendant, je ne peux que vous conseiller de faire attention à vous, et de penser à écrire à votre humble serviteur dont le cœur ne supportera sans doute pas un long moment sans nouvelles de votre part.
Vertbois peine à se relever des événements récents, mais nous faisons de notre possible, grâce à l'appui très appréciable du très noble Comte Chantral, lui aussi incompris face à l'univers. J'ai bon espoir que nos prochaines vendanges nous permettent de conclure de nouveaux échanges à l'étranger, que l'on vante partout les merveilles de notre vin frais et léger, au goût de miel et de poires. Je vous ferai parvenir avec cette lettre une caisse de notre meilleur cru de l'année 29, j'espère qu'il vous plaira. Maintenant, dites moi : comment se porte votre famille ? J'ai entendu que votre sœur Yvette avait encore fait des siennes lors de la soirée du Marquis De Cergué, il y a quelques semaines : quelle incorrigible pipelette, chapelet à rumeurs ! Saluez la de ma part. Etes-vous, vous aussi, tombé sous le charme du Commandant de l'Inquisition, que l'on qualifie partout irrésistible ? Je ne suis pas certain de pouvoir tolérer un tel affront, si tel était le cas.
Je ferai de mon possible pour m'échapper à mes devoirs si toutefois vous vous décidiez à me présenter une invitation en bonne et due forme. Dans l'attente fébrile d'une réponse de votre part, veuillez accepter, ma Dame, l'expression de mes sentiments les plus amicaux et sincères,

Octave de Gautron


Ven 18 Mai 2018 - 14:44

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Très chère Dame Montilyet,


J
e me permets de vous écrire pour faire suite à notre dernière discussion à propos de Fort Céleste. Je n'ai encore jamais eu la chance de voir votre Forteresse et surtout la neige abondante qui l'accompagne. Comme vous le savez très chère Dame, il est de mon devoir de roi de conserver de bonnes relations entre Ferelden et ses alliés. Quoi de mieux qu'une petite visite amicale pour cela? Ceci n'a donc aucun rapport avec mon envie de revoir la neige et peut-être même y faire un bonhomme de neige. Qu'en dites-vous? Puis-je espérer être reçu à Fort-Céleste quelques jours?

Sans vouloir vous faire pression, il y a plusieurs lunes que je ne suis pas sorti de Denerim et j'ai enfin un peu de temps devant moi. Offrez-moi une raison de lever mes fesses royales de mon trône. En échange, je vous offre une danse au prochain bal auquel nous irons!
Alistair


Ven 18 Mai 2018 - 15:42

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A l'attention de dame Joséphine Montilyet,


M
a dame,

Je souhaiterais solliciter un peu de votre temps afin que nous puissions nous entretenir sur quelques points qu'il me semble important de clarifier, je ne vous importunerais pas longtemps,

Bien à vous,

Kaldenis Tehvenan


Mar 29 Mai 2018 - 2:08

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Un petit paquet soigneusement enrubanné est posé sur le bureau, un pli cacheté posé sur le dessus.
 

   



   
Très chere
Dame Montilyet


   
I
l ne sera pas dit que Zevran Aranaï ne sait pas remercier ses bienfaiteurs. Votre maître espion m'a laissé entendre que vous aviez joué un rôle capital dans la mise en oeuvre de ma fuite d'Antiva. Si c'est le cas je vous dois probablement la vie car fuir les Corbeaux n'est pas une entreprise dans laquelle il est enviable d'échouer. Je suis donc votre endetté. En attendant de pouvoir payer ma dette à l'Inquisition j'ai souhaité vous remercier personnellement pour vos efforts et vous trouverez donc ci-joint une boite contenant ces chocolats au Brandy qui font toujours fureur dans notre belle Antiva, du pain d'épice et du miel. Quoi qu'elle vous dise, je vous en prie, ne laissez pas Leliana vous subtiliser les chocolats, je lui en ai fait livrer une boite également.

Bien à vous

   
Zevran


   

Mar 29 Mai 2018 - 10:03

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Très cher Dame Montilyet,


C
hère ambassadrice, si je viens avec vous en cette triste période de chaos c'est dans un premier temps pour vous annoncer mon soutien inflexible à l'inquisition en ces temps troubles. Ce soutien est de moindre importance au vu de ma nouvelle situation mais je pense néanmoins qu'un échange de service vous serez profitable tout autant qu'à moi. Je fais fasse à un problème de taille, les Albyons, mes ancêtres, ont possédés pendant une très longue période une large parcelle des terres au sud de val-Royeaux, ils étaient réputés pour leur vin. J'aimerais reprendre ces terres, je suis sûr qu'il existe un moyen juridique pour annuler l'exil des Albyons mais ne connaissant rien de la politique Orlésienne, je me tourne vers vous.

Sachez que si je récupère mes titres de noblesse et mes terres, vous auriez un allié inconditionnel autant en Orlaïs qu'en Nevarra, que ce soit sur le plan diplomatique, militaire ou économique. je pense que contre seulement quelques conseils ou certains noms, c'est une proposition assez avantageuse sans que cela ne vous implique outre mesure. En l'attente d'une réponse favorable, votre, j'espère, future amie.

Elysa


Mar 26 Juin 2018 - 19:32

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Dame Montilyet


J
e me permet de vous écrire en votre qualité d’ambassadrice de l'Inquisition. Si vous avez eu la générosité d'accueillir la Garde orlésienne après le tragique incident à l'inébranlable, nous n'avons pas encore eu l'occasion de dialoguer sur la relation entre les Gardes féreldiens et votre toute nouvelle organisation. En des temps si troublés, une alliance est nécessaire pour la survie du plus grand nombre.
Dans cette idée de relation entre nos deux ordres
Mais vous comprenez évidemment mon désir d'une rencontre plus concrète. J'ignore quelles sont vos propositions, et votre vision des événements prochains.
Dans l'attente de votre réponse,
Wulf Cousland
Commandeur Garde de Férelden
Iarl d'Amaranthine


Mer 25 Juil 2018 - 18:40

Tullia E. Von Raijer
Tullia E. Von Raijer

– Garde des Ombres –

Messages : 2520
Plusieurs missives ont été déposées par « hasard » sur le bureau de l’ambassadrice, quelques jours suite à la disparition soudaine de tous les Gardes des Ombres du campement du bord du lac, lors d’une nuit sombre et embrumée. Une de ces missives est adressée à l’ambassadrice elle-même :





Très chère Dame Montilyet,


V
ous avez dû être surprise de notre départ soudain et de ne pas avoir été prévenue en avance de notre mouvement de troupes. Mais ne vous en faites pas, c’était bien intentionnel et les raisons pragmatiques n’étaient pas là pour vous nuire d’un point de vue de l’organisation. Nous avons laissé le matériel emprunté à l’Inquisition telles que les tentes et nous ne sommes partis qu’avec le strict nécessaire. Pardonnez simplement que nous n’ayons pas tout plié, pour rester discret et ne pas éveiller les soupçons.

Je sais que cette nouvelle va en soulager bon nombre à Fort Céleste, l’absence des Gardes (et de moi-même) allant surement être une bouffée de calme, notamment pour vous. Mais n’ayez crainte, je me ferais fort de venir fréquemment faire des visites, ne serait-ce que pour avoir des nouvelles et entretenir la belle relation avec certains de vos hommes. Et puis, ne pas entendre vos soupirs de désespoir et voir vos jolis yeux se lever vers le ciel quand je suis inconvenable serait une bien triste chose.

Le départ a été soudain et non annoncé pour des raisons de sécurité, tout simplement. Nous sommes encore vulnérables, et tant que notre nouveau centre de commandement n’a pas été pleinement sécurisé et pris en main nous ne pouvons révéler à qui que ce soit son emplacement. Même à votre chère Inquisitrice. Mais vous le saurez bien assez tôt, j’en suis certaine, et nous vous communiquerons alors le meilleur moyen pour nous contacter de façon officielle.

Je vous salue et ne tarderais pas à apparaitre par surprise avec un bouquet de fleurs.


Tullia E. Von Raijer,
Garde-Commandeur d'Orlaïs


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