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Mar 24 Juil 2018 - 22:44

Anonymous
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La force de nos rêvesEliwendë & Tiberius


Elle avait terminé son travail avec le commandant plutôt que prévu aujourd'hui. En fait, sa journée avait commencé un peu plus tard puisqu'il avait dû envoyer un homme la chercher. Cela ne semblait pas l'avoir mis de bonne humeur pour commencer la journée, mais il avait peut-être autres choses derrière la tête. De toute façon, ce n'est pas comme si elle avait dormi toute la matinée en évitant d'aller travailler. Elle avait rencontré un garde des Ombres et lui avait fait la visite du Fort. Enfin, la visite était un très grand mot, elle avait seulement eu le temps de lui montrer les écuries, donc elle n'avait presque rien pu lui montrer. Sauf qu'à voir l'heure présentement, il avait probablement déjà finit sa visite depuis quelques heures. Le Fort n'était pas SI grand.

Elle attachait son arc dans son dos solidement, pas question qu’il bouge de là pendant son petit voyage. Elle rattacha ses bottes deux fois plutôt qu’une pour être certaine qu’elle n’allait pas bouger. Avec la neige, cela pouvait devenir un problème si elle passait son temps à perdre ses bottes en essayant d’avancer. Snow aussi était prêt pour le départ, avec son petit foulard, il attendait le moment avec impatience. Cela faisait des jours qu’elle ne l’avait pas sorti de la forteresse de l’Inquisition et il allait devenir complètement fou s’il restait encore ici longtemps. La nature l’appelait et si elle continuait à l’ignorer, il allait simplement partir tout seul.

Une fois bien préparer, elle sortit à l’extérieur de sa chambre qui se trouvait sur les remparts pour descendre les marches là menant à la cours. Elle était bien armée et prête pour aller à la chasse. Elle observa légèrement les gens autour et elle crut reconnaître Barker, le garde des Ombres. Elle eut un léger sourire sur son visage et la semi-elfe s'avança rapidement vers lui pour le saluer. Elle avait dû partir si vite la dernière fois, il était simplement poli de venir le saluer dignement. Son loup suivait juste derrière elle et observait ce qui les empêchait de partir immédiatement à la chasse.

- Sir Barker. Elle s’arrêta à ses côtés sans arrêter de lui sourire. Je voulais vous saluer avant de partir à la chasse. La visite du Fort c’est bien passé ? Snow venu le saluer également, mais il gardait ses distances avec lui plus que la semi-elfe pouvait faire. Je suis désolée d’avoir dû quitter si rapidement, mais je n’aime pas faire attendre mon supérieur.

© YOU_COMPLETE_MESS

Dim 29 Juil 2018 - 14:09

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Titre du rp



TIberius avait en effet terminé sa visite. Il avait passé sa journée à être nerveux et à regarder partout autour de lui pour voir s’il voyait Eliwendë. Il voulait la revoir. Il devait la revoir. il devait absolument lui parler.

Plus les heures avançaient et plus Tiberius pensait qu’il n’allait pas la revoir. La vie lui avait donné un indice, mais allait faire en sorte qu’il ne la revoie plus jamais, juste assez pour lui donner de l’espoir et le faire chier éternellement par la suite.

Quand la fin de la journée se pointa, Tiberius alla se promener une dernière fois. Lorsqu’il sentit quelqu’un mettre sa main sur son épaule, il se retourna. C’ÉTAIT ELLE! C’ÉTAIT ELIWENDË! LA VIE NE L’AVAIT PAS ABANDONNÉ APRÈS TOUT… Enfin, c’est ce qu’il espérait.

Pendant qu’ Eliwendë lui parlait, il avait une expression comme en choc un peu, la même face qu’il avait faite quand il avait entendu son nom de famille.

-Quoi? Uhm, oui, oui. C’est correct, je comprends...

Il semblait clairement distrait ou préoccupé par quelque chose, mais par quoi? Il ne regardait pas ailleurs, il n’avait même pas regardé Snow. Tiberius remarqua son habillement et son arc.

-Vas-t-- Allez-vous chasser en forêt? Si vous me le permettez, je voudrais vous accompagner. J’aurais besoin d’un moment pour vous parler en privé.

Il regarda Snow et retourna son regard sur la jeune elfe en attendant sa réponse.

Eliwendë pouvait se dire que Tiberius allait peut-être essayer de l’agresser. Il avait l’air nerveux et bizarre après tout. Mais il avait regardé Snow et il était au courant que le loup allait l’attaquer s’il s’essayait sur elle, donc ça diminuait les soupçons. De plus, il avait montré beaucoup de respect pour elle, c’était peu probable qu’il avait de mauvaises intentions .


Lun 6 Aoû 2018 - 19:48

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La force de nos rêvesEliwendë & Tiberius


Elle fut surprise lorsque le garde des Ombres se proposa volontaire pour venir avec elle à la chasse. Plusieurs personnes n'aimaient pas cette possibilité à cause du froid et de la neige. De plus, la plupart des gens savaient qu'elle ne restait pas dans les pistes une fois à l'extérieur de Fort Céleste, sinon elle n'aurait jamais trouvé le roi de Ferelden. Faire du hors piste, ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir suivre le rythme, surtout dans la neige, mais elle avait confiance qu'un garde en serait capable. Après tout, Blackwall y arrivait, bien qu'elle soit convaincue qu'il jurait sous sa barbe, assez bas pour qu'elle ne puisse pas l'entendre. Il était le bienvenue s'il voulait l'accompagner, mais il allait devoir suivre la cadence et surtout ne pas faire fuir toutes ses proies en faisant un vacarme d'humain.

C'est lorsqu'il mentionna qu'il voulait lui parler d'un sujet privé qu'elle fut un peu plus déconcentré. Un sujet privé avec elle ? Elle lui avait à peine parler, de quoi pouvait-il bien s'agir ? Il ne semblait pas le genre d'homme à faire des blagues ou bien des surprises, alors il devait surement le dire sérieusement. La semi-elfe n'avait aucune idée de la nature du sujet et cela la rendait légèrement nerveuse, elle espérait qu'elle ne l'avait pas froissé lors de leur première rencontre. Peut-être avait-elle fait quelque chose que les humains ne faisaient pas entre eux ? Pourtant, elle avait de plus en plus d'expérience en la matière et elle s'en sortait plutôt bien maintenant. Le seul moyen de savoir, c'était de l'emmener à la chasse.

- Vous pouvez m’accompagner, mais assurez-vous d’être bien préparer, le froid sera mordant dès la nuit tomber.

Elle sortit de Fort Céleste avec lui avec Snow qui lui emboîtait le pas. Une fois hors des murs de la forteresse, le vent ainsi que le froid commençait à frapper contre lui sans merci. Il y avait en plus l'altitude des montagnes qui rendaient la chose encore plus ardue. La semi-elfe en avait l'habitude depuis des mois, alors dès qu'elle termina le sentir qui les amenaient plus bas, au campement du lac, elle tourna pour commencer à faire du hors piste. Elle demanda à Snow d'aller devant et le loup se mit à renifler le sol en avançant, il guidait le pas. À partir de maintenant, elle le suivait, donc elle avait un peu plus de temps pour leur nouveau compagnon. Essayant d'être le plus possible à sa hauteur en marchant dans la neige, elle le regarda en replaçant son foulard.

- J'espère que je ne vous ait pas offensé. Je viens d'un clan dalatien et il m'arrive souvent de remarquer que plusieurs coutumes sont différentes, je ne voulais pas vous froisser si tel à été le cas.

Le vent coupait légèrement sa voix, mais il pouvait très bien l’entendre, cette chasse allait être ardue, mais le gain en serait encore plus mérité.

© YOU_COMPLETE_MESS

Lun 13 Aoû 2018 - 1:05

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Titre du rp



Tiberius n’était pas au courant des habitudes de chasse d’Eliwendë. Il avait simplement besoin d’avoir un moment seul avec elle. Il était prêt à la suivre, peu importait en ce moment à ses yeux, à part leur conversation. Il allait faire attention, mais son but n’était pas de chasser avec elle, mais bien de lui parler. Il acquiesça lorsqu’elle lui mentionna qu’il pouvait la suivre.

- Merci beaucoup mademoiselle Eliwendë. Je ferais de mon mieux pour ne pas être un boulet pour vous.

Tiberius suivait juste derrière elle. Pour le moment, il n'entendait que le sifflement du vent froid à ses oreilles. La neige poudreuse virevoltait et lui refroidissait les joues, mais il ne se plaignait pas, le froid allait bientôt engourdir la surface de sa peau et il n’allait plus sentir les petits pincements causer par la neige. Quand Eliwendë bifurqua pour aller en hors-piste, il sacra dans sa tête. Son armure était lourde et marcher dans de la neige folle  n’était pas la chose la plus facile. Tiberius ne fit aucun commentaire et la suivit, c’est lui qui avait demandé de la suivre après tout.

Quand elle se mit à sa hauteur, il regarda un peu autour pour voir si la place était bien choisie pour avoir cette conversation. Personne n’était présent et personne n’allait venir les interrompre puisqu’ils étaient hors-piste. Il la regarda quand elle replaça son foulard et lui adressa la parole. Le fait qu’elle brise le silence la première était parfaite, il allait probablement moins chercher ses mots. Il était très nerveux sous sa carapace, le froid ne risquait pas de l’atteindre pour le moment puisque son coeur allait vite. Tiberius haussa des sourcils quand elle mentionna d’où elle venait. Un autre détail qui concordait.

- Vous ne m’avez pas offusqué du tout. C’est très loin de ça.

Tiberius s’arrêta, il ne voulait pas continuer à marcher et être à bout de souffle en lui parlant.

- Ce que je vais te dire va sembler irréel et très soudain, mais j’ai besoin que tu m’écoutes jusqu’au bout.

Il regarda Eliwendë pour voir si elle allait l’écouter attentivement.

- Presque toute ma vie, j’ai été à la recherche d’une personne. Cette personne est en fait la raison pourquoi je suis encore ici en ce moment. L’imaginer m’a toujours donné de l’espoir et le courage de toujours résister et de rester en vie. Pour elle.

Quand j’étais templier, il y a de ça quelques années, je suis tombé en amour avec un mage. Nous avions fait attention, mais la vie à tout de même trouver son chemin. Je l’ai donc aidé à s’enfuir pour donner une chance à notre enfant d’être libre et de vivre une belle vie.  

Le nom de ce mage était Evelyn Katlyz. C’était une elfe. Je lui ai donné une deuxième chance à elle aussi de retrouver les siens et de vivre pleinement. J’étais vraiment dévasté lorsque j’ai retrouvé son clan dalatien et que j’ai appris sa mort. J’ai su par contre que mon enfant était une fille, mais je n’ai jamais pu la voir.  

Pardonne-moi de te compter tout ça, mais c’est important, puisque je pense que tu es peut-être ma fille…


Tiberius la regarda, il savait qu’il venait de lâcher une bombe sur elle en lui disant ça. Si elle n’était pas la personne qu’il pensait qu’elle était, il venait de partager des secrets qu’il n’avait jamais dits à personne…

Il attendit une réaction quelconque de sa part, mais il s’attendait au pire.

Dim 2 Sep 2018 - 20:10

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La force de nos rêvesEliwendë & Tiberius


Lorsqu'il s'arrêta de marcher, la semi-elfe en fit de même en se retournant vers lui. Peut-être avait-il déjà envie de rebrousser chemin en voyant le genre de soirée qu'il allait passer avec elle. Elle ne pouvait pas lui jeter une pierre pour ça, il est vrai que la plupart des humains n'avaient pas l'habitude de suivre des chasseurs Dalatiens dans ce genre de conditions. Ils n'étaient pas encore aventurés très loin, il allait retrouver son chemin tout seul si tel était le cas, on voyait encore Fort Céleste au loin. Elle pencha légèrement la tête sur le côté lorsqu'il lui disa qu'il allait lui parler de quelque chose d'irréel, mais qu'il avait absolument besoin de lui dire. De quoi parlait-il ? Ils n'étaient que des étrangers et il semblait se préparer à lui sortir un grand discours. Cela la mit immédiatement que ses gardes. Quelque chose ne tournait pas rond dans toute cette histoire. Il attendait d'être seule avec lui, dans les montagnes, pour lui sortir un grand discours.

Elle resta immobile en l'écoutant. Elle cligna à peine des yeux en mettant tous ses mots en place dans son esprit. Personne ne connaissait le nom de sa mère à Fort Céleste. Il ne pouvait pas inventer ce genre de choses. S'il sortait ce nom, c'est qu'il la connaissait ou avait entendu parler d'elle. Depuis tout ce temps, la plupart des gens avaient oublié. Sauf, qu'il affirmait plus que simplement la connaître, il affirmait qu'il avait eu un enfant avec elle. Donc ... il se disait son père. Encore une fois, comment pouvait-il savoir que son père était effectivement venu au clan Dalatien et que Marevera l'avait chassé ? Pour qu'il le sache, cela devait lui être arrivé à lui.

Il y avait un silence très lourd entre eux, pendant qu'Eliwendë brassait un million d'idées dans son esprit, ne sachant pas du tout comment réagir à ce genre de situation. Normalement, elle évitait que des gens puissent devenir aussi proche d'elle et savoir la vérité. Lui, il était un parfait inconnu, mais il en connaissait déjà beaucoup plus que la plupart des gens qui la côtoyaient depuis des mois. Son père le templier ... Un parfait inconnu qui devenait la famille la plus proche qu'il avait. La famille qu'elle n'avait jamais eue. Il était trop tard pour revivre son enfance, mais peut-être pas pour le reste ? Elle fit un pas vers lui avant de reculer. Il restait un inconnu. Un humain qui avait fait une croix sur elle et sa mère pour leur donner leurs meilleures chances. À quoi s'attendait-il comme réponse de sa part ?

Elle commença à respirer rapidement en le fixant. Est-ce que cela voulait dire qu'elle ne serait plus jamais seule ? Elle devait croire qu'il ne disait pas de mensonge, parce qu'elle ne voyait vraiment pas ce que cela lui apporterait de mentir à ce sujet. Elle n'avait aucun titre, aucune information qui pourrait lui être utile, elle n'était personne. Il n'avait aucun intérêt à lui dire des mensonges et de toute façon, il détenait des informations que seul son père aurait. La semi-elfe n'aurait jamais pensé une seconde que son père est pu passer sa vie à la rechercher. Elle avait toujours été certaine qu'il l'avait rayé de sa vie.

- Ma mère ... s'appelait Evelyn Katlyz. Elle s'est enfuit du cercle avant de me mettre au monde et mourir. Mon père est un Templier ... À moins que ma mère ait eu plusieurs amants ... Je crois que je suis votre fille. Il n'y a que mon père qui pouvait savoir qu'il était revenu au clan Dalatien alors que j'étais encore une enfant et qu'on lui a refuser l'entrée, pour me donner la meilleure des chances avec les Dalatiens.

Elle aurait voulu avoir une voix beaucoup plus dure et ne pas sembler aussi toucher parce qu'il venait de lui annoncer, mais elle ne le pouvait pas. Elle était touchée et elle se sentait sans défense devant lui, comme s'il pouvait déjà tout savoir d'elle sans même l'avoir connu. Elle retrouvait cette partie humaine d'elle qu'elle avait cherché depuis longtemps, pour essayer de comprendre entre quoi elle balançait.

Elle venait de lui avouer qu’elle pensait être sa fille sans avoir fait la moindre recherche ou bien prit le temps d’y penser quelques secondes, mais avec ce qu’il venait de lui dire, elle ne pouvait pas avoir de doutes et de toute façon … il semblait aussi désespérer qu’elle d’avoir retrouver sa famille qu’il avait cherché toute sa vie.

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Dim 16 Sep 2018 - 18:07

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Ça y est, il lui avait dit. Il venait de tout dire. Tiberius regarda Eliwendë avec un air très sérieux. La tension entre eux était lourde, la froideur de l’air n’aidait pas du tout la situation. Le vent sifflait entre les branches des arbres, la fine couche de neige en surface s’envolait avec celui-ci. Les flocons fondaient sur leur peau chaude en laissant une sensation froide sur leurs joues. Un frisson parcouru le corp de Tiberius, Eliwendë ne disait rien et  semblait perturbé. Soit elle avait cette expression parce qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il parlait ou parce qu’elle se sentait interpellée.

Lorsqu’elle fit un pas vers lui, il ne bougeait pas. Elle aurait pu le frapper, le gifler et il n’aurait pas bougé d’un poil. Il la regarda reculer, ce bref geste lui en disait long sur ce qui se passait à l’intérieur d’elle. Peut-être qu’elle hésitait, mais puisqu’elle n’avait pas l’air d'être en désaccord, c’était bon signe.

Tiberius l’écouta attentivement. Ce qu’elle disait faisait du sens et ça lui indiquait qu’Eliwendë en savait un peu sur lui. C’était mieux que de rien savoir du tout. Leurs histoires étaient les mêmes. Les mots < Je crois que je suis votre fille > résonna dans son esprit, le temps s’arrêta et passa au ralenti ensuite. Toute sa vie il avait attendu ce moment. Dans les nuits qu’il rêvait au lieu d’avoir des cauchemars, c’est ce rêve qui se passait, sauf que cette fois c’était réalité. Il pouvait enfin mettre un visage sur la personne qu’elle était, elle était proche de lui, il pouvait la voir respirer. Il regarda ses lèvres bouger et la buer qui en sortait dû au contraste de sa respiration chaude au contacte de l’air froid. Il aurait voulu la prendre dans ses bras et écouter son coeur battre pour s’assurer que c’était bien vrai, mais les deux n’avaient pas de relations et c’était vraiment creepy de faire ça.

Son esprit  essayait encore de lui jouer des tours. Sa petite voix au fond de sa tête lui disait que ce n’était qu’un rêve, que ce n’était pas réel, qu’elle ne respirait pas, qu’il était probablement dans un cauchemar et qu’Eliwendë n’était qu’une trappe pour le tirer en enfer. Tiberius ne voulait pas encore avoir de déception alors il la regardait toujours de son air sérieux et s’attendait au pire. Le pire allait arriver d’une minute à l’autre … Maintenant … Mais rien ne se passait. Eliwendë parlait encore, son visage ne se déformait pas ou ne prenait pas feu, aucun monstre ne sortait des bois. Il ne rêvait pas? Il ne rêvait pas. S’il avait été seul, il aurait probablement pleuré tellement il était heureux en ce moment. Il n’avait pas ressenti cette joie depuis très très longtemps. Il en avait même oublié la sensation. Son coeur voulait lui sortir du torse. Son esprit devenu plus clair, il sortit de sa bulle et remarqua qu’Eliwendë avait terminé de parler.

- Eliwendë, si ça ne te dérange pas, je vais te tutoyer, tu peux faire de même… Je suis désolé si j’ai été brusque avec cette nouvelle. Lorsque j’ai entendu ton nom complet, je n’ai pas pu attendre plus longtemps. Je suis très heureux d’entendre que nos versions concordent … Très heureux. Je ne suis pas ici pour bien longtemps, mais j’aimerais développer ma relation avec toi.

Son regard restait très intense, son coeur battait très fort dans sa poitrine, il en avait même chaud malgré le froid poignant.


Mer 19 Sep 2018 - 3:25

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La force de nos rêvesEliwendë & Tiberius


Elle avait longuement imaginé ce que ce serait d'avoir une famille, mais un père plus particulièrement. Marevera avait fait office de mère, bien qu'elle n'est jamais remplacé la mère que la semi-elfe s'était crée dans sa tête, imaginé pour trouver le sommeil. Le genre d'esprit à qui on peut tout dire sans la moindre représailles, ce qui était loin d'être le cas de son Archiviste. Une figure paternel, elle n'avait jamais eu l'ombre de ça. S'imaginer avoir un père, c'était de regarder les autres enfants et se mettre à leur place. Seulement ça, seulement envier, sans jamais pouvoir l'avoir à son tour. Maintenant qu'elle l'avait devant lui et qu'elle pouvait mettre un visage sur le géniteur de la partie humaine en elle … Eliwendë s'en voyait soulager. Il avait l'air normal, l'air d'un simple humain qui avait mûri avec l'expérience des années.

Elle pouvait le voir dans ses yeux, qu'il en avait vu d'autres. Quelques fois, elle oubliait que les autres pouvaient eux aussi cacher leurs démons de l'autre côté du miroir. Elle n'était pas la seule à avoir fait des choses qu'elle regrettait et probablement pas là seule à cacher certaines choses qu'on aimerait pas parler autour d'un feu. De ce qu'elle savait pas Marevera, son père avait fait son possible. Dans sa situation, il n'avait pas eu un millier de choix et l'abandonner était dans le simple but de lui donner la meilleure des chances. Par contre, il y a une différence entre la mort et l'abandon et bien qu'elle savait maintenant à son âge qu'il ne l'avait pas abandonnée par choix, se faire abandonner laisse des marques sur le coeur.

Elle ne savait pas comment elle arrivait à garder ses émotions à l’intérieur d’elle, à rester aussi stoïque devant ce raz de marée d’émotions. Pourtant, elle le devait. Si elle n’arrivait pas à ravaler tout ça, elle savait très bien ce qui l’attendait et la dernière chose qu’elle voulait, c’était d’un père Templier paniqué à la vue d’une mage en perte de contrôle. Elle continuait de respirer librement sans jamais trahir son envie d’hurler. Elle ne savait même pas si elle hurlerait de rage ou bien de joie, ses sentiments se bousculaient à l’intérieur d’elle et ne savait pas lesquels d’entre eux primaient sur l’autre. Elle l’écouta doucement en hochant de la tête comme l’aurait fait un robot dans la même situation, en restant dans les convenances.

- Je crois que nous méritons tous les deux une deuxième chance … de repartir là où la vie nous a séparé.


26 ans plus tard … mais c’était mieux que rien. Elle n’avait peut-être pas eu de père pour le début de sa vie, mais cela ne voulait pas dire qu’elle n’en aurait pas un présent maintenant. Enfin … semi présent. Avec son titre de garde des Ombres, il ne pouvait pas faire ce qu’il voulait. Bien que Blackwall le faisait. Elle devait un jour lui demander pourquoi il était aussi libre malgré son titre.

- Pourquoi ne pas commencer par cette chasse … Je crois retenir de toi cette envie de solitude.

Elle avait cru remarqué qu'il ne semblait pas aimer s'entourer de trop de personnes et par sa démarche et son air au visage, il les repoussait probablement. La semi-elfe pouvait sembler plus sociale au premier coup d'oeil, délivrant des sourires à qui voulait bien la regarder, mais une fois le masque tomber, son père pouvait bien voir qu'elle était beaucoup plus naturelle ici, dans le grand air, avec son loup, sur la piste d'une bête qui lui servirait de souper. Une bourrasque de vent puissant lui rappela qu'il n'était pas une bonne idée de rester immobile lors de température aussi basse, alors elle lui fit signe de continuer avec elle, sauf que cette fois, elle ne le laissa pas derrière. Snow avait déjà pris beaucoup d'avance sur eux, n'ayant guère d'intérêt pour des petits discours émotifs.

- Ma mère … comment était-elle ?

Cette question semblait lui brûler les lèvres depuis qu'ils marchaient côte à côte dans le blizzard.

- On m'a dit très peu de choses sur elle … On m'a dit que je ne lui ressemblais pas beaucoup, mis à part pour mes cheveux.

Elle le fixa en continuant de marcher, cherchant à voir une réaction dans ses yeux. Elle avait les yeux de son père, même que la plupart d’elle semblait être une pâle copie du garde, sauf ses longs cheveux blonds qui cachaient ses petites oreilles pointus. Le genre de détail qu’on ne voyait pas souvent chez une semi-elfe. Quelque chose qui la rendait unique, mais aussi une proie de choix parmis les humains. Il était le seul encore capable de lui parler de sa mère … de lui donner quelques détails auxquelles elle pourrait se raccrocher lorsqu'elle perdait tout espoir au levée de la nuit. Le genre de détails qui l'aideraient à la sentir vivre au travers d'elle.

© YOU_COMPLETE_MESS

Jeu 27 Sep 2018 - 2:21

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Eliwendë pouvait se compter chanceuse, comme elle avait observé, il n’était pas un homme qui aimait la compagnie, mais pourtant, il souhaitait développer sa relation avec elle. Il voulait apprendre à la connaître. Il savait qu’elle n’allait peut-être pas être comme il se l’avait imaginé, qu’elle allait peut-être aimer toutes les choses contraires à lui ou même lui tapper sur les nerfs, mais c’était sa fille, sa seule famille qui lui restait. Elle était sa dernière chance d’avoir une relation avec quelqu’un. Quand Tiberius la regardait, sous sa nervosité, il ressentait déjà une grande fierté pour elle et beaucoup d’amour inconditionnel. Il n’avait jamais été un père pour personne, autant qu’Eliwendë ne savait pas ce qu’était eu un père, il ne savait pas plus comment en être un. Les deux allaient le découvrir ensemble.

Lorsqu’elle acquiesça, il Souria légèrement. Une deuxième chance était les bons mots, elle ne pouvait pas s’imaginer la culpabilité qui le hantait; à quel point son coeur s'était brisé en mille morceaux lorsqu’il avait embrassé Évelyne et son ventre pour une dernière fois, avant de la voir disparaître doucement, sans savoir ce qui allait lui arriver. Tiberius avait souvent rêvé de son enfant à un très jeune âge, c’était de très rare, mais très beau rêves pour lui. Même si elle n’était plus un bébé et qu’il ne pouvait pas remonter le temps, il allait prendre sa deuxième chance avec joie et faire le mieux qu’il le pouvait.

Il regarda droit devant pour observer où était rendu le loup. Avec le blanc de la neige au sol, le blizzard et la distance, il ne le voyait pas. Les traces allaient faire l’affaire, elles n’étaient pas encore effacées.  

-Ah, si tu as envie d’être seule, ça doit venir de moi, en effet. Très bonne idée, j’te suis, tu sembles être habitué de chasser hors-piste.

Tiberius marcha aux côtés de sa fille, elle n’était pas très grande pour son âge, quoique sa mère n’était pas très grande non plus, avec son armure il se sentait un peu imposant à côté d’elle. Qu’elle aime la solitude ne le surpris guère. Il l’avait surprise très tôt le matin en train de lire seule. Elle avait un loup, ça repoussait probablement les gens également.

Le silence prit place, les bruits de leur pas dans la neige et le vent était les seules choses audible. Les animaux se cachaient, avec cette température peu agréable. Lorsque Eliwendë brisa le silence et demanda à propos de sa mère, Tiberius regarda un peu vers le ciel, un peu comme s’il voulait regarder sa bien-aimée au ciel, puis il regarda sa fille avec des yeux un peu plus brillants et un léger sourire aux lèvres.

-Ta mère était unique. Physiquement elle était ravissante, jamais une femme ne m’avait fait autant d’effets. Elle était un peu plus grande que toi, mais de peu. Elle avait également une grande délicatesse malgré sa solidité et sa force. En te regardant, je pense que tu as également ce trait. Tu dégages le calme, mais à l’intérieur tu sembles avoir une grande flamme qui n’attend que d'être relâche.

Il prit une petite pause avant de continuer, tout ce qu’il lui disait était d’un ton positif. Ça faisait changement et beaucoup de bien d’être joyeux pour une fois.

-Mentalement Évelyne était très intelligente. Elle a été très patiente avec moi. Ça a été long avant que j’accepte quoi que ce soit et ma vision des elfes n’était pas la meilleure. J’étais comme tout le monde en fait, j’avais les mêmes préjugés. Ta mère m’a ouvert l’esprit, elle m’en a appris beaucoup. Elle m’a partagé sa culture, ses intérêts et son amour. C’était une femme passionnée, quand nous avons appris qu’elle était enceinte, elle était heureuse et elle t’aimait déjà tellement fort. J’aurais tellement voulu être avec elle à ta naissance. J’aurais voulu l’aider et te prendre dans mes bras. J’aurais vraiment voulu être présent jusqu’à la fin.

La voix légèrement cassante, il se racla la gorge. Ça allait trop loin trop vite. Elle ne lui avait pas demandé un roman de sa vie. Tiberius regarda droit devant lui, sans sourire. Sans pleurer non plus. Sa fille pouvait voir qu’il n’était pas ignorant et qu’il s’en voulait. Qu’il était blessé. Il ajouta d’un ton sarcastique :

-J’ai vraiment le don de rendre toute situation joyeuse, très dépressive..


Dim 30 Sep 2018 - 17:28

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La force de nos rêvesEliwendë & Tiberius


Entendre parler de sa mère … sans mensonge cette fois. Par quelqu'un qui l'avait vraiment connu. Lorsqu'il commença à parler d'elle, elle sentait ses mains qui commençaient à trembler. Raconter par quelqu'un qui l'avait aimé, chérie, qui lui avait fait un enfant. D'entendre la vérité lui faisait peur, en même temps de lui amener un grand bien. Jusqu'à tout récemment, elle était convaincue que personne ne pourrait jamais lui parler de sa mère, mis-à-part Marevera qui avait toujours dit la même version. Une elfe perdue. Une elfe citadine perdue qui avait essayé de se faire une nouvelle vie et qui était morte avant qu'elle ne commence. Elle n'avait jamais su les traits qu'elle retenait d'elle, à quel point elle lui ressemblait ou pas. Maintenant qu'elle voyait son père, elle comprenait qu'elle ne retenait pas sa grandeur de lui. À comparer elle, il avait l'air d'un géant, mais tous les hommes avaient l'air de géant à côté d'elle.

Sauf que si on oubliait sa grandeur ainsi que la couleur de ses cheveux, elle voyait tous les traits physiques qu'elle retenait de lui. Elle en verrait surement plus avec le temps, mais certains étaient frappant, comme ses yeux. Il n'y avait aucun doute que ses yeux venaient de lui, avec ce gris frappant. L'étincelle qui les animent était différente, mais tous les deux avaient ce regard troublé.

Lorsqu’il énonça qu’il voyait une flamme à l’intérieur d’elle qui n’attendait que d’être relâcher, elle se crispa et sera les dents … Cette flamme ne devait pas sortir, elle ne devait jamais sortir. Elle était bien au chaud à l’intérieur d’elle, là où elle devait rester. Cette flamme ne ferait de bien à personne, surtout pas à elle. Cette flamme se promenait comme un feu ravageur, brûlant tout sur son passage aussi rapidement qu’un feu de broussaille. Elle prit un grand respire pour se calmer, si elle arrêtait d’y penser, tout irait mieux pour les deux. Après tout, il ne parlait certainement pas d’un vrai feu, il devait faire référence à sa joie de vivre.

Même si on père était un humain, elle fut surprise de l'entendre dire qu'il avait un jour été un raciste des elfes. Cela n'aurait pas dû l'étonner autant, mais le fait de l'entendre sortir de sa bouche lui fit un peu mal au coeur, mais c'était la réalité. La plupart des hommes pensaient ainsi, jusqu'à ce qu'une elfe arrive et leur fasse voir les choses autrement. C'est ce que sa mère avait fait. Elle avait montré une voie différente à un humain et pour cela, elle l'admirait encore plus. Elle avait aimé un homme qui, au début, ne la voyait même pas comme un égal. Seulement une sale elfe mage, une moins que rien. Elle avait appris à pardonner et donner une deuxième chance aux gens, de croire qu'ils pouvaient changer pour le mieux. Elle, une mage elfe, avait laissé une deuxième chance à un homme Templier. Un Templier … Cela la faisait réfléchir, mais la remplissait de fierté. D'entendre que sa mère était une bonne personne, mais aussi une femme forte qui avait cru en un avenir meilleur.

Lorsque sa voix se brisa, évoquant des souvenirs beaucoup plus douloureux, elle chercha tout de suite à aller lui prendre la main, dans un geste pour le rassurer, mais aussi le réconforter. Les deux portaient des gants, mais elle croyait que le geste seul comptait plus. Elle tourna son visage pour le regarder, pour voir son visage rester de glace alors qu’elle savait très bien comment il pouvait se sentir à l’intérieur. Il n’était pas le seul à manipuler son visage pour cacher les émotions qu’il ressentait vraiment.

- Tu as fais tout ce que tu as pu pour nous donner notre meilleure chance. Un enfant né dans un cercle est envoyé à la Chantrie, il ne reste pas avec ses parents. J'ai pu grandir libre, dans un clan Dalatien, parmis les miens.

Lorsqu'elle le dit, le mot resta coincé dans sa gorge. Parmis les miens, cela sonnait si faux dans son esprit. Allait-elle s'embarqué dans ce sujet maintenant avec lui pour en rajouter encore plus par-dessus sa peine déjà bien visible ? Il n'avait pas besoin de savoir qu'elle ne s'était jamais sentie chez elle là-bas, ni nulle part d'ailleurs. Pour le moment, il n'avait pas besoin de savoir tous les détails qui la rendaient complètement folle. Il n'avait pas besoin de savoir qu'elle était une mage qui se cachait.

- Si tu veux .... un jour, je pourrais te montrer où elle repose pour toujours. C'est en Ferelden. L'Archiviste me l'a montré une fois, je saurais retrouver mon chemin.

Elle continua d'avancer avec lui avant qu'une de ses jambes ne s'enfoncent dans la neige d'un seul coup jusqu'à la hanche. Elle eut un petit cris de surprise et se tenu après la main de son père de toutes ses forces. Elle sentait un liquide lui glacer la peau et cela la fit paniquer pendant un instant. Il ne devait pas y avoir d'eau sous la neige. Enfin, normalement. Ils marchaient donc sur une rivière gelée. Une rivière pas si geler en fait ? Elle essaya de retirer sa jambe, mais la tâche était plus ardue qu'elle ne le pensait. Il y avait un fort courant contre sa jambe et elle avait peine à l'agiter, en plus de la douleur du froid qui commençait à s'attaquer à sa chaleur et sa capacité à se mouvoir. C'est là qu'elle le voyait, elle n'avait pas suivi les traces de son loup, il avait prit un autre chemin.

Elle ne devait pas paniquer, surtout pas. Si elle paniquait, si elle osait penser à paniquer et qu’elle se servait de ses pouvoirs … de son feu. Cette pensée lui glaçait le sang. Si la glace éclatait et qu’elle tombait dans l’eau, non seulement elle ne savait pas nager, mais elle ne pourrait jamais remonter à la surface avec le courant, elle serait prise sous la glace.

© YOU_COMPLETE_MESS

Ven 12 Oct 2018 - 14:26

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Titre du rp



Ça faisait longtemps que Tiberius s'était ouvert de la sorte à quelqu’un. Qu’il pouvait être honnête à propos de la femme qu’il avait aimée, sans avoir de crainte qu’elle le dise. En fait, c’était la première fois qu’il pouvait parler de ça précisément.

Quand Éli alla lui prendre la main pour un réconfort, il fut légèrement surpris. Les rapprochements physiques aussi c’était rare pour lui. Il regarda leurs mains. Dans ses gros gants d’armure, la petite main de sa fille se perdait. Ça lui donnait l’impression qu’il tenait une main d’enfant. De son enfant, c’était encore surréel dans sa tête. Il lui serra la main en retour. Il appréciait qu’elle soit là.

Quand elle lui parla un peu de son enfance, il voulut en savoir plus. Eliwendë n’était pas la seule à avoir un million de pensées en ce moment. C’était comme si d’un coup, il voulait tout savoir à propos d’elle, sa jeunesse, ses expériences, ce qu’elle avait vécu. Mais d’un autre côté, il était trop tôt et il ne voulait prendre son temps pour apprendre à la connaître.

-Je suis content de t’entendre dire ça. Ça me démontre que ta mère et moi avons pris une bonne décision.

Lorsqu’elle mentionna d’aller voir la tombe avec lui, il la regarda d’un regard rempli d’espoir, la bouche entre ouvrir. Tout ce temps il pensait qu’elle avait été enterré dans son clan Dalatien, mais non. Sa fille allait pouvoir enfin lui montrer où l’amour de sa vie reposait. il allait pouvoir lui apporter des fleure et se recueillir pour de vrai, au bon endroit en tout cas.

-Ce serait très apprécié de ta part. J’adorerais aller à sa tombe avec toi.

Tiberius continua à marcher tranquillement, quand Hazel se tint à lui lorsque sa jambe s’enfonça, il resta ferme comme un roque. Il ne bougea pas et lui tenu le bras avec son autre main. Il n’entendait pas l’eau sous la neige, mais de voir le regard qu’elle avait eu, il se doutait que quelque chose clochait.

-Est-ce que ça va? Je vais te remonter, accroches-toi bien.

Tiberius commença à la relever, elle était très légère pour lui, sauf qu’au moment qu’il commença à la soulever, il entendit de la glace craquer sous lui. Il arrêta son mouvement et regarda ses pieds. Il devait faire ça très doucement et planifier où se déplacer pour être en sécurité. Il regarda autour pour trouver le bord de la rivière. Habituellement on le voyait avec la forme de la neige, c’était difficile à repérer, mais Tiberius était habitué et il prenait son temps. Lorsqu’il le vu, il regarda sa fille et commença à la soulever très lentement. Il la souleva pour qu’elle soit complètement sorti, mais qu’elle ne puisse pas toucher au sol non plus. Tiberius regarda l’endroit qu’il voulait aller, il se prépara et sauta d’un coup. La glace sous lui se brisa sous le choc et s’en alla avec le courant. Tiberius prit sa fille contre lui et se tourna pour atterrir sur le dos. Il la protégea durant la chute pour qu’elle ne se fasse pas mal. Il la regarda et remarqua sa jambe toute mouillé. Elle pouvait tomber malade s’il ne faisait rien. Il se leva et l’aide à se lever avec lui pour être dans une position moins bizarre et plus confortable.


-Nous allons devoir retourner à la base, tu ne peux pas chasser avec une jambe complètement trempée. Tu vas tomber en hypothermie très rapidement, même le retour est risqué. Ta jambe risque de te faire mal, je peux te porter si c’est le cas. Si ta jambe commença à geler, tu peux te faire mal.

Tiberius regarda autour pour voir si le loup était proche.

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