Ven 18 Jan 2019 - 2:05

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Nobles enfantillages

FT Wulf Cousland

RP FLASHBACK


"Père, pourquoi m'avoir amené avec vous ? N'est ce pas un réunion importante ?"

L'adulte porta un regard attendrit à son enfant curieux. Pourtant avec cette question anodine et innocente, le garçon exprimait son mécontentement et ça le patriarche le savait. Le jeune garçon n'était guère féru des fêtes et distraction de la cours, il était trop jeune encore pour comprendre tout le sens du Noble Jeu qui s'y déroulait et ne rêvait que d'horizon lointain où il pourrait gambader et vivre des aventures d'enfants.

Pourtant, l'adulte avait tenu à l'introduire très tôt auprès de la cours, persuader que plus il s'y prenait à l'avance, plus son fils prendrait goût aux manigances des nobles et apprendraient à les reproduire, et pourquoi pas les dépasser un jour.

"Sais-tu de quoi cette réunion est faite mon fils ? Pourquoi nous avons quittez notre domaine de Val Chevin jusqu'à Halamchiral alors que le bal d'hivers n'y a pas encore lieu ?"


Le garçon sembla hésiter, comme réfléchissant à ce qu'il allait dire, comme choisissant ses mots avec précaution. Il n'était pas certain du dénouement final qui allait se jouer, mais il en avait une petite idée.
Il se souvint avoir écouter au porte, avoir entendu ici et là des nobles discuter entre eux de cet événement à venir alors qu'ils ignoraient la présence du jeune garçon discret. Il était au courant que des Féreldiens venait à la cours en ce jour et que cela était d'une grande importance pour les adultes mais le jeune garçon qu'il était ne voyait pas pourquoi des sauvages et des rebelles étaient ainsi invité en Orlaïs.

Après tout, son précepteur lui avait bien appris ce qu'il s'était passé il n'y a pas si longtemps de cela, la guerre entre le grand empire et cette contrée austère qui autrefois leur appartenait. Ses ancêtres avait bien participé à la bataille à n'en pas douter mais la défaite avait été de leur côté.
Le garçon avait donc été élevé dans cet ambiance post-guerre où les perdant maudissait et rabaissé les vainqueurs, ces chiens de féreldiens.

Alors pourquoi les invité aujourd'hui ? ça le garçon n'en savait rien, et il ne tenait pas vraiment à le savoir. Il aurait préféré resté au domaine familiale à jouer et faire tourner en bourrique sa nourrice et son professeur mais son père avait insisté pour emmener le garçon avec lui, comme il le faisait si souvent lorsqu'il se rendait auprès de la cours.
Et qu'importe ce que pouvait bien pensé le garçon, la parole de son père prévalait.

Le garçon finit par faire non de la tête à la question de son père qui d'un petit sourire et d'une main vint aplatir les quelques mèches rebelles de son fils.

"Tu comprendras l'importance de cette réunion quand tu seras plus grand. Pour l'instant écoute et apprend d'accord ? J'ai entendu dire qu'il y aura peut être d'autres enfants, peut être pourra tu t'amuser un peu."


L'enfant grimaça aussitôt. Il savait que son père ne disait pas cela pour l'égayer ou lui faire plaisir. Il le testait plutôt, comme s'il était un autre noble quelconque à qui on pouvait faire dire un mot de trop qui pourrait se retourner contre lui-même, et il savait parfaitement quoi répondre pour passer l'épreuve.

"Mais père, ce sont des Féreldiens. Noble ou pas il ne sont pas aussi important que nous."


Le patriarche sembla satisfait de cette réponse, félicitant son fils d'un second sourire avant de lui faire signe d'avancer.
Ensemble il arrivèrent dans le hall déjà bien remplit bien que deux groupes bien distinct se soit formé, entre noble Orlésien et Féréldien qui se jugeait du regard en attendant le début des débats qui se passeront dans la salle suivante.

Halger ne pus s’empêcher de lancer un regard à ces rustres de Féréldiens de l'autre côté de hall avant de se mettre un peu en retrait, laissant son père se pavaner auprès des autres nobles tranquillement, et ne souhaitant guère aller discuter avec les autres commères pour l'heure. Il trouvait déjà la journée assez ennuyante comme ça.


Mar 22 Jan 2019 - 19:48

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Nobles enfantillages

Wulf n’était jamais allé à Orlaïs auparavant, mais sa curiosité était venue à bout des nerfs de son père d’humeur pourtant ordinairement placide. Il fallait dire que la famille Cousland avait du mal à contenir cet enfant si actif, curieux, insouciant, et insolent.
Le faire venir à Orlaïs, c’était à la fois risquer l’incident diplomatique et profiter d’un Wulf rendu plus calme par la découverte des lieux.
Pour l’instant, le jeune rouquin n’était pas réellement des plus enchanté, et alors qu’il caressait distraitement la crinière du cheval où il était juché juste devant son père, il regardait aux alentours.




Pourquoi ils sentent mauvais ?
Le petit nez de l’enfant était en effet plissé par l’odeur inconnue qui semblait omniprésente tout autour du palais d’hiver. Un sourire barra le visage du père qui répondit d’un air tranquille :




Parce qu’ils mettent beaucoup de parfum. Pour cacher qu’ils ne se lavent pas.
Le sourire du père se fit plus large encore alors que l’enfant lâchait un « Yerk ! » d’un air dégoûté. Décidément, il n’aimait pas trop les orlésiens : ils cachaient leurs visages, cachaient leur puanteur et en plus ils le regardaient comme s’il était une bête de foire.
Par contre il aimait beaucoup le pays en lui-même : ils étaient passés par des endroits magnifiques lors du voyage. Le cadet avait pu voir les côtes, et ses yeux verts étaient restés fascinés en regardant la gigantesque étendue grise qui s’étendait devant lui… Et dire que derrière, il y avait les Marches Libres, et qu’il ne pouvait pas les apercevoir. Puis il était passé devant le lac et la tour du cercle. Wulf en avait eu des frissons dans le dos sans pouvoir définir pourquoi. L’enfant avait déjà le sentiment très confus que c’était une histoire compliquée que celle-là.
Ils contournèrent les dorsales de givre et traversèrent quelques temps encore des plaines vallonées. L’enfant pouvait déjà dire qu’il adorait visiter autant de lieux, quitter l’enceinte du fort des Cousland, et partir vers l’inconnu sans le regard réprobateur de sa mère, les leçons de son enseignant et les taquineries de son grand frère.
Ils entrèrent dans le jardin et l’enfant posa enfin le pied à terre, se retenant de ronchonner pour le principe quand son père le porta pour l’aider à retrouver le sol. Il décida plutôt de ne rien dire et jeta un regard aux alentours : la différence entre orlésiens et féreldiens était visible à vue d’œil…
Ils entrèrent dans le hall, et dès lors, le garçon s’appliqua à être derrière son père de quelques pas. Pas par signe d’obéissance, certainement pas. Plutôt pour se faire oublier et s’esquiver facilement.
Ce qu’il fit dans un pouffement de rire, se dispersant avec un naturel bluffant dans la foule. Il trouva un balcon en hauteur et jaugea le petit monde de la haut. Personne ne semblait vouloir lever les yeux, et un sourire s’esquissa sur le visage constellé de rousseur du jeune féreldien.
Lorsqu’un gamin un peu plus âgé que lui le croisa brièvement de ses yeux clairs, Wulf lui tira aussitôt la langue. Il fallait dire que le jeune adolescent avait une vraie tête de snob selon le féreldien.

Mar 22 Jan 2019 - 23:51

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FT Wulf Cousland

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Halgel sentait qu'il allait s'ennuyer, comme à chaque fois que son père le trainait à la cours pour suivre les longues discutions politiques ou écouter les derniers ragots peu intéressants. Il s'en fichait lui que Dame Agathe avait perdu une des boucles de ses chaussure durant une danse, ou que Lord Sirus avait un peu trop bu comme à son habitude.
Aujourd'hui, si la teneur des ragots était tout autre, accaparé par les discutions diplomatiques à venir et ces chiens de Féreldiens, cela restait des médisance peu inintéressante à écouter et discuter.

Si son père se fondait parfaitement dans ce Noble Jeu, pour le garçon se n'était clairement pas le cas, par choix ou par inexpérience encore. Il était bien jeune pour trouver tout cela attrayant, et il n'était pas non plus une fille a pouvoir passé son temps à s'extasier devant tous ces beaux costumes et la dernière mode.

Non, lui il aurait préféré restait chez lui au domaine familiale, à jouer dans les champs et les bois entourant leur manoir. Il était seul certes, aucun enfant non noble n'osait venir voir l'héritier de la famille Mortmer pour jouer et ceux qui partageait son rang semblait déjà plus intéresser par la politique que lui, mais au moins il savait occuper son temps. Ici, il s'ennuyait à rien faire.

Son regard balaya la salle depuis son coin. Il aperçu son père dans la foule, discuter vivement avec d'autre noble, reconnue des têtes connus par ci par là, enfin des têtes... Il reconnu qui était qui sous leur masque, à quelques exceptions près. Il observa les féreldiens aussi, curieux mais n'insista guère sur eux. Si son père le chopait à trop les observait, ou pire si eux même le voyait ainsi les scruter, cela pourrait être mal interpréter.

Et puis un mouvement attira son regard vers l'un des balcons, une tête couronné d'orange qui vint lui tirer la langue à l'instant même où leur regards se croisèrent. Halgel en fut outré, ces féreldiens n'étaient donc bien que des sauvages sans manière ?

Un dernier coup d'oeil au paternel l'informa qu'il ne faisait plus attention à lui depuis un moment déjà, trop occupé à se pavaner devant les autres nobles, alors il profita de l'occasion, se perdant dans la foule jusqu'à la porte pour rejoindre l'étage.
Ce n'était pas la première fois qu'il visitait ce lieu, les réceptions d'hivers à Halamshiral était reconnu et très prisé par la haute société après tout.

Il ne tarda pas à apercevoir la silhouette rousse qui lui avait manqué de respect. C'était un enfant plus jeune que lui de quelques années mais qu'importe, son honneur et celui de sa famille était en jeu non ? Son père lui avait toujours dit de ne laisser personne salir leur nom. Son esprit encore d'enfant ne fit pas la différence entre une simple provocation enfantine et un véritable affront.

"Hey, c'est toi qui m'a manqué de politesse pas vrai ?", l'interpela-t-il avant de se mettre bien droit, tête haute, main croisé dans le dos, comme son père faisait pour réprimander les servantes à la maison."C'est mal polie. Mais je devais m'y attendre, de la part d'un féreldien."


Mer 6 Fév 2019 - 23:14

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Nobles enfantillages

Du haut de sa terrasse, la vue était assez impressionnante à regarder : tous ces froufou ressemblaient à des jouets sophistiqués qui volaient l’un vers l’autre sous un brouhaha d’accents à la sophistication ridicule. L’œil vert du gamin repéra les discrets domestiques qui semblaient vouloir se fondre dans le décor doré du palais. Comme leur comportement était … étrange, vis-à-vis de celui des elfes de Férelden.
Il avait le sentiment que ce jouait à Halamshiral une mélodie sur un violon désaccordé, comme si un virtuose répétait un son familier sans savoir que son instrument était cassé. Non, définitivement, il n’aimait pas Halamshiral. Il était toujours aussi satisfait d’être sorti des murs de son enfance, mais il préférait sa cage de pierre brute et froide à celle-ci, toute de velours et d’or clinquant.
Mais quelque chose de plus simple et plus familier attira son attention : le regard clair d’un enfant outré se vrilla dans ses prunelles vertes. Wulf sourit, fier de lui. Enfin ! Il allait pouvoir tromper l’ennui et échapper à ces palabres ridicules ! Il guetta silencieusement l’arrivée du garçon, l’étudiant rapidement : un orlésien brun, à la peau laiteuse, qui semblait n’être rien d’autre qu’un mini eux (eux étant tout ces étrangers qui puaient le parfum, sous le balcon). Tant pis… Cela restait un bon divertissement contre son ennui. Le bras droit de son père leva son regard sur lui, et le rouquin s’empressa de lui sourire en posant son index contre ses lèvres. Il avait ce brave homme dans sa poche, à coup de sourire d’une honnêteté enfantine toute rafraîchissante. L’aîné lui fit donc un clin d’œil, comme content d’être complice du cadet de son supérieur.

Enfin, l’orlésien arrivait, semblant lavé d’un affront qui le rendait tout gonflé d’orgueil.


« Hey, c'est toi qui m'a manqué de politesse pas vrai ? C'est malpoli. Mais je devais m'y attendre, de la part d'un féreldien. »


Le rouquin éclata d’un léger rire de grelot. Dites donc, il s’était trouvé un partenaire encore plus divertissant que prévu !




« Et tu es bien snob ! mais c’est normal, venant d’un orlésien ! »

Jeu 7 Fév 2019 - 0:08

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Halgel toisait du regard l'autre garçon, le surplombant de sa hauteur car plus grand et vieux que lui. Tête haute, dos droit, comme le lui auront enseigné de nombreux instructeurs et des heures à suivre son père à travers les nombreuses réceptions à la cours et chez les autres nobles.
Un Mortmer devait toujours se montrer sous son plus beau jour au yeux d'autrui, même si ces "autrui" n'était que de vulgaire Fereldien qui ne valait guère mieux que les paysans qui travailler sur leur terres.

Si le garçon était venu à la rencontre de ces étrangers plein de curiosité enfantine, en essayant de ne pas avoir trop des à priori sur eux, même si c'était difficile vu dans quel milieu il était élevé. La noblesse Orlésienne toute entière était encore bien agacée par la prise d'indépendance de cette contrée qui était jusque là sous leur joug.

Enfin bref, maintenant il avait des raisons de ne pas aimer les Fereldiens, des raisons plus personnelles qui se résumait à ce gosse mal élevé et crasseux qui lui maquait de politesse et de respect. Lui et son rire agaçant.
C'était bien impolie de rire si ouvertement à la cours, ou même ailleurs. Halgel lui ne riait pas, ou du moins il savait se faire discret et ne pas rire à la figure de quelqu'un, surtout si cette personne était venu se faire justice pour manque de respect.

"Je préfère être un snob orlésien qu'un paysan crasseux féreldien. Le palais tout entier va empester le chien mouillé et le crottin de cheval pendant des semaines."


Si Halgel ne montrait aucune émotion, il avait déjà une bonne maîtrise de soi pour cela, il n'en resta pas moins fier de remettre à sa place cet avorton malpolie, et il continuerai jusqu'à recevoir des excuses ou le faire fuir en pleurant pour qu'il retourne dans les pattes de son père.

"Cela m'étonne de voir le fils d'un laquais se baladais si librement ici sans surveillances. Si des objets disparaissent nous saurons qui blâmer."



Lun 25 Fév 2019 - 22:31

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Décidément, l’orlésien en face de lui ressemblait à l’un de ces poussins que mère Gerda élevait dans le fort : le torse inexistant bombé, la mine déconfite, et le poil duveteux. Les lèvres de Wulf tressaillirent à cette pensée. Ce pays avait l’air d’avoir du mal à digérer l’indépendance de Férelden. Pourtant, quand on regardait les occupants des deux contrées, c’était le jour et la nuit : guère étonnant, que l’occupation n’ai pas davantage tenue ! Wulf aimait beaucoup l’histoire, et il avait retenu une chose sur les conquêtes : pour réussir à tenir un pays, il fallait le vaincre par un des trois moyens. Le moyen militaire, le moyen culturel ou le moyen économique. Et Orlaïs n’avait réussi à aucun des trois !

« Je préfère être un snob orlésien qu'un paysan crasseux féreldien. Le palais tout entier va empester le chien mouillé et le crottin de cheval pendant des semaines. »

Le chien mouillé et le crottin de cheval ? Vraiment, boucle brune était un bien sot personnage !





Oh ! Je vous fais confiance pour recouvrir tout ça de vos parfum qui puent !
Et le rouquin éclata encore de rire, reniflant par la même occasion l’odeur piquante d’alcool et de fleurs que l’orlésien portait sur lui.

« Cela m'étonne de voir le fils d'un laquais se baladais si librement ici sans surveillances. Si des objets disparaissent nous saurons qui blâmer. »

Le sourire de Wulf disparut aussitôt ! Hé ! Le fils du laquais de son père était un chic type, et certainement pas un voleur !
Le rouquin ne songea guère à signaler qu’il était lui-même le cadet d’une des plus nobles familles de Férelden. Mais il serra aussitôt ses petits points pâles pour rétorquer à l’abruti en face de lui :





Tais toi ! Idiot ! Y’a rien à voler de beau dans ton pays !

Sam 9 Mar 2019 - 2:17

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FT Wulf Cousland

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"Même tout le parfum d'Orlais ne saurait recouvrir votre odeur pestilentielle. "


Non, décidément Halgel ne laisserait rien passer, pas face à ce petit prétentieux de féréldien. Tout ces paysans étaient donc ainsi vraiment malpolie et indiscipliné ? Maintenant le jeune noble comprenait pourquoi son père et les autres lord du Noble Jeu avait discuté ensemble pendant des semaines entières plutôt que de se faire leur petite guéguerre secrète : ils préparaient ensemble de quoi tenir tête à ces mules.

Si les mots du rouquin ne semblèrent pas vraiment entamer la fierté visible du jeune orlésien qui lui rendait alors coup pour coup verbalement, ces mots à lui semblèrent agacer le plus jeune.
Et Halgel s'en amusa, se demandant jusqu'où pouvait il pousser le vice. Peut être qu'il déclenchera une bagarre à force mais il était plus grand, il gagnera à coup. Et puis, cela pourrait presque être profitable à son père non ? Son fils défendant vaillamment son honneur face à une petite teigne féreldienne.

Il devait se contenir et ne pas donner le premier coup bien sûr, sinon cela risquait de mettre en colère le paternelle alors que si l'inverse se faisait... Et bien cela prouvera au moins que ces Fereldiens sont bien des sauvages.

Si le idiots du rouquin vint faire froncer les sourcils de l'orlésien, il ne put retenir un sourire sournois en le voyant ainsi s'agacer.

"Parce que vous avez plus de goût peut être ?  Oh impossible puisque qu'aucun artiste digne de ce nom irait mettre les pieds dans votre pays de sauvage. Je suis surpris que tu connaisse le mot "beau" alors que vous ne savez clairement pas à quoi cela correspond."


Il leva le nez, presque méprisant du haut de ces quelques centimètres supplémentaires.

"Et puis vous êtes si pauvre à Ferelden. Je suis sûr que vous avez accepter cette réunion juste pour pouvoir voler un peu d'or. Avoue-le, c'est pourquoi tu es ici pas vrai ? Et bien manque de bol, je ne te laisserai pas faire.


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