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Mar 23 Oct 2018 - 16:21

Anonymous
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Fiche personnage

 

 
Nom, Prénom : Un animal n'utilise jamais le patronyme qu'on lui donne. Ce n'est rien de plus qu'un mot utilisé par ses maîtres lorsqu'ils font appel à lui. Mais en atteignant la liberté, la bête a laissée le sien derrière elle. Ce n'était plus qu'une relique du passé, un mot qu'elle ne supportait plus d'entendre. Son nom était Richter Vangram
Âge :
42 ans
Origine et lieu d'habitation
La bête ne se souvient pas vraiment de l'endroit exact où elle est née, mais ses plus anciens souvenirs d'enfance se passent sur les terres d'Anderfels. Depuis, elle hère de Seheron à Ferelden et de Rivein à Orlaïs, sans jamais rester bien longtemps au même endroit.
Langue parlée :
Ander, universelle
Sexe :
Masculin jusqu'à preuve du contraire. Mais quelle importance au final ? La bête resterait la même, peu importe son sexe ou son genre.
Orientation sexuelle :
Ce n'est pas le physique qui attire la bête, seulement la personnalité. Même s'il est devenu rarissime de la voir accorder ne serait-ce qu'une once d'amour à quelqu'un, on pourrait la dire pansexuelle.
Situation amoureuse :
Célibataire, quelques relations sans lendemain par-ci par-là. Des amants et des maîtresses ne demandant rien de plus qu'un petit moment de réconfort, la bête ne saurait leur accorder plus.
Faction et rang :
Civil
Profession:
/
Armement/Magie :
Hache de guerre
Intérêts :
Faire taire les voix
 
 
Anecdotes : Aime la musique quelle qu'elle soit, mais n'a jamais prit le temps d'apprendre à en jouer Représente le visage de chacune de ses proies dans un journal Est déjà resté caché deux jours sous la pluie sans manger ni boire, à attendre une proie A toujours refusé d'être payé pour des contrats

 

 
Description psychologique : Le visage recouvert du sang encore chaud de sa victime, son souffle est court, tout ses muscles tremblent sous le coup de l'adrénaline. Un homme gît au sol, le crâne défoncé d'un coup de hache. Son bourreau ne lui aura laissé aucune chance. Ses supplications n'ont pas fait la moindre différence, pas plus que ses larmes. Tout s'est terminé en quelques secondes, dans cette ruelle sombre avec la Lune pour seul témoin. Il serait retrouvé le lendemain, la garde conclurait surement à une rencontre qui aurait mal tournée et ne chercherait pas plus loin. De toute façon, son assassin serait déjà loin. Pourquoi devait-il mourir ce soir ? Pourtant ses derniers mots disaient qu'il avait une petite fille. Mais cela ne change rien, tout comme on ne peut changer le passé. Même après des années à essayer de se racheter, il y a toujours un moment où les erreurs d'hier nous rattrapent. Elles prennent diverses formes et attendent juste le meilleur moment. Et cette nuit, elles se sont mues sous la forme d'un monstre vengeur et sanguinaire. Ce dernier laisse derrière lui sa victime, encore paré de ses précieux bijoux. Pourquoi une vie aurait-elle plus d'importance qu'une autre sous couvert de ses origines, de sa richesse, ou de son pouvoir ? Tout cela ne compte pas. Le mal reste le mal. Personne ne bouge, n'ose se salir les mains. Personne d'autre que cette bête ne comprend que pour punir un homme, il faut lui arracher le cœur et l'écraser entre ses doigts. Le mal se répand, l'éradiquer est impossible. Mais quand on l'a vu dans les yeux, le supporter l'est tout autant.  

"Je suis une bête. Une bête qui n'obéit qu'aux principe qu'elle s'est fixée. Même face à l'archidémon et son armée d'engeance, je n'y renoncerais pas..."

Les ombres sont partout. Elles étendent leurs griffes sur le monde, à tel point qu'il en devient presque impossible de discerner ne serait-ce qu'une lumière apaisante. La bête est seule, n'a pas le moindre ami, pas de compagne ou d'amant pour réchauffer son cœur. Elle ne peut pas, ce serait beaucoup trop risqué. Ouvrir son cœur, c'est prendre le risque de se retrouver une nuit avec une lame plantée dedans. Elle a peur des autres, peur d'aimer, peur d'accorder sa confiance. Parfois, certaines personnes se distinguent dans cette obscurité, cela permet de se faire quelques alliés temporaires. Mais les années passants, les gens finissent toujours par changer. Petit-à-petit, parfois imperceptiblement, les amis d'aujourd'hui deviennent les ennemis de demain. Toujours rester sur ses gardes, toujours douter, faire les choses soi-même. Attendre quelque chose des autres c'est prendre le risque d'être trahis. Mais la bête n'a pas toujours été seule. Fut une époque où elle vivait heureuse et insouciante, entourée de personnes qu'elle aimait. Ce n'est plus le cas, tout est terminé, elle n'a plus rien. Plus rien hormis sa haine pour le monde. Elle en veut aux gens heureux car en secret elle les jalouse, elle voudrait être comme eux. Il existe un danger bien plus grand encore que la trahison, elle le sait. Que faire quand un ennemis particulièrement vicieux décide de s'en prendre à un être cher ? Est-t'il seulement possible de garder ses principes intacts ? De ne pas abdiquer face à ceux que l'on s'est pourtant juré de combattre corps-et-âme ?

"J'envie ceux qui, dans leur naïveté ou leur stupidité, peuvent se permettre d'aimer l'autre. Plus jamais je ne pourrais aimer. J'ai cédé une fois, cela ne doit plus se reproduire..."

Ils ne méritent pas d'être sauvés, juste de sombrer sous le poids de leurs crimes. La bête peut le sentir, cette odeur insupportable lui prend les narines. La crasse puante des villes où rampent tous ces cloportes. Vivant dans l'ombre des immenses châteaux de leurs seigneurs, se réjouissant des quelques miettes que ces derniers daignent leur jeter. Elle, personne ne la contrôle, elle reste libre. Aucune attache ne saurait la retenir, la satisfaire, la combler. Solitaire, elle erre de royaume en royaume, tuant  simplement ceux qu'elle estime le méritant et ayant la malchance de croiser sa route. Elle se promène des les ruelles les plus sombres, maculées de sang, remplies de corps inanimés. Les rivières empestent la mort et ils y noient leurs enfants, les condamnant d'office à une vie de misère et de désespoir. Pourquoi si peu de gens comprennent cela ? Ils sont tous malades, fous, stupides, cruels, ignorants, mauvais. Ils osent parler de bonté dans un monde où on fait la guerre à son voisin pour la moindre petite différence. Les plus faibles pleurent pendant que les grands se gavent. Ces bruits sont insupportables. Toutes les nuits ils l'empêchent de trouver le sommeil. Les cris d'agonie, Les chants de guerre. Si les gens entendaient, eux-aussi comprendraient. Mais ils ne veulent pas. Ils préfèrent sourire, faire la fête, se saouler dans les tavernes pour se mentir à eux-mêmes. Ce monde part à la dérive, et ce n'est pas par la faute des Dieux. S'ils sont capables de voir ce spectacle sanglant, alors ils ne s'en mêlent pas. Ce sont les hommes les responsables. Si les enclins ne mettent pas un terme à l'histoire, alors ils s'en chargeront eux-mêmes.

"Quand tout s'effondrera sous le poids des morts et que le sangs s'embrasera, tout sera balayé. Les maîtres comme les esclaves, les religieux comme les prostituées, personne ne sera épargné..."

 
Derrière l'écran

  Pseudo : Nesse060
  Âge :
24 ans
  Comment avez-vous connu le forum ? :
Top-site
  Que pensez-vous du forum ? :
Très bien
  Un dernier mot avant de se jeter à l'eau ? :
En vrai je suis quelqu'un de vraiment très gentil ^^


 
Richter Vangram - La Bête Latest?cb=20141218104531

Mar 23 Oct 2018 - 16:21

Anonymous
Invité

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Fiche personnage

 
Histoire : La bête n'a pas toujours été ainsi, furieuse et libre de toute contrainte. Fut un temps où elle n'était rien de plus qu'un chiot apeuré, terré au plus profond de l'esprit d'un jeune garçon. Un jeune garçon portant le nom de Richter, fils d'Abel Vangram, officier dans la garde des ombres Anders, un homme respecté de tous. Mais la bête savait, elle savait que tôt ou tard elle finirait par avoir le dessus, qu'elle dominerait totalement ce corps qu'elle partageait. Alors elle prit son mal en patience, attendant calmement l'heure où elle pourrait sortir ses griffes. Peu à peu elle gagna en force, à chaque lever de soleil, à chaque tour de cadran, à chaque battement de cœur.

"Quand tu es né, j'étais avec toi. Quand tu dors, je suis avec toi. Quand tu mourras, je serais avec toi. Nous sommes indissociables. Sans toi, je n’existerait pas. Mais sans moi, tu n'aurais pas survécu..."

Déjà tout jeune, la bête se démarquait parmi les enfants de son âge. Elle était insignifiante à l'époque mais elle sentait déjà qu'elle était bien différente, n'ayant que peu d'attraits pour les loisirs communs des autres jeunes, se tenant toujours à une certaine distance d'eux. La bête était solitaire, pas forcément par choix, mais plutôt parce que personne ne la comprenait. Un chien peut-il seulement s'entretenir avec un lézard ? Tout au plus peuvent-ils cohabiter ensemble, s'habituer chacun à la présence de l'autre, mais jamais ils ne seront capables de se comprendre. Un mode de pensée différent, un décalage, un esprit virevoltant comme une feuille emportée par le vent. Personne n'était comme elle, pas même ceux que l'on nommait adultes, elle était seule dans un monde où elle savait déjà qu'elle ne trouverait jamais sa place. Les gens ont tendance à rejeter ce qui est différent, à le pointer du doigt, à le calomnier pour un rien. Et contre ce rejet, la bête sortait les griffes, montrait les crocs, autant de signes précurseurs auxquels personne ne prêta attention. Elle se renferma et cessa progressivement d'accorder sa confiance aux autre.

"Tu ne vois donc pas qu'ils ne veulent pas de toi. Personne ne voudra jamais de toi. Mais je suis là moi, et tu n'as besoin de personne d'autre. Jamais je ne te quitterais..."

En grandissant, la bête ne se rapprocha pas vraiment des autres. Elle apprit cependant la nécessité d'obéir à ceux qui fixent les règles. Oui il le fallait pour ne pas énerver cet homme qui se disait être son père. Lui aussi était comme les autres, jugeant ce qu'il ne pouvait comprendre. Il s'appelait Amon, Garde vétéran de l'Ordre de Weisshaupt en Anderfel. C'était quelqu'un d'extrêmement respecté pour ses faits d'armes, un excellent guerrier c'était indéniable, toujours prêt à combattre les engeances pour défendre sa patrie. Mais tous ces exploits ce faisaient pas de lui un bon père, absent voir même méprisant à l'égard de son enfant qu'il considérait comme le responsable de la mort de sa bien-aimée. Le rendre fier de lui, c'était tout ce que son fils cherchait, un amour, un compliment, un sourire, un regard. Il apprit tôt à se battre, pour suivre les traces de son paternel, mais jamais ce dernier ne se retourna pour le regarder.

"Qui était là quand tu étais triste ? Qui était là quand tu étais seul ? Qui était là quand tu avais mal ? Qui était là quand tu pleurais ? Et que personne ne t’écoutait...?"

Les relations avec les autres ne changèrent pas énormément avec les années, mais malgré tout, la bête grandissante s'était trouvé un but. Même si ce n'était à l'origine qu'une façon d'attirer l'attention de son père, elle s'engageait dans la Garde des Ombres. Au vu de ses qualités martiales, elle fut assez vite accepté. Elle découvrit alors un monde totalement nouveau, un monde de camaraderie et d'entraide, des choses qu'elle n'avait jamais imaginé possible. Ce fut un véritable chamboulement dans sa vie. Elle se fit rapidement des amis malgré les restes d'une attitude associable. Sa volonté de se faire voir d'Amon Graham avait peu à peu laissée sa place à un désir de protéger les plus faibles, que se soit contre les engeances ou les hommes. C'était une personne appréciée durant cette période, aussi bien par ses camarades, que par ses professeurs. Même si on lui reprochait assez régulièrement de se mêler d'affaires qui ne le regardaient pas forcément, notamment au niveau du crime organisé.

"Tu penses mériter ce bonheur ? Dois-je te rappeler les mots de ton géniteur ? Tu as du sang sur les mains depuis le jour de ta naissance. Tu n'es pas un homme bien, tu essaies juste de t'en persuader..."

Puis vint finalement le jour de l'Union, le rituel secret de la Garde des Ombres. Sous la surveillance d'un vétéran, la bête s'attaqua aux engeances. Elle fit alors preuve d'une férocité et d'une barbarie sans nom, comme si toute la colère qu'elle avait contenue durant toutes ces années passées se déversait d'un seul coup. Ses mains agrippées au manche de sa lourde hache, elle se jeta à l'assaut sans réfléchir, frappant encore et encore sans s'arrêter. Des hurlements atroces se faisaient entendre. Même lorsque son arme lui échappa, elle s'en prit aux monstres par la simple force de ses poings, pour finalement les terrasser tous. Blessée, meurtrie, l'affrontement fut rude mais elle en sortit vainqueur. La recrue était devenue Garde des Ombres.

"Un instinct poussant à la violence, voilà ce qui t'anime jusqu'aux portes de la folie. Tache de retenir ce jour où pour la première fois, tu m'as laissé le contrôle..."

A la suite du rituel et de la consommation du poison d'engeance, la bête commença peu à peu à s'éveiller à ses pulsions. Difficile de dire quelles en sont les causes exactes. Est ce le poison lui-même ? Ou simplement une folie qui sommeillait jusqu'alors ? Au fil de ses affrontements, la bête se faisait toujours plus violente, au point même de commencer à inquiéter ses camarades. Elle faisait peur à se jeter au combat en hurlant comme une créature à l'agonie, continuant de frapper même après que l'ennemi soit tombé au sol. Mais cette violence aveugle ne suffisait pas et il fallait trouver un moyen de la canaliser. Aussi la bête se mit-elle à pourchasser criminels et bandits partout où elle pouvait. Une véritable vendetta qui ne manqua pas d'inquiéter encore plus certaines personnes. Ils essayèrent bien de la museler, de la contrôler, ils durent se rendre à l'évidence que c'était impossible. Plus le temps passait, et plus les voix résonnaient, un vacarme assourdissant l'empêchant chaque nuit de trouver le sommeil. Il fallait les faire taire, les faire taire à jamais.

"Libère toi de tes chaines, laisse ta colère s'exprimer. Tous ces monstres valent-ils mieux que les engeances que tu tues ? Ne trouves tu pas qu'ils sont même pire...?"

Que ce soit par peur ou par dégout, les autres commencèrent peu à peu à s'éloigner. La bête se retrouvait de nouveau seule. Quand on lui annonça la mort de son père, tombé au combat, elle n'esquissa pas la moindre expression. Pas de tristesse ou de joie, juste rien. Cependant, quelques mois plus tard, un événement capital se produisit. Un  soir, la bête croisa un groupe de Gardes de Ombres rentrant après une soirée de beuverie. Ils étaient manifestement saouls, mais rien d'important en apparence, jusqu'à ce que l'un d'eux se vante de sa vie criminelle passée. Il prétendait avoir commis tellement de crimes atroces qu'il aurait sans doute mérité la mise à mort, et que la Garde des Ombres avait été une belle aubaine pour éviter de devoir payer pour ses crimes. Les voix se mirent alors à hurler, criant pour qu'on les venge, pour que cet homme pait, pour que justice soit rendue. Cela ne prit que quelques secondes, d'un simple mouvement de hache, la tête de l'homme explosa, sous les yeux ahuris  de ses amis qui se mirent à crier à leur tour. Mais ce n'est pas eux que les gens entendirent. Sous la lune, une bête hurlait avant de s'enfuir...

"Voilà dix ans que j'aire sans rel but en Thédas. Je ne suis  rien de plus qu'une bête à présent. Combien de cadavres ais-je laissé derrière moi ? Pas encore assez..."

Richter Vangram - La Bête Latest?cb=20150523145513

Lun 5 Nov 2018 - 18:52

Anonymous
Invité

Invité

Coucou, juste pour savoir... Est-ce que cette fiche est toujours en cours ? (:

Ven 9 Nov 2018 - 8:55

Anonymous
Invité

Invité

Bonjour,
Oui elle l'est toujours, j'espère avoir fini dans la semaine.
Désolée pour le retard.

Sam 10 Nov 2018 - 11:03

Anonymous
Invité

Invité

Ca marche, bon courage !

Lun 3 Déc 2018 - 10:03

Anonymous
Invité

Invité


Fiche de validation


Félicitations, Richter tu es maintenant officiellement,

Validé(e) !


Avis du staff sur ta présentation : Intriguant et misanthrope personnage que voilà, je suis curieuse de sa progression une fois que tu auras rejoint le RP. Concernant la fiche je n'ai qu'un seul petit bémol à signaler: au début tu nommes le père de Richter Abel, et puis plus loin Amon... il faudrait éditer pour maintenir la cohérence. Cela mis à part pas grand chose à redire donc je te souhaite bon jeu !

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens,  ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

N'oublions pas le plus important : Maintenant tu as accès au système de points d'expérience et au(x) QG de ton (tes) faction(s) ! De nombreuses surprises t'y attendent : tu pourras échanger avec les autres membres de ta faction pour établir des stratégies et gérer les ressources de ton groupe !

N'hésite pas à demander un RP aux autres membres du forum et créer des liens avec eux ! Rendez-vous sur le discord ou sur ce lien pour demander un jeu aux membres disponibles !

Sur ce, chère membre, nous te souhaitons un bon jeu !



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