Alistair Theirin King, Grey Warden and Chees [Terminé]

Anecdotes : Le sang des dragons coule dans ses veines. ◇ Il est demi-elfe de part sa mère qui est également une mage et une ancienne gardes des ombres. Cependant, il ne sait rien d'elle. ◇ Il garde la rose qu'il a trouvée à Lothering dans l'espoir de pouvoir l'offrir un jour. ◇ Il sort souvent en cachette pour aller boire et jouer à la taverne et rencontrer son peuple. ◇ Il apprend l’Olesien et quelques bases du Noble jeu.◇

Description psychologique : Naïf et insouciant sont les mots de ceux qui ne le connaissent pas. Alistair est un garçon qui utilise l'humour comme bouclier. Mais il ne faut pas se fier aux apparences. Naïf, il l'est certainement sur certains points, mais son voyage avec le Héros de Ferelden l'a quelque peu endurcie. Cependant, parlez-lui d'amour ou de sexe et vous aurez la joie de le voir devenir plus rouge que les robes des sœurs de la Chantrie. Il reste cependant un homme plein de bonne volonté et courageux qui ne recule ni devant le danger ni devant les difficultés. Il n'était peut-être pas le meilleur, mais Duncan l'a choisi pour sa droiture et son grand cœur. Il n'est pas fait pour commander, c'est pour cela qu'il s'effaça avec joie pour laisser à Cousland le rôle de les conduire.
Toutefois, maintenant qu'il a une couronne sur la tête, il prend son rôle au sérieux, même s'il n'hésite pas à faire le mur de temps en temps pour boire des pintes à la taverne et faire des parties de grâce perfides avec ses sujets. C'est donc un homme, né pour diriger, élevé pour suivre et se faire oublier et qui se retrouve par la grâce du Créateur à devoir mener. Il tente tant bien que mal de faire un bon roi tout en gardant son côté espiègle qu'il brandit comme un bouclier pour qu'on ne cherche pas plus loin en lui. La mort de Duncan, le rejet de sa sœur, les destructions causées par l'Enclin sont autant de choses qu'il porte encore comme des poids au plus profond de lui. La solitude aussi parfois, lui pèse. Il ne peut nier que porter le poids d'un royaume ne soit pas toujours facile et il comprend de plus en plus pourquoi on le presse de toutes parts à prendre femme. Malheureusement pour son entourage, Alistair est un indécrottable romantique qui se refuse à se lier avec quelqu'un s'il n'y a pas de sentiment. Seulement voilà, il sent qu'un jour ou l'autre il n'aura pas le choix. Beaucoup de rumeurs circulent sur lui. Mais il s'en fiche. Il attend l'amour et il se fiche de savoir sous quelle apparence, sexe, religion ou groupe il se présentera.
En tant que roi, endurci par son voyage avec le héros de Ferelden est juste, capable de décider pour lui et pour son peuple. Il entend les conseils, mais décide seul. Bien que n'approuvant pas le fait de garder Anora proche du pouvoir, il respecte les souhaits de son ami. Cependant, il ne lui fait pas confiance et sait qu'elle n'attend qu'une chose, reprendre le trône et sans lui dessus si possible. Cette nouvelle force de caractère se traduit par exemple dans le fait que contre toute attente, Alistair, donne asile aux mages leur permettant ainsi de rester à Golfalois. En plus de ces traits de caractère principaux, Alistair est un homme curieux, il passe de longs moments quand il en a l'occasion à lire des traités sur la magie ou à étudier les runes. Alors que de par sa formation de Templier il devrait au moins s'en méfier. Mais il a toujours aimé la magie. Cela vient sûrement de sa mère mais il n'en sait rien. D'une grande volonté et aidé par son entraînement de mage il résiste à la magie du sang comme le montre son altercation avec un mage du sang lorsqu'il cherche son père, le mage n'arrivant pas à prendre possession de son esprit.
Toutefois, plus que le voyage avec le garde qui tua l'archidémon c'est bien la rencontre avec son père, que le jeune homme se sent enfin légitime dans son rôle de souverain. Avant cela, il s'attendait à tout moment à ce qu'on le chasse en lui disant qu'il n'avait rien à faire là. Mais entendre son père lui dire qu'il était meilleur roi que lui, lui donna le courage nécessaire à ce rôle et aux défis qui, il en était certain ne tarderaient pas à se montrer à lui.

Description physique : Alistair est blond, châtain clair, voir parfois roux en fonction de la façon dont la lumière vient à lécher ses cheveux. Il a de jolis yeux sombres aux reflets un peu dorés, un nez droit, des lèvres bien dessinées et un léger duvet lui mange le visage. De plus, en plus d'ailleurs il laisse la barbe pousser ainsi que ses cheveux, cela donne à son visage un air plus sérieux et plus mâture qui convient mieux à un roi.
De haute stature et bien bâti, il tient ce physique de son père et de ses années d'entraînements pour devenir Templier. De son sang d'elfe on ne voit rien, sauf peut-être la finesse de ses traits et la pâleur de sa peau qui lui vient de Fiona, mais encore faudrait-il être bien observateur et le secret de son sang est si bien gardé que personne ne peut s'en douter. Il voue un culte à ses cheveux qu'il est toujours en train de coiffer, raison pour laquelle il n'aime guère porter de casque ou même sa couronne. Au château il porte des vêtements en tissus qui montrent son rang tout en restant relativement simple et pratique. Son épée elle ne le quitte jamais, toujours ceinturé à ses hanches. Le reste du temps en voyage il porte son armure d'apparats. Il regrette un peu la tenue des gardes des Ombres qu'il trouvait bien plus pratique. Bien qu'il soit roi il n'oublie pas qu'il reste avant tout un garde, le sang souillé dans son corps le lui rappelant il porte toujours contre sa peau le collier remplis de sang d'engeance que Duncan lui a offert lors de son initiation.

                                           

Histoire :

Sachez que tout ce que vous trouverez dans ces pages est vrai, rien n'a été romancé, pourtant notre roi en a souvent fait la demande, rien n'a été enjolivé, voici la vie de votre roi, de notre roi sans mystère ni fioriture et je crois, au plus profond de moi que vous ne pourrez que l'appréciez encore plus. [Note d'Alistair : Je connais déjà la fin et je peux vous dire que certains chapitres ne sont pas vraiment de la grande littérature. C'était obligé de parler de mes nuits passées avec les chiens du Iarl ? Et pour information, je ne marchais pas si souvent que ça dans les pièges à ours. Je ne sais plus si la biographe en parle, mais ce n'est pas vrai ! Encore Morrigan qui raconte n'importe quoi à n'importe qui.]
Notez cependant que certaines choses comme l'initiation des gardes ne peut être dévoilée.[Note d'Alistair : C'est quoi le titre. Est-ce que ça peut être Roi, Garde et Fromage ? Ou le fromage en premier ça me va aussi.] Vous trouverez dans ses lignes des notes de notre roi afin d'étoffer le récit et des extraits de lettres ou des morceaux de son journal intime. [Note d'Alistair : Pardon ?! Où avez-vous eu ça !] Dans ses pages le destin de notre roi se mêle à celui d'autre grand nom. N'oublions pas ceux qui ont sauvé le monde et qui continuent de le faire.




Notre bon roi, dont je suis chargée d'écrire aujourd'hui la biographie, est né en l'an 9:10 du Dragon. [Note qui semble ajoutée par le roi lui-même. Ne commencez pas avec vos trucs de scribe. Notre bon roi blablabla… De plus, pourquoi faire ma biographie. Je ne suis pas encore mort…] dans un village, qui semble être Golfalois mais nous n'en avons pas la certitude. Fils de notre bon Roi Maric et d'un mage, ancienne garde des ombres, elfe et ancienne grande enchanteresse de Ferelden Fiona. Dame Fiona, présenta Alistair au roi en lui demandant de l'envoyer loin de la cour. Elle ne voulait pas que son fils devienne une menace pour le fils légitime de Maric, une arme pour le trône et qu'il souffre de son sang royal comme Maric avait souffert, ni qu'il soit au courant de son sang de demi-elfe. Être un bâtard serait une tâche assez grande à surmonter, avoir du sang d'elfe ne ferait qu'aggraver la situation. [Nouvelle note : comment vous savez tous ça vous… Ha oui je suis en train de vous le raconter.] Maric proposa donc à son beau-frère le Iarl Eamon de le prendre sous sa protection. Ce dernier accepta dans le but de protéger l'honneur de sa sœur, la reine. Néanmoins sa femme, la Iarlesse Isold ne voyait pas cela d'un bon œil.
En effet, [Note D'Alistair : elle n'était pas gentille en effet, elle… Note de la biographe : avec tout le respect que je vous dois Majesté, cessez d'annoter mon texte et laissez-moi faire mon travail.] Cependant, sa femme la Iarlesse Isold ne voyait pas cela d'un bon œil. En effet, quelle autre raison son mari aurait-il d'élever un bambin si ce n'était pas son fils ? Elle le prit en grippe et le jeune Alistair grandit dans les écuries en compagnie des chiens. Chiens qui étaient ses compagnons de jeux, ses amis et ces confidents. [Note d'Alistair : ce n'était pas horrible que ça, je partageais mon repas avec eux et puis des fois j'avais le droit à un os.] Ce qui explique peut-être son caractère quelque peu étrange d'aujourd'hui. [Note d'Alistair : vous savez que je suis toujours là.] Il grandit en pensant que le Iarl était son père et sa mère une servante morte en lui donnant naissance.
Toujours fourré avec les chiens, les chevaux et les domestiques, il n’était pas un garçon forcément facile. Toujours parti à droite et à gauche il passait beaucoup de temps avec la conteuse de Golfalois qui lui racontait des histoires et lui fabriquait des petits soldats en bois. Le jeune Alistair voulait prendre les armes et devenir soldat comme dans les contes qu’on lui racontait. Il vivait plus ou moins heureux, le Iarl étant bon avec lui et lui offrant souvent des friandises. Quand le roi venait à Golfalois il avait toujours une petite attention pour ce petit garçon sauvage sans que cela ne soit vraiment étrange, ce n’était jamais vraiment marqué et toujours discret. En grandissant, il fallut bien trouver une utilité à Alistair qui devient garçon d’écurie. Cela ne le dérangeait pas, les chevaux étaient d’aussi bonne compagnie que les chiens et il n’était pas plus à plaindre qu’un autre. Il faisait son travail comme n’importe quel autre serviteur et sa vie auraient pu se passer ainsi. Au service du Iarl sans jamais rien savoir de ses origines et ne jamais devenir l’homme qu’il est aujourd’hui.
Cependant l’inimitié de la Iarlesse ne faisait que grandir et elle finit par demander à son mari à ce que le jeune garçon soit envoyé à la Chantrie. Il était un poids pour eux, mal élevé, qui en plus ternissait l’image de leur famille.
Le Iarl accéda sans sourciller à la demande de sa femme. Se disant qu'être Templier pour le fils de Maric était une bonne chose. C'est donc en l'an 9:20 du dragon qu'il est envoyé au monastère de Bournshire. C'est à ce moment-là que le Iarl choisit de lui dire la vérité sur son père. Mais gardant secrète la véritable nature de sa mère comme elle le voulait. Furieux, de savoir que son père ne c'était jamais occupé de lui et d'être envoyé au loin il lance au visage du Iarl l'amulette qu'il tenait de sa mère et qui se brise en mille morceaux. [Note d'Alistair : ce n'est pas mille faut pas exagérer non plus. Deux morceaux. Ou trois.] Il retrouvera cette amulette mais, plus tard lors de son retour à Golfalois. Le jeune roi en devenir est donc envoyé à la Chantrie. Cependant, bien vite il se rend compte qu'une vie de dévotion n'est pas pour lui.

Voici ce qu'il écrit dans son journal:

« Je sais que je devrais être reconnaissant, je suis éduqué, j'apprends à lire et écrire ce que la plupart des gens qui ont été élevés par des chiens ne savent pas faire. Je suis logé et nourri et on me donne la possibilité d'être utile en ce monde. Mais je ne crois pas que la magie soit si dangereuse. Bien sûr, un mage peut faire du mal. Mais un homme armé d'une lame peut tout aussi bien faire le mal. Je ne devrais pas me faire d'illusions, une fois terminé mon enseignement je devrais dire mes vœux. Peut-être est-ce là le souhait du Créateur. Alors, si c'est le cas, je dois y mettre tout mon cœur. »

Il apprend donc avec beaucoup d'applications, mais alors qu'on lui apprend à craindre la magie voire à la détester, le jeune homme lui semble être attiré par elle. Il collectionne en secret les runes et les étranges dessins de mages. C'est lors d'un tournoi organisé en l'honneur d'un garde des ombres, Duncan, qu'il avait déjà vus chez l'Iarl, qu'il put changer de vie. En effet, bien qu'il ne gagnât pas le tournoi [Note d'Alistair : vous auriez pu mentir sur ça… Vraiment vous êtes nul en biographe.] Cependant, Duncan vit autre chose en notre bon roi, de la loyauté, du courage et un bon cœur, il utilisa donc le droit de conscription afin de tirer la recrue templier de la Chantrie pour en faire un garde. [Note d'Alistair : Haha vous auriez vu la tête de la grande prêtresse ce jour-là un régal ! Cette vieille harpie !] Alistair devient donc une jeune recrue, il accompagne Duncan et passe l'initiation dont il m'est interdit de décrire ici. [Note d'Alistair : On porte des robes et on danse la gigue devant les engeances. Ceux qui gagnent la faveur de l'une d'elles gagnent le droit d'être garde.] Le voici donc gardent des ombres, notre roi confiera que c'était la première vraie famille qu'il n'avait jamais connue, les gardes étaient ses frères et sœurs, la garde était sa maison et Duncan comme un père. Jamais il n'avait été si heureux, même en sentant la corruption dans son sang, rien n'aurait pu lui faire quitter la garde. Rien sauf la main du Créateur lui-même.

Voici un extrait d’une lettre qu’il envoie au Iarl Eamon afin de lui faire connaître les changements dans sa vie.

« […] Je quitte la Chantrie pour la Garde des Ombres. Duncan qui venait si souvent à Golfalois m’a choisi moi. Parmi tant d'autres. C’est un grand honneur de faire partie de cette institution. Je quitte la Chantrie et cette vie que vous m’avez obligé à embrasser avec une grande joie. Je ne sais pas si cela vous importe ou non. Mais vous m’avez élevé aussi bien que vous le pouviez au vu des circonstances et il me semble important de vous le dire. Je ne pense pas vous envoyer d’autres lettres. Que le créateur vous garde vous et votre famille. N’oubliez pas de bien nourrir les chiens.[....] Blabla avec tout mon respect, blabla. Alistair.»


                 


             



Voici le credo de la garde des ombres, un credo qui en dit long sur leur vie et leur mort. Voilà la voie que notre roi avait choisi de suivre, sans se soucier de la mort. Peut-être devrais-je ici faire une petite digression sur ce que sont les gardes. Certains dans les plus jeunes gens ne savent que peu sur eux ou sur leurs actes. Les gardes sont le fer de lance de nos combats contre l’Enclin, bien que de moins en moins nombreux, leur réputation les précède. Respectés et respectable leur légende est une fierté. [Note d’Alistair : on va en reparler dans le chapitre « Les gardes des ombres s’allient avec Coryphéus… Je sens qu’on va rire. Non on ne va pas rire c’était de l’ironie. Comment ça je ne dois pas raconter la fin. C’est ma biographie je fais ce que je veux. Dites que Morrigan était chauve.]
Cela ne fait pas longtemps que notre roi est garde que déjà le devoir se profile à l’horizon. En effet, la garde soupçonne un Enclin et le roi Cailan heureusement est des plus heureux d’aider les gardes des ombres. C’est là que notre roi va rencontrer le héros de Férelden, alors en deuil de sa famille et pas encore l’homme que nous connaissons aujourd’hui. [Note d’Alistair : je croyais que vous alliez ne parler que de moi… Vous n’allez pas parler de Morrigan dans MA biographie . Hein?]

Voici un extrait du journal de notre roi relatant sa rencontre avec Cailan et celui qui sera notre sauveur à tous.

« Cailan semble être un bon roi. Je ne peux pas juger je n'en connais pas d'autre. Il semble intègre et voue un culte à notre ordre ce qui d'après Duncan est une bonne chose. Plus tôt nous combattrons l'Enclin plus de vie nous pourrons sauver. C'est quand même étrange de me dire que nous sommes demi-frères. Enfin, ce n'est plus important, aujourd'hui je suis un garde et ce sont eux ma famille. Quant au nouveau, Cousland j'ai cru comprendre. Je ne sais pas quel avis me faire sur lui. Il a souffert, Duncan m'a raconté ce qu'il c'était passé. J'espère que s'il survit à l'initiation, pouvoir l'aider. Après tout bientôt si le Créateur le veut nous serons frères. »

Alistair accompagne donc le futur héros et deux autres potentiels recrus dans les terres sauvages de Korcari. Après avoir récupéré du sang d'engeance et de vieux parchemins contenant les promesses de plusieurs peuples à leur venir en aide en cas d'Enclin ils rencontrent à ce moment-là, l'apostat Morrigan qui les conduit à Flemeth la sorcière des contes, qui est également sa mère. [Note d'Alistair : et elle est aussi désagréable que dans les contes. Ce n'est qu'une sorcière qui parle trop.] Une fois leur périple terminé ils retournent à Ostagare et l'initiation a lieu. Je ne peux rien vous en dire, moi-même je n'en sais pas plus. Tout ce que je sais c'est que seul l'un d'entre eux devient Garde des ombres. Celui qui deviendra notre héros à tous. [Note d'Alistair : oui, ça va… On a compris. Tu parles d'une biographe.]
Malheureusement, pas le temps pour les deux gardes de faire plus ample connaissance, la bataille approche. Alistair se souvient de la colère ressentit quand on lui dit qu'il ne combattra pas. De la peur qui le prend au ventre de voir Duncan partir seul sur le champ de bataille. Cependant, il obéit. C'est donc ainsi que deux jeunes gardes donc vont en cette nuit changés le cours de l'Histoire qui aurait pu être tragique. La tour, le fanal, deux objectifs en apparence simples et les deux hommes sont légèrement déçus de ne pas se battre. Mais tous deux savent qu'il n'y a personne d'autre pour faire ce qu'ils font faire. C'était simple et pourtant, les engeances sont déjà devant la tour, et dedans. C'est le chaos, les soldats qui étaient dans la tour sont morts, c'est au fil de la lame que les deux hommes se frayent un chemin dans la masse puante des engeances. [Note d'Alistair : oubliez pas de parler de l'Ogre hein ! N'oubliez pas. N'hésitez pas à faire comme Varric. Romancez les choses. J'aurais dû l'avoir lui comme biographe.] Une fois en haut de la tour, alors que les deux hommes sont pleins de sang et de chaire d'engeance, que leur souffle court leur siffle dans les oreilles et que leurs lames commencent à peser dans leurs bras. [Note d'Alistair : oui c'est bien comme ça ! Ajoutez un peu plus de sang pour que ça fasse vraiment héros. Et puis dites que j'étais bien coiffé aussi.]
Notre roi et le Héros sont donc arrivés en haut de la tour, leur objectif était là. À portée de bras, mais malheureusement il n'était pas au bout de leur peine. Un ogre immense [Note d'Alistair : qui sentait mauvais en plus. Mais terriblement mauvais.] leur fondit dessus, tel un rapace sur des souris. Il fallait esquiver frapper, l'épée était de plus en plus lente, le bouclier de plus en plus lourd, mais notre roi ne s'avoua pas vaincu. Non, dans les ténèbres la lumière toujours trouve un moyen de s'allumer. Et les deux hommes après un combat acharné mirent l'ogre à terre. Mais pas le temps de souffler, il fallait allumer le fanal afin que les hommes de Loghain attaquent. Mais rien ne se passa comme prévu, le fanal fût allumé mais c'est l'ombre qui engloutit tout. La terre hurlait et le Créateur regardait tout cela sans agir.
Nos deux héros furent sauvés in extremis par la sorcière des terres sauvages. Sauvés mais orphelins, voilà comment se sentait Alistair, il avait perdu Duncan, qui était comme un père, les gardes étaient considérés comme des parias. Et le roi était mort. L'abattement n'était pas loin, Alistair pleura. De tristesse d'abord pour les morts et de haine ensuite. Les graines de la colère étaient semées. Loghain avait mis en péril le pays et le monde. Car sans armée pour arrêter l'Enclin, celui-ci dévorerait le monde. [Note d'Alistair : C'est faux… J'avais du sang dans l'œil.] Pour le pouvoir, cet homme avait mis en péril des millions de vis ! Alistair était certain d'une chose, il ne survivrait peut-être pas à l'archidémon ni aux Engeances, mais dans sa chute, il attirerait Loghain de cela il était sûr. Ce n'est cependant pas notre roi qui défia le traître et heureusement peut-être. Car là où le Héros lui épargna la vie… Alistair c'est certain n'aurait pas eu cette gentillesse. [Note d'Alistair : d'ailleurs Wulf si tu lis ça… Sache que je t'en veux toujours pour ça. Loghain… En vie. Ce qui est fait est fait c'est vrai… Mais sans lui, nos vies auraient été bien plus faciles. Et non seulement ça… Mais tu me colles Anora dans les pattes . Elle ne m'aime pas, elle ne serait que ravie de me planter une dague dans le dos et de prendre ma place. Je suppose que tu t'en moques monsieur le garde des ombres. Ce n'est pas toi qui dois vivre avec un serpent continuellement accroché à ton ombre.]
Heureusement pour notre roi qui se pensait maintenant seul au monde, Andrasté s'était penché sur lui et son compagnon d'armes se réveilla. Sur les conseils de Flemeth les deux gardes et le jeune apostat Morrigan quittèrent les terres sauvages pour un périple qui allaient changer leur vie. C'est là que la légende prend vie et que l'Histoire rencontre le destin.



Le premier compagnon à rejoindre les deux gardes fut donc l’apostat Morrigan. [Note d’Alistair : Vous êtes obligé de parler d’elle .] Entre elle et notre roi en devenir les premiers temps sont tendus, mais la promiscuité et l’Enclin aidant, les liens se forment. Le groupe fait d’abord route vers Lothering qui malheureusement ne résistera pas à l’Enclin. Là-bas notre groupe fait la rencontre de Sten, le Qunari assassin et de Léliana la sœur ancienne barde. Après un moment de repos c’est donc tous ensemble qu’ils reprennent la route. Ils s’arrêtent d’abord au cercle de mage du lac Calenhad. Pour notre roi c’est une sorte de vision de ce que son futur aurait pu être. Enfermer dans une tour à surveiller des mages qui pour la plupart n’avait rien fait. C’est ici que le groupe s’enrichit d’une personne, un mage du nom de Wynn.
Un mage du sang a déclenché une guerre interne à la tour. Des démons et des abominations, encore une fois l’épée doit parler. De par sa formation chez les templiers, Alistair connaît les techniques de combat dans ce genre de situation. Il sait comment tenir son bouclier pour repousser une attaque ou ne pas se recevoir d’acide dessus. Il sait où frapper et comment. N’allons pas dire que c’est simple, car ça ne l’est pas. Mais il n’y a pas le choix. Ils leur faut l’aide des mages et pour cela ils doivent sauver le grand Enchanteur Irvig. Sur le chemin ils sauvent un jeune templier du nom de Cullen, prit au piège par les mages. Le pauvre a vu tous ses compagnons d’armes mourir les uns après les autres. Mais il fût sauvé. Et le Premier Enchanteur aussi qui promit l’aide des mages durant la guerre contre l’Enclin et l’archidémon. [Note d’Alistair : j’ai volé une rune là-bas d’ailleurs. Désolé. Mais je l’avais pas dans ma collection. Mais je vous ai soutenu dans votre guerre, ça mérite une rune.]
C’était les prémices d’une armée en train de se dessiner. Je sais qu’il me faudrait tout décrire. Mais je ne pense pas que cela soit bien fascinant à lire et surtout même notre roi ne se souvient pas de tous en détails. Après les mages, ils se rendirent auprès des elfes dans la forêt de Brecilian, mais comme vous l’imaginez ce ne fût pas simple. [Note d’Alistair ; ça sentait le loup mouillé vous imaginez pas. C’était plein de puces et en plus on a récupéré un assassin elfe sur la route. Je ne vous dis pas l’ambiance. En plus il a de plus beaux cheveux que moi. Inacceptable.] Dalatins, nains, mages s'étaient alliés à eux, sous l’impulsion d’un seul homme. [Note d’Alistair, c’est ma biographie ou celle de Wulf que vous faites ?]

Ce est ici qu'Alistair Passa de simple garde à fils de roi. En effet, c’est en se rendant à Golfalois pour sauver le Iarl qu’il avoua son secret à son ami. Il était le fils de Maric. Il était un héritier possible au trône. Mais il ne voulait pas du trône. Il ne voulait pas de cette responsabilité. Et puis il n’eut pas le temps d’en parler davantage, il fallait sauver le Iarl où toutes leurs actions n’auraient servi à rien. Le Iarl de Golfalois était un proche de Maric, l’oncle de Cailan. Il ne laisserait pas passer la trahison de Loghain. Revenir en ce lieu fût difficile pour notre roi. Surtout en voyant l’état dans lequel il était. Mais encore la victoire fût. Tout était prêt, ils pouvaient se rendre à Denerim, une armée sur les talons et Andrasté de leur côté. Si Alistair avait su que le Commander avec l’intention de le mettre sur le trône. Peut-être aurait-il fui. Qui sait ? Mais il ne fuit pas et sans vraiment avoir compris comment, voilà qu’il se retrouvait au milieu d’intrigues afin de le faire monter sur le trône. Il fut décidé que s’il survivait à l’Enclin il soit couronné en lieu et place de son demi-frère mort au combat. Sinon Anora prendrait sa place. [Note d'Alistair: je parie ma meule de fromage qu'elle a priée pour ma mort.]
Cependant il est important ici de s’arrêter sur un moment qui fallit bien mettre fin à tout cela. En effet, enfin il tenait sa vengeance, il était là, à porter d’épée du traître. Mais même cela on ne lui laissa pas le choix de décider. Cousland se battit en duel avec Loghain et le laissa en vie. Par amitié et parce qu'il lui devait beaucoup, Alistair resta avec Wulf. Mais cela aurait pût prendre une toute autre tournure.

Voici un extrait d’une note écrite après l’enclin sur ce moment. Note qui devait sûrement être une lettre qui ne fût jamais envoyée.

« […] Loghain en vie ? Même après tout ce que nous avons vécu je n’arrive pas à le croire. Il a trahi notre peuple et notre royaume. À cause de lui des gens sont morts. Même en cherchant, je ne comprends pas votre pitié. Il a détruit ma famille et je dois souffrir de le savoir libre et en vie. Et en plus de cela, je dois garder Anora à mes côtés. Je sais que je vous dois beaucoup. Que mon peuple vous doit beaucoup. Mais n’est-ce pas vous qui m’avez dit que « Chacun lutte pour soi, c'est une leçon que vous devriez apprendre » Je l’ai apprise oui. Et je compte bien lutter pour moi et pour mon peuple. Si Loghain ou Anora sont des menaces pour Ferelden je n’aurais pas votre pitié. Sachez que je vous respecte et que votre amitié compte beaucoup pour moi. Mais sur ce point, jamais je ne pourrais vous pardonner entièrement.[…] Venez me rendre visite au palais si vous en avez le temps. Il y a longtemps que je n’ai pas eu de nouvelles de la garde ou de vous-même. Blabla Roi Alistair. »

Puis il ne fût plus question de politique ou de faire couler le sang d’un traître. L’Enclin était là. Et il n’y avait plus rien à dire ou penser. C’était le moment de l’action, des épées qui s’entrechocs, des flèches qui sifflent et des hommes qui meurent. Encore aujourd’hui, si vous lui posez la question notre roi ne pourra vous dire exactement ce qu’il s'est passé, tout fût à la fois long et rapide. Et quand enfin l’archidémon tomba la liesse fût totale avant que la tristesse et le deuil ne les accablent encore. [Note d’Alistair : Wulf survécut et je savais que c’était lié au rituel. Même s’il ne m’en avait pas dit davantage. Morrigan et moi n’étions pas les meilleurs amis du monde mais je suis heureux qu’il soit toujours de ce monde.]

Alistair Thierin fût couronné et acclamé, il nous prouva que malgré tout il était digne d’être roi, même s’il lui semblait ne jamais être vraiment à sa place sur le trône. Cela va changer cependant et Ferelden va avoir un roi à sa hauteur. [Note d’Alistair : et quelle hauteur ! Je gagne bien 1 centimètre si je porte mes bottes.]



Ici, notre roi voudrait que je n’entre pas trop dans les détails, mais il semble important pour l’Histoire que vous en sachiez le plus possible. Voici donc le récit initiatique de notre roi. Qui va passer de fils bâtard à véritable roi.

Un souverain à des espions et les espions rapportent des rumeurs et il en fût une un jour qui attira l’attention d’Alistair. En Antiva un homme aurait des informations sur Maric. Alistair laissa le trône à Anora bien que n’ayant qu’une confiance limitée en elle.
Vêtu simplement il n’était qu’Alistair et pas le roi. Afin de mener à bien sa mission, il paya Isabella, déjà rencontré lors de sa mission pour mettre fin à l’Enclin et lors de la révolte de Kirkwall et Varric Thetras un nain doué avec les mots et les arbalètes. [Note d’Alistair : Ha Varric, je devrais l’inviter au palais. Il a toujours de bonnes histoires à raconter !]

C’est ainsi qu’avec ces deux nouveaux compagnons, que notre roi se rendit auprès du Prince Claudio Valisti, ce dernier lui annonça que la rumeur voulait que son père se trouve dans les prisons de Valbancher. Malheureusement, à leur arrivé,  Maric n’était déjà plus là. Isabella, Varric et Alistair décidèrent de sauver le mage qui une fois libre, leur apprit que c’était une certaine yavana, la sorcière des terres sauvages qui avait sauvé leur père. [Note d’Alistair : A croire que je suis condamné à crapahuter dans les marais pour trouver des sorcières apostates… Le Créateur a un drôle de sens de l’humour.] C’est ainsi que le groupe se rendit dans les marais de Tellari.

[Note d’Alistair attendez c’est là que ça devient croustillant !] Dans le marais, qui ressemblait à tous les marais à une exception près dans celui-là il y avait un dragon sir.
[Note d'Alistair : Vous auriez vu cette bestiole ! Un sacré bout ! J’aurais bien voulu voir monsieur le héros je tue des archidémons pendant mes vacances le vaincre celui-là. Non je n’ai pas peur de lui…]

Avant que le dragon n’avale notre bon roi, il fût sauvé par la sorcière Yavana qui donna rendez-vous à Alistair sous le sanctuaire. Mais vous commencez à avoir l’habitude rien ne se passe jamais facilement. Sans le dragon Sir qui était parti, Claudio en profita pour encercler et tuer une grande partie de l’équipage de notre roi. Alistair afin de sauver des vies accepta de se rendre et suivit l’homme jusque dans son camp. Sauvé par ses amis, Isabella furieuse d’avoir perdu ses hommes mit à mort Claudio. N’ayant plus moyen de l’interroger ils se rendirent auprès de la sorcière qui invoqua l’esprit de Claudio et qui leur apprit qu’un certain Aurelian Titus cherchait à obtenir Alistair en vie. Peut-être était-ce l’imagination de notre roi. Ou le fait de vivre dans le même château que Dame Anora. Mais il eut un doute à ce moment-là sur Yavana. Cette nouvelle semblait bien trop lui faire plaisir. [Note d’Alistair : Je me méfie toujours d’une femme ou d’un homme d’ailleurs qui peut se faire obéir d’un Dragon…]

Pourquoi donc la suivit-il dans le sanctuaire ? Peut-être parce qu’il sentait qu’il aurait un début de réponse . Peut-être parce que cette femme avait connu son père . Là dans le sanctuaire, des dragons endormis. [Note d’Alistair : à partir de là je vous avoue que sur le moment je n’ai pas tout compris… Mais bon j’ai fini par me pencher sur ça et maintenant j’ai tout compris. Enfin presque.]

La sorcière expliqua que dans le sang de Maric et donc dans celui d’Alistair coulait le sang de Calenhad et qu’ils pouvaient réveiller les hauts dragons. Et comme elle avait perdu le père elle comptait bien utiliser le fils. Cependant notre roi refusa et la tua. [Note d’Alistair : réveiller les dragons Sir et pourquoi ne pas prendre le thé avec l’archidémon?]
Après la mort de la sorcière un dragon Sir approcha de notre roi. Cependant il ne lui fît aucun mal. Alistair retrouva ses compagnons et sans en dire plus qu’il ne le devait se décida à partir sur les traces de son père.
Voilà donc le groupe invité à un bal, être roi pouvait vous ouvrir des portes. C’est là que notre roi rencontra Titus et qu’il pût également mettre à contribution son éducation de Templier. En effet le magister tenta d’utiliser la magie du sang sur lui. Mais notre bon roi, de par son éducation et sa force de caractère, résista à la magie du sang, le sorcier fût contraint de fuir. Heureusement ces hommes eux semblaient tenir à la vie et donnèrent l’emplacement de leurs maîtres. Voici donc le temps venu pour notre roi et ses amis de se rendre à Seheron.
Malheureusement [Note d’Alistair : Je crois que tout le monde se doute qu’il va se passer quelque chose. Je n'ai pas de chance on le sait. Vous ne voulez pas abréger un peu… Personne ne voudra lire ça… C’est bien trop long et vous avez encore tout le chapitre sur l’Inquisition à écrire…]
Le groupe fut capturé par des Qun qui tentèrent de les convertir. Heureusement ils furent libérer par Isabella. Mais l’ancien compagnon de notre roi. Sten, devenu Arishak ne semblait pas vouloir laisser les choses se passer ainsi. [Note d’Alistair : Il m’appelle Kadan quand même. J’ai gagné son respect. Je ne vous embête plus.] Après un combat acharné, Alistair gagne le duel et propose à Sten de les aider. Le Qunari accepte et les voilà partie pour retrouver Titus. Et ce fût des combats et du sang. Mais notre roi était décidé alors il se moquait de sa lame qui devenait lourde et de son corps qui fatigue. Ici il me fait signe, il voudrait garder pour lui son passage dans l’immatériel et ce qu’il a vu. Ce que je peux vous dire, c’est qu’il en ressortit plus grand et prêt à devenir roi.
Jusqu’alors il ne considérait pas vraiment le trône comme le sien. Après cette rencontre, il savait que c’était sa place et son devoir. Notre roi revient dans le monde réel et fît la seule chose qui lui restait à faire… Il libéra Maric et l’envoya prendre un repos bien mérité auprès du Créateur.


Nous arrivons à la dernière partie de cette biographie. La suite ne sera écrite que plus tard, lorsque nous aurons assez de recul pour pouvoir en parler. Cependant bien que sur ces sujets se soit compliqué, il semble important de vous en donner un début d’explication.
Des failles se sont ouvertes un peu partout, non seulement chez nous à Ferelden mais aussi en Orlaïs. Et personne ne sait pourquoi ni comment. Heureusement ou non, comme je vous le dis nous ne pouvons pas vraiment savoir, l’Inquisition vit le jour. Alors oui, l’Inquisitrice peut fermer les failles. Mais la première Inquisition n’a pas bien terminé. En tout cas, notre roi semble vouloir observer et attendre, surtout que pour le moment ils soient les plus à même de maintenir l’équilibre du monde.
Notre roi cependant fût grandement touché parce qu’il avait appris sur les gardes d’Orlaïs et il a plusieurs fois voulu s’y rendre ou envoyer des lettres à l’inquisitrice, mais il n’était pas l’un d’eux. Il était roi et il ne pouvait pas se permettre de mêler les gardes à de la politique. Leur statut était déjà bien assez précaire…

Extrait du journal de notre roi concernant l’appel créer par Coryphéus.

« Je l’entends, aussi clairement que j’entends les voix de ceux qui m’entourent. Pourtant je lutte, je le sens au plus profond de moi que ce n’est pas ma fin. Que ce n’est pas naturel. J’ai d’abord pensé à envoyer une lettre à Cousland puis, je me suis ravisé. Que pourrait-il y faire ? Et puis je suis roi, pas garde. Je ne dépends pas de lui… Alors je lutte, je ne me laisserais pas envahir par les ténèbres. Un royaume compte sur moi. Mais je ne peux m’empêcher de trembler. Et si je me trompais . Et si c’était vraiment ma fin . »

L’appel fut réglé par l’Inquisition ne laissant des gardes qu’une ombre de ce qu’ils étaient, Alistair en fût peiné, mais il ne pouvait rien y faire. Il garderait cependant un œil sur cette Inquisition qui semblait faire son nid dans son royaume.

Voilà pour ce que nous savons. Le reste nous laisserons à d'autres la joie de l’écrire.
Biographie du Roi Thierin Alistair écrite par Lysandre Axarrow  Biographe officielle de la cour de Ferelden. [Note d’Alistair : et par Alistair Thierin lui même.]

Félicitations, Alistair tu es maintenant officiellement,
Validé(e) !

Avis du staff sur ta présentation : Je n'ai rien à redire ! Tout colle parfaitement au personnage et l'histoire est écrite avec exactitude et l'utilisation d'une plume merveilleuse ! L'approfondissement du personnage est génial, j'en ai moi-même apprit beaucoup et le tout s'imbrique parfaitement dans les choix qui ont créé le contexte actuel ! J'ai très hâte de te voir en jeu !!

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens,  ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

N'oublions pas le plus important : Maintenant tu as accès au système de points d'expérience et au(x) QG de ton (tes) faction(s) ! De nombreuses surprises t'y attendent : tu pourras échanger avec les autres membres de ta faction pour établir des stratégies et gérer les ressources de ton groupe !

N'hésite pas à demander un RP aux autres membres du forum et créer des liens avec eux ! Rendez-vous sur le discord ou sur ce lien pour demander un jeu aux membres disponibles !

Sur ce, cher membre, nous te souhaitons un bon jeu !