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L'Intendant
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Langue de miel, langue de vipère
Du côté de la Garde Féreldienne, s’allier à la noblesse du pays était un coup très bien calculer tandis que, du côté de la couronne, c’était une agréable surprise. Les termes de l’alliance allaient de bon train, mais lorsque le Conseil posa leur regard sur les faits en train de s’accomplir, ire et indignation menaçait d’ébranler la gestion interne. Pour contrer ce problème, il avait été décidé que le Roi et le Conseil allaient rencontrer des émissaires de la Garde des Ombres pour discuter des termes de l’alliance, à supposer qu’elle tienne, dans l’intérêt de tous.
Lorsque le Commandeur-Garde révéla la nouvelle, il reçut rapidement deux candidatures. Faisant confiance à sa secrétaire privée et à la plus jeune Hawke qui avait prouvé sa bonté de coeur, il ne s’opposa pas à les envoyer ensemble à Dénérim. Une fois la date choisie et les invitations envoyées, le duo se mettait finalement en route.
Lorsqu’elles arrivent à la Capitale, peu avant l’heure du midi, les deux jeunes femmes commencent à se frayer lentement leur chemin vers le Palais.
À l’intérieur, le Roi est en train de se regrouper avec son Conseil. C’est sa dernière chance de leur faire perdre une partie de leurs craintes avant l’arrivée des Gardes. Pour ce sujet, se retrouvait Teagan, qui s’était jusqu’à maintenant montré réticent face à l’alliance envers l’Ordre, mais il n’avait toujours pas montré une opposition ferme. Le Général Roman voyait cette idée d’un très mauvais oeil. Il n’aimait pas que le Roi essayait d’offrir plus de pouvoir à la Garde qui les avaient déjà trahi à l’époque des Dryden. Par contre, le plus gros problème venait d’Anora. Fermement contre cette idée, elle avait déjà laissé glisser plusieurs commentaires disgracieux envers le laxisme du Roi.
Lorsque le Commandeur-Garde révéla la nouvelle, il reçut rapidement deux candidatures. Faisant confiance à sa secrétaire privée et à la plus jeune Hawke qui avait prouvé sa bonté de coeur, il ne s’opposa pas à les envoyer ensemble à Dénérim. Une fois la date choisie et les invitations envoyées, le duo se mettait finalement en route.
Lorsqu’elles arrivent à la Capitale, peu avant l’heure du midi, les deux jeunes femmes commencent à se frayer lentement leur chemin vers le Palais.
À l’intérieur, le Roi est en train de se regrouper avec son Conseil. C’est sa dernière chance de leur faire perdre une partie de leurs craintes avant l’arrivée des Gardes. Pour ce sujet, se retrouvait Teagan, qui s’était jusqu’à maintenant montré réticent face à l’alliance envers l’Ordre, mais il n’avait toujours pas montré une opposition ferme. Le Général Roman voyait cette idée d’un très mauvais oeil. Il n’aimait pas que le Roi essayait d’offrir plus de pouvoir à la Garde qui les avaient déjà trahi à l’époque des Dryden. Par contre, le plus gros problème venait d’Anora. Fermement contre cette idée, elle avait déjà laissé glisser plusieurs commentaires disgracieux envers le laxisme du Roi.
[Pour ce premier tour, nous allons déterminer le tour de jeu de chaque joueur selon l’ordre de réponse. Profitez-en pour mettre en place votre stratégie avant que la rencontre débute. (Bethany ne postera pas en première pour laisser une chance aux joueurs d’interagir avec les posts MJ]
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Langue de miel, langue de vipère
Tout le monde se rejetait les fautes et les erreurs, c’était amusant à regarder mais ça commençait à lui donner un fichu mal de crâne. Et les insultes à peine voilées d’Anora commençaient à réellement l’agacer. Quand enfin il eut assez de cette discussion stérile il reposa sa coupe d’eau sur la table de façon à créer un son clair qui résonna dans la salle du trône qui pour l’occasion c’était vu aménager avec tables et chaises. Il portait sa couronne sur ces cheveux mit long coiffé en arrière. Un lourd manteau en fourrure était posé sur ces épaules. Il posa son regard sur ses conseillers et s’arrêta sur son oncle avant de prendre la parole.
« Silence. C’est à mon tour de parler. Vous ne voulez pas de cette alliance mais ne proposer rien en retour. Ce ne sont pas nos soldats qui ferment les failles, ce ne sont pas nos hommes qui protègent le peuple. Ce ne sont pas nos hommes qui apportent nourriture, vêtement et soin à notre peuple. Alors je vous écoute . Que devons-nous faire ? Attendre que l’Inquisition vienne à Dénérim et prenne le pouvoir . Teagan vous êtes contre mais qu’avez-vous fait ? Et ne rejetez pas la faute sur moi. Nous étions d’accord pour aider les mages, c’est vous qui avez laissé les Venatorie prendre Golfalois. Vous avez abandonné vos sujets et votre château à l’ennemi. » Il tourna ensuite son regard sur Roman qui sentait que la suite était pour lui. Alistair était rarement aussi affirmé, mais il commençait à en avoir assez qu’on le traître comme un enfant. Il était le roi, il n’était pas idiot et il avait le soutien du peuple. Il posa son regard sur son conseiller miliaire.
« Et vous Ser Roman ? Avec qui voulez-vous que nous nous allions ? Les Templiers ? Laissons leur le temps de se reconstruire avant de leur demander l’impossible. Qui d’autre va nous soutenir ? Vous le savez aussi bien que moi. L’inquisition gagne en puissance et nous restons là. À attendre que le temps passe. Vos hommes ne sont pas assez nombreux ni même assez entraînés pour combattre les démons. Voulez-vous les envoyez à la mort . Les gardes savent combattre et ils ont des mages. Mages que nous n’avons plus car nous avons laissé l'ennemi en faire ce qu’il voulait et maintenant ils sont avec l’Inquisiton. Alors ? Avec qui me proposez-vous une alliance ? Vous n’avez rien à dire . Et Vous Anora ? Qui semblez si prompte à me juger ? Je vous écoute, qu’est-ce que votre langue de vipère pourrait bien me dire ? Vous feriez mieux de ne pas trop dénigrer la garde, ce n’est que grâce à eux que vous êtes assises là aujourd’hui. » Comme il n’avait pas de réponse il en conclue que personne n’avait de meilleure idée pour le moment, il reprit sa coupe en fonte qu’il glissa dans entre ses lèvres pour prendre une grande gorgée d’eau. Des fois il écouterait bien les conseils de son ami et il dirait bien « merde » à tout le monde.
« Puisque je constate que vous n’avez rien à me proposer, nous allons recevoir les envoyés de la garde de Ferelden. Nous allons être aimables et polies et nous allons écouter ce qu’ils auront à dire. Et si vous avez un souci avec la garde vous le gardez pour vous, cela n’a pas sa place à la tale des négociations, donc vous allez faire un nœud à votre mouchoir et vous asseoir dessus. Car si je dois vraiment vous le dire, on ne croule pas sous les demandes d’Alliance. L’Enclin est loin mais personne n’a oublié et nous nous reconstruisons encore. N’oubliez pas, ce n’est pas seulement pour nous que nous devons réfléchir. Mais aussi pour notre peuple. » Les négociations n’avaient même pas commencé qu’il était déjà fatigué. Il soupira et vit venir un garde pour lui dire que dès que les envoyés gardes se présenteraient, ils pourront les faire entrer. « Et soyez aimable. »
- Spoiler:
- J'espère que ça va c'est pas très long si faut plus long je peux mais c'est que je me doute que ça doit pas trop traîner non plus.
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