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Kayran
L'AVENTURE EST JUSTE
UN NOM ROMANTIQUE POUR PROBLÈME
- Vous avez fait bien plus, Ser Kayran. La droiture est chose rare de nos jours. Nous le savons tout deux., soufflais-je, La barde du Bann Lanceval ne mentait pas, en dressant de vous son portrait élogieux.
Bien que ton geste soit née de l'échange pécunier, je n'oublierais pas la sincère loyauté qui en avait découlé. Ni l'origine fautive de tes tremblements. Je détournais pudiquement les yeux, de la chair meurtrie sans que ma culpabilité ne parviennent à en faire de même. Adossé à la paille de la paillasse, je ne pouvais t'offrir que cela : de l'intimité pour ta faiblesse. Et pendant que s'écoulait l'odeur entêtante de ta décoction, je n'osais découvrir les miennes de blessures. L'apathie de ma main m'effrayait.
- En l'état actuel de choses, je crains que ceci ne soit un euphémisme, ser Kayran, laissais-je entendre avec un cynisme que je ne me connaissais pas.
L'amertume me gagnait.
AVENGEDINCHAINS
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Le Qunari apprécia qu'elle ne fasse aucune remarque compatissante sur son état. Il portait l'humiliation de sa faiblesse comme un fardeau et ne souffrait pas qu'on la lui rappelle par ce trop plein de sollicitude que les humains se plaisaient à dispenser.
Il frictionna la boursoufflure pendant un long moment, serrant les dents, et ne pouvant s'empêcher de grogner de douleur par moment.
Il releva le nez vers la jeune femme lorsqu'elle flatta son sens de la loyauté. C'était un principe pour lequel il n'avait jamais dérogé.
- il faut te rapatrier dans un endroit où on pourra te soigner correctement. Ta main est très abimée. Fais quérir quelqu'un qui viendra te chercher.
Il banda sa jambe avec le même linge odorant et se releva pour s'approcher d'elle.
Le contre-jour qui découpait sa silhouette massive et sa tête cornue, amplifiait son gigantisme et sa monstruosité. Ses yeux pâles qui la fixaient étrangement semblaient vouloir percer son âme.
-une mage... qui court après des templiers. Quel drôle d'oiseau tu es.
Il frictionna la boursoufflure pendant un long moment, serrant les dents, et ne pouvant s'empêcher de grogner de douleur par moment.
Il releva le nez vers la jeune femme lorsqu'elle flatta son sens de la loyauté. C'était un principe pour lequel il n'avait jamais dérogé.
- il faut te rapatrier dans un endroit où on pourra te soigner correctement. Ta main est très abimée. Fais quérir quelqu'un qui viendra te chercher.
Il banda sa jambe avec le même linge odorant et se releva pour s'approcher d'elle.
Le contre-jour qui découpait sa silhouette massive et sa tête cornue, amplifiait son gigantisme et sa monstruosité. Ses yeux pâles qui la fixaient étrangement semblaient vouloir percer son âme.
-une mage... qui court après des templiers. Quel drôle d'oiseau tu es.
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