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Sam 28 Mar 2020 - 8:12

Anonymous
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La naine et le Roi
Attention danger ou peut-être pas


Depuis toujours, Dénérim avait été la ville de cœur de Crista. C'était la ville de son enfance, elle en avait arpenté quasiment toutes les ruelles, tous les recoins. Elle aimait son ambiance, ses bâtiments, les gens qui y vivaient. C'était sa ville, celle de tout son clan et elle ne s'imaginait absolument pas vivre ailleurs un jour. Du moins, jusqu'à ce qu'elle se marie, qu'elle fasse l'expérience de la vie commune avec un nain dont elle n'arrivait pas à tomber amoureuse. A partir de là, sa vie était devenue tellement fade et elle, elle était devenue tellement morose. Son reflet dans le miroir, la naine ne le reconnaissait plus, elle qui pourtant était si joyeuse et pleine de vie. Alors, lorsqu'elle put quitter Dénérim pour partir sur les routes de Thédas, ce fut comme une délivrance. Comme si elle suffoquait depuis son fastueux mariage et qu'à présent elle pouvait à nouveau respirer. La vue de Krogan lui était devenue insupportable et malheureusement, dans sa tête, elle n'associait plus sa belle Dénérim qu'à ce Foudresang. Revenir dans sa ville natale ne signifiait plus que revenir auprès de lui, reprendre son rôle d'épouse, faire bonne figure devant lui et devant sa belle-famille. Tout ça pour la survit de son clan. Quand elle rentrait à Dénérim -parce qu'à un moment il fallait bien le faire après être partie de longs mois- Crista passait le plus clair de son temps dans son atelier, le vrai, le sien, celui qu'elle avait depuis qu'elle était adolescente. Elle en avait un bien sûr du côté des Foudresang mais elle se sentait bien plus à l'aise, sur la propriété de son père. Là-bas c'était comme un refuge.  

Cela faisait donc une semaine que Crista avait re-déposé ses valises en ville et malgré tout, elle était bien contente de retrouver le confort de son atelier, bien mieux équipé que ceux de fortune qu'elle montait lorsqu'elle était sur les routes. Son voyage l'avait menée jusque dans les Marches Libres, où elle avait réussi à dégoter une étrange formule alchimique qu'elle avait du mal à déchiffrer et à en comprendre le sens. La naine détestait ça quand quelque chose lui résistait, elle était d'ailleurs du genre à tout mettre en oeuvre pour arriver un moment ou un autre à ses fins, même si parfois cela voulait dire provoquer quelques dégâts au passage. La petite rouquine était donc là, installée à son établi, concentrée, manipulant avec précaution divers ingrédients. L'art de l'alchimie était tout aussi dangereuse, voire plus, que celui du maniement de la poudre et elle n'en était pas encore tout à fait experte. Maférath, son mabari -au nom qui ferait faire un arrêt cardiaque à n'importe quelle sœur de la Chantri- était allongé au sol, observant sa maîtresse en silence, dressant parfois ses oreilles comme s'il pressentait quelque chose de mauvais. Un peu plus loin, il y avait Thran aussi, son petit-frère de vingt-et-un ans. Il était assis sur une chaise, un livre ouvert dans ses mains, soupirant sans arrêt d'un air las comme s'il avait le poids de tout Thédas sur les épaules. Ce qui agaça très vite la naine, jusqu'à le foutre définitivement dehors sous un flot d'insulte très imagé. Après cette interruption, elle tenta de se replonger dans son travail mais à nouveau on vint la déranger. Elle entendit des pas passer l'encadrement de la porte. Bordel c'était encore Thran ! Ne voulant pas lui accorder plus d'attention que ça, Crista ne se retourna pas et garda les yeux rivés sur sa préparation. Seulement, perturbée par tout ce bazar, sa concentration chavira et elle laissa tomber un élément de trop dans son récipient. Merde. Aussitôt, une réaction chimique survint, un bruit sourd s'en échappait ainsi qu'une étrange fumée odorante. L'artificier écarquilla les yeux, c'était pas bon ça, pas bon du tout même ! « Ça va exploser ! » Hurla-t-elle subitement en fonçant sur son frère pour le plaquer au sol et le protéger de l'explosion. Sauf que... Sauf que voilà, la pauvre naine se heurta à un mur. C'était pas son frère qui avait passé la porte, c'était un humain, un homme et vu la carrure, Crista n'aurait jamais pu l’entraîner par terre avec elle. Tout ce dont elle avait l'air, c'était d'une enfant encerclant de ses bras la taille d'un adulte, la tête enfouie contre son ventre. Et l'explosion ? Ah oui, il y eut juste un POC. C'est tout. Rien d'autre. Ouais, elle avait l'air d'une idiote. Pokerface. Ses mains se défirent de son étreinte en rigolant bêtement, tandis que Maférath revenait vers elle après s'être enfui à l'autre bout du couloir. « C'était une fausse alerte en fait ahah... » Puis elle releva enfin la tête pour découvrir qui était ce mystérieux humain. « Déso... » Mais la voix de la jeune naine se stoppa nette. Elle observa le visage de l'inconnu, puis son regard se posa dans le sien. Un inconnu pas si inconnu que ça. Crista resta une seconde bouche bée. Putain. Bordel. Lui, là, c'était le Roi, le fucking Roi de Férelden. Et son Roi par la même occasion, en tant que féreldienne. Elle ne l'avait encore jamais rencontré mais la rouquine savait tout de même à quoi ressemblait Alistair Theirin, elle avait déjà eu l'occasion de le voir de loin. Elle fit un bon en arrière. « Votre Majesté ! » s'exclama-t-elle en criant presque tant elle était surprise. « Je suis désolée ! » Mais pouvait-on dire à un roi qu'on était désolé ? Est-ce qu'on devait s'excuser comme ça auprès d'une personne de son rang ? « Je croyais que mon bazar allait péter et... » La petite rouquine devait avouer qu'elle ne savait plus trop comment réagir ni comment s'expliquer. Maférath aboya un coup à l'encontre du monarque, voyant dans quel état il mettait sa maîtresse. Bon sang. Elle ne l'avait jamais vu d'aussi près. Il était beau. Et bien coiffé aussi. Mais après tout, les rois étaient toujours très bien coiffés non ?


Crista parle en #ff6666



Sam 28 Mar 2020 - 10:14

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La naine et le Roi
Attention danger ou peut-être pas


Visiter les ateliers des surfaciens était en sois une bonne idée. Mais ce qui lui avait déplus c’était qu’il doive se pavaner ici tel un paon. Il n’était pas contre l’idée de rencontre ses nains qui avaient fiat de Dénérim leur demeures. Simplement il aimerait avoir l’occasion d’échanger avec eux. Et pas juste de devoir être là comme une potiche et de se contenter de hocher la tête quand on lui disait quelque chose. Il soupira encore, pour sûrement la centième fois depuis le début de la visite. Puis en ayant assez il prit la parole. « N’avons nous pas signer un contrat avec vos ateliers ? Pas moi Cailan ? Je vous avoues que je serais curieux de voir cela. » Mais on lui dit que la visite n’avait pas pour but de parler de cela et qu’il pourrait en parler plus tard avec les intéressés, blablabla… Il posa son regard ennuyer sur tout ce qui lui semblait sortir de l’ordinaire. C’était bien la peine d’être roi s’il ne pouvait pas imposer un sujet de conversation. Il fronça le nez quand son mabari essaya de mordiller le manche d’un outil et le fit revenir au pied. « Je sais toi aussi tu t’ennuie mais après je te jure qu’on ira faire une balade que tous les deux. » Il avait parler à voix basse pour ne froisser personne. Après tout les nains présent n’y étaient pour rien eux. La visite durait, encore et encore, s’étirant comme un chat sur les tuiles brûlantes d’une chantrerie en plein été. Et aller que ses conseillers posaient des questions aussi utile que les seins d’une mère supérieure pendant que lui il voulait juste voir les nains au travail. Il voulait les voir créer, ce n’était pas de la magie mais presque. Enfin apparemment il n’avait le droit de rien dire et donc il suivait sagement. Tel un mabari bien dresser, bientôt on le ferait sauter dans des cercles de feu et lever la patte. Vraiment, il se demander si tous les souverains de Thédas vivaient la même chose. Avoir tous les pouvoirs sur tous le monde sauf sur soit même. Voilà de quoi faire réfléchir les plus grands philosophes de ce monde tiens.

La visite, elle, se prolongeait inlassablement sans que jamais on ne parle de ce qu’il voulait vraiment entendre ou sans qu’on lui laisse demander aux nains présent s’ils avaient besoin de quelque chose ou s’ils avaient des revendication. Ce n’était pas à l’ordre du jour apparemment. Heureusement, parfois l’amusement arrivait sans qu’on le cherche. Il pouffa un peu quand son mabari se soulagea contre la jambe d’un des gardes qui pesta. Mais pour ne pas donner l’air de son fiche complètement il fit mine de le fâcher. La pauvre bête baisa la tête en geignant et reprit la marche avec son maître. Une voix il ne savait pas si c’était leur guide nain ou l’une des personnes de la cour qui lui parlait. « De nombreuses amélioration ont étés faites. Comme vous pouvez le voir, nous n’avons rien à envier aux ateliers d’Orzammar. Bien sûr nous ne disons pas être meilleur qu’eux. Mais je crois que nous pouvons facilement les... » Le restes se perdit dans un bourdonnement qui lui donnait envie de bailler. Venir ici pour montrer que le roi se soucier de tout le monde. Ce n’était pas une mauvaise idée, mais il attendait qu’on lui propose une sortie dans le bas cloître. Là étrangement personne n’était volontaire. Il soupira un peu avant de voir que ses accompagnateurs étaient fasciné par quelque chose que leur montrer le guide. Sans se faire prier il bifurqua sur la droite Enclin sur les talons. Voilà, il était bien mieux seul. Comment-est ce qu’il pouvait parler avec les gens et s’inquiéter de leur sort s’ils n’avaient pas le droit de l’approcher. Il passa une main dans ses cheveux et se mit à marcher observant et s’arrêtant parfois pour regarder quelque chose d’un peu plus prés.  Mais il profita de sa nouvelle liberté pour regarder les nains travailler de plus près et leur demander leur avis sur des choses ou d’autre. Avant de reprendre sa marche. Il vit un jeune nain se faire chasser avec beaucoup de poésie d’un atelier. Il pouffa, observant le nain partir la mine déconfite. Alistair curieux, s’avança pour frapper à la porte et ainsi voir l’antre de la dragonne maîtresse des lieux. Parce que s’il n’avait pas vu son visage il avait entendu sa voix et c’était bien une femme. Au caractère bien trempée apparemment.  Ne recevant pas d’ordres contradictoire il entra d’un pas dans l’atelier, mais avant qu’il n’est pu dire quoi que se soit comme Bonjour excusez moi de vous déranger mais j’aimerais bien vous voir à l’œuvre, la naine lui sauta dessus en hurlant.  Par réflexe il enroula ses bras autour d’elle afin de la protéger des éventuel débris mais alors qu’il allait se retourner afin de présenter son dos à lui à l’explosion il entendit un petit son de souris et puis plus rien. Surprit il jeta un rapide coup d’œil à l »explosion » avant de regarder la jeune naine. Sans rien dire. Puis il fini par rire alors que Enclin avait passé sa tête entre les jambes de son maître pour voir ce qu’il se passait. « Ne vous excusez pas ! Vous vouliez me sauver la vie. C’est pas une raison de s’excuser voyons ! Et pas la peine de vous embêter avec l’étiquette et tout le reste. J’ai fait faux bon à ma suite pour une bonne raison. Alistair, mais j’ai comme l’impression que vous le savez déjà et... » Enclin passa sans se préoccuper de son équilibre entre les jambes de son maître qui s’appuya contre le mur pour ne pas tomber. « Voici mon mabari Enclin. » L’animal observa l’autre mabari et Alistair lui porta son regard sur sa maîtresse. Elle était jolie, trop pour le bien d’Alistair qui n’était pas à l’aise avec les femmes encore moins avec les femmes jolies et sûr d’elles. « J...V.. Vous faites quoi ? »



Sam 28 Mar 2020 - 20:07

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La naine et le Roi
Attention danger ou peut-être pas

Sur le moment, Crista ne savait plus vraiment où se mettre et pourtant elle n'était pas bien grande. Elle n'avait jamais imaginé un jour rencontrer le Roi, surtout pas dans une telle situation. La naine ne connaissait strictement rien à l'étiquette. Face à un homme de son rang, elle devait lui paraître tellement offensante et impolie. Mais lorsqu'il prit la parole, rien de tout ça ne se fit ressentir. Bien au contraire. L'artificier avait déjà rencontré bons nombre de nobles, féreldiens, orlésiens, marchéens aussi et beaucoup d'entre eux auraient affiché à son égard pas mal de mépris. Venant d'un roi, elle s'attendait à ce que ce soit encore pire mais Alistair n'avait rien à voir avec les nobles qu'elle avait pu croiser lors de ses voyages. Ce fut donc une drôle de surprise. Le monarque tenta de la rassurer, tandis que son mabari passa entre ses jambes. La simple vue de l'animal décrispa la naine. Les animaux étaient toujours de bons moyens pour détendre l'atmosphère. Crista approcha sa main près du jeune chien pour qu'il puisse la renifler. « Salut toi... » Souffla-t-elle en laissant un léger sourire étirer enfin ses lèvres. La naine adorait les mabaris, en bonne féreldienne qu'elle était. Ils étaient intelligents, protecteurs, affectueux et elle était particulièrement fière que Maférath l'ait choisi pour maîtresse. Son mabari, plus vieux que celui du monarque, approcha sa truffe de celle d'Enclin pour ainsi faire connaissance. Maférath laissa échapper un jappement presque inaudible puis s'assit aux pieds de la rousse, ne quittant pas du regard son congénère. « Lui c'est Maférath. Je crois qu'ils ne se détestent pas, c'est déjà ça. » Sa voix était devenue bien moins survoltée et elle osa relever la tête pour croiser le regard de l'humain face à elle. Alistair entama la conversation dans un étrange bégaiement. Était-il troublé par un si petit brin de femme ? Crista se tourna alors vers son établi, recouvert de tout un tas de flacons et d'ingrédients. Et sur les étagères en face on pouvait également distinguer tout un tas de chose en passant par de la nitroglycérine à des fragments de lyrium brut. En tant que naine, elle y était insensible. Il y avait aussi au fond de l'atelier tout une cargaison naine de poudre à explosif. « Oh, ça ? Je tente de déchiffrer une formule alchimique, j'expérimente depuis quelques jours mais il n'y a toujours pas de résultat concluant à l'horizon, comme vous avez pu le voir... » Elle soupira, déçue d'avoir raté et devant le Roi en plus. « Je ne suis pas encore une excellente chimiste, par contre je suis très douée avec la poudre ! » Continua-t-elle avec plus d'entrain, toujours ravie de parler de son travail tant elle était passionnée. « Je suis la Maître artificier des Haut-Roc. » La naine redressa un peu les épaules. Elle était fière de son titre, il prouvait qu'elle avait du talent, un savoir-faire et qu'elle était la seule ici a en avoir les compétences. « Oh et je m'appelle Crista ! Pour vous servir. » Un beau sourire, des yeux qui s'illuminent, la naine enjouée qu'elle était refaisait enfin surface. « Le comptoir est à mon père. Vous veniez pour le voir ? Vous n'êtes pas du tout au bon endroit vous savez. » Elle lâcha un petit rire. C'était fou comme la présence du Roi n'avait rien de pesant finalement, elle s'en était rendue compte au fur et à mesure qu'elle s'était mise à parler. « Mais Sir, en fait, pourquoi vous êtes là ? » Oui, là, dans son atelier à elle, plutôt qu'un autre. Pourquoi il n'était pas avec ses gens et les nains qui s'occupent habituellement d'accueillir les visiteurs et les clients ?


Crista parle en #ff6666



Mar 12 Mai 2020 - 21:49

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La naine et le Roi
Attention danger ou peut-être pas


Enclin laissa entendre un jappement heureux. Il n’avait que peu l’occasion de voir d’autres mabaris. Il se coucha devant l’autre et avança la truffe vers lui pour faire connaissance. Alistair regarda un peu la scène avant de reporter son attention sur la jolie naine devant lui. « Vu leur noms il serait étonnant qu’ils ne s’entendent pas. Enclin est encore jeune, cela ne fait pas longtemps que je l’ai. » Parler de mabari, il pouvait il gérait bien ce sujet. Il posa son regard caramel partout. Les flacons, les chiens l’établis tous l’attirait. Comme un enfant dans une boutiques de jouets. Il suivit le petit brin de femme, toujours si peu à l’aise avec l’autre sexe. Il sourit un peu en secouant la tête avant de se gratter les joues d’un air pensif. « Tout dépens du point de vu. Il c’est bien passé quelque chose après je ne puis juger si c’était celui que vous vouliez ou non. Et pour répondre à vos autres questions, laissez moi faire dans l’ordre. Alors je suis en visite officielle dans les ateliers afin de montrer que le roi s’intéresse aussi aux nains. J’ai fait faux bond à ma garde parce qu’ils m’ennuient et je ne cherches pas particulièrement quelqu’un. Mais il est vrai que j’aimerais discuter avec lui ou un membre capable de décider afin de parler de ce marché passer avec feu mon frère. » Il sourit, de son sourire chaleureux et communicatif. Il n’était pas du genre à se prendre la tête avec l’étiquette ou se genre de chose. Il fallait dire qu’il avait grandis avec des chiens, alors bon… Du moment qu’on le mordait pas il était plutôt sympathique. Il furetait partout, curieux de tout, avide de savoir. On pouvait dire ce que l’on voulait d’Alsitair mais rien n’était indigne de son attention. C’était pas tous les jours qu’il pouvait sortir du château et encore moins qu’il avait l’occasion de voir l’atelier d’un nain expert dans son domaine. Il tourna la tête vers Enclin qui semblait beaucoup aimé voir un autre mabaris puis lui même arrêta son inspection pour revenir vers la jeune femme. Il passa un doit sur l’établie avant de mettre ses mains dans son dos comme pour s’empêcher de toucher à tout. Quand elle commença à lui posa les questions, il fût d’abord tenté d’essayer de lui mentir. De lui dire qu’il voulait négocier de nouveau l’accord que la couronne avait avec son clan. Mais il n’avait pas du tout envie de parler politique ou économie. Non il y avait des choses bien plus importantes en ce moment. Quand toutes ces fioles bien sagement rangés par couleurs sur de solides étagères. Il fit mine d’arranger la fourrure de sa cape avant de faire une petite moue.

« Ho vous savez… Je n’ai pas vraiment de... » Il se tue il entendait du bruit dans les couloirs. Il se plaqua contre le mur du côté où la porte s’ouvrait, si bien que quand le panneau de bois bougea il était caché derrière. Enclin aboya sur les hommes qu’ils connaissaient bien. « C’est le chien du roi ! Toi là ! Est-ce que tu as vu le roi ?! Dis nous où il est ?! » Alistair depuis sa cachette de fortune croisa le regard de la jeune naine. Il secoua la tête de gauche à droite dans l’espoir qu’elle ne dirait rien. Tout cela était presque digne d’un vaudeville, sauf qu’il n’était pas l’amant ni même cul nu. Les gardes ne semblant pas pensé que le roi pouvait être caché derrière la porte grognèrent un peu. « A tout les coups il est à la taverne. Un jour il va se prendre une dague dans le dos... » L’autre secoua la tête en frissonant un peu. «Qui irait poignarder l’un des héros de Ferelden ? Pas un Fereldien en tout cas. »Un rire lui répondit « Notre roi passe son temps à s’entourer de nain, d’elfes et d’Orlésien… Et eux… Ils n’auront aucuns scrupules à le poignarder… Bon retrouvons le avant qu’on ne nous cris dessus. »

La porte se ferma dans un petit claquement et Alistair envoya un regard gêné à la jeune femme. « Pardonnez moi pour ça… Voilà ce que je fais… J’essaye d’échapper à mes responsabilité. Je sais que ce n’est pas digne de moi. Mais comment dire… Je mérite bien une heure de repos non ?Ensuite juré je retournerais à mes obligations. » Enclin aboya de nouveau et vient sauter sur son maître n’ayant pas trop compris pourquoi il c’était caché. Alistair le flatta avant de lever son regard sur la naine. « Vous acceptez de cacher un roi fugitif encore un peu ? Juré je serais sage et je ne toucherais à rien… Et je peux peut-être même vous aider. Je suis plutôt doué pour faire explosé des choses.»



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