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Jeu 30 Avr 2020 - 22:41

Anonymous
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Fiche personnage


Nom, Prénom : Karlan Rurïn. Sons brefs qui fusent et qui frottent, rugueux. Héritages lointains d'une vie révolue.
Âge :
36 ans.
Origine et lieu d'habitation :
Il est né dans la grande cité d'Orzammar - capitale de l'Empire déchu des nains – dans la Caste des Artisans. Habite aujourd'hui au quartier général de la Garde des Ombres des Marches Libres, dans la cité portuaire d'Ansburg.
Langue parlée :
Parle la langue commune et quelques vestiges d'une langue perdue, du moins pour son peuple.
Sexe :
Masculin
Orientation sexuelle :
Hétérosexuel
Situation amoureuse :
Célibataire
Faction et rang :
Commandeur-Garde de la Garde des Ombres des Marches Libres depuis quelques semaines. Il a du mal à se faire à ce titre, et c'est très long à écrire.
Profession :
Ancien bon à rien, ancien gredin du Carta.
Armement :
En guerrier digne de ce nom, Karlan utilise un équipement assez classique, qui a fait ses preuves. Une épée et un bouclier, rien de mieux pour tenir une position dans la mêlée. Il porte aussi toujours sur lui une dague courbe en cas de besoin, et est formé à l'usage de la plupart des armes. Bien entendu, en situation de combat, il porte son armure lourde de bleu et de gros, mais préfère une tenue plus souple et légère s'il n'est pas directement menacé.
Intérêts :
Protéger et servir, sauver des vies, se morfondre, la bière naine, Voltray son chat, la Garde des Ombres, la philosophie et la spiritualité, le second degré...
Anecdotes : Karlan a un chat auquel il tient beaucoup, et qui prend la pose dans tous les endroits les plus improbables de son bureau quand il a de la visite. Il s'est mis au travail de la pierre depuis son arrivée à Ansburg, où les carrières ne manquent pas, et est souvent dans l'atelier quand il a besoin de réfléchir.  N'a jamais été ivre mort depuis son Union. Cette gueule de bois lui a suffit, dit-il.  Ne parle pas de son passé, même à ses frères et sœurs d'armes.  A toujours suivi ce principe : on ne couche pas entre frères et sœurs. Se refuse donc de voir les autres Gardes des Ombres comme des amants potentiels.


Description psychologique : Les ombres dansent autour de lui et il déambule là, dans une pénombre crépusculaire, errance incertaine entre ce qu'il a été et ce qu'il sera, ne sachant trop où la lumière le guidera, si elle le guidera. Il vagabonde seul, Karlan, ça a toujours été. Seul au milieu de tous, seul face à ses choix, au poids des regards crépitant une dernière fois, un rictus sinistre aux lèvres. Amis au delà des mots, ennemis implacables, ils gisent dans le même sang, et l'écarlate teinte ses pas. Les ombres du passé rodent et hantent ses nuits. C'est son fardeau, il le sait, il le portera tant que le souffle le pousse à avancer encore, titubant. Parce qu'il est de ceux qui marchent debout.
Il n'est plus le jeune nain impétueux, ivre de pouvoir et insoucieux des conséquences. Les premières rides se sont dessinées sur son visage, et le doute plane dans son visage. Il ne sait pas ce qu'il est vraiment, a perdu toutes certitudes. Alors, il fait ce qu'il peut, il se cherche. Lunatique, il lui arrive d'être acerbe et piquant, sec et cassant. Il aime jouer avec les mots autant qu'avec une lame, et dans ce domaine aussi, c'est un adversaire à ne pas sous-estimer. Parfois pourtant, ses lèvres se délient d'un sourire, et il prend des allures de père de famille, joyeux et débonnaire, prompt à la camaraderie, parce qu'il aime profondément ses frères et ses sœurs, parce qu'il affronterait n'importe quel Enclin pour eux. C'est en ses hommes qu'il puise sa force, ça l'a toujours été.
Il est à fleur de peau Karlan. Le monde l'a brisé plusieurs fois, et la sensibilité enfouie en lui, cachée, s'est faite évidente. Ne plus détourner le regard et accepter sa nature, ce n'est pas facile, mais se mentir est bien pire. Bien plus violent. Il l'accepte donc, sa gorge qui se noue parfois, l'écume à ses yeux, l'étau à son cœur. Que fait-il encore là ? Pourquoi reste-t-il à son poste, quand ses frères et sœurs comptent sur lui pour prendre des décisions, pour les assumer face au monde ? Il rêverait d'un autre monde, dans lequel il puisse être ce qu'il veut, être normal, comme tout le monde. Mener une vie simple, se soucier de choses simples, ne plus combattre cette angoisse permanente, ne plus voir leurs ombres au cœur de la nuit. Et pourtant... Pourtant, il idéalise la Garde plus que tout. Un nouveau départ, une nouvelle vie, une nouvelle chance, pour les oubliés, les rejetés. Il a le sentiment d'appartenir à une vraie famille, valeureuse dans la difficulté, et dont les sacrifices sont grandis par le besoin de ce bas-monde. Sans eux, point de salut. Sans eux, personne n'aurait une vie normale. Il fait au mieux alors, pour le moins pire à défaut du mieux.
Chose rare pour un nain surfacien, Karlan vénère la Pierre. Il a grandi à son contact après tout, la sent, comprend qu'elle est bien plus qu'une simple surface froide. Il est aussi très respectueux de la spiritualité et de la religion en général. Pourtant, les années passent et ses sens s'effritent, sa relation avec la Pierre s'amoindrit. Il connaît le Destin des nains surfaciens, sait qu'il ne pourra jamais rejoindre ses ancêtres s'il tombe ici, à la surface, mais redoute aussi les passages auprès des siens, à Orzammar. Il n'est plus des leurs et ne le sera plus jamais, il le sait, et ce rappel de chaque instant lui fait trop mal. L'idéal, ce serait de tomber dans les Tréfonds : finir oublié, mais pas isolé. En attendant, il ne rechigne jamais devant un combat, même visiblement perdu d'avance (sauf si cela implique de perdre des compagnons). Un trompe-la-mort comme un dit, un nain solitaire qui déclame des chansons paillardes en faisant tomber des têtes. C'est sa vie, son bordel, son sac de nœud.

Description physique : Nope. Lol.

Derrière l'écran

Pseudo : Sur le forum on peut me connaître sous les noms d'Octave, Estrela, Cassandra, Emery, et j'en passe. Sinon c'est soit Durwell, soit Branchiflore.
Âge :
27 ans
Comment avez-vous connu le forum ? :
Joker.
Que pensez-vous du forum ? :
Vous m'avez manqué !
Un dernier mot avant de se jeter à l'eau ? :
Ouais, je tiens à repréciser ici que je ne viens pas pour tenter de reprendre une place au Staff ou régler des différents. Je traînais dans les parages depuis un moment, je venais de reprendre contact avec des membres et voilà, plouf.


Promesse à la Pierre ~ Karlan Latest?cb=20141218104531

Jeu 30 Avr 2020 - 22:41

Anonymous
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In War, Victory.

In Peace, Vigilance.

In Death, Sacrifice.


Histoire :

Il y avait, dans cette salle, comme un goût de vieux, qui titillait sa langue et le prenait à la gorge. Tout lui semblait étrange, comme les échos d'un songe perdu, comme si au fond, rien ici n'était réel. Il y avait, dans cette salle, tant d'histoires qui ne se disent pas. La sienne bientôt, enfermée entre ses murs, logée à l'encre noire dans un grimoire qu'on le lirait pas. Des mots, simplement. Figures vagues et étranges, ce serait son héritage. Bah, c'était mieux que rien, non ? Non, c'était pire que tout.
Un râle s'échappa de sa gorge, et il reprit sa course, va-et-vient chaotique dans cette pièce trop ordonnée, trop propre, trop nette. Une chaise alla voler contre un mur et se brisa net sous l'impact. Ça avait bien commencé pourtant, non ? Qu'est ce qui avait merdé, alors ?

Il était né dans une famille ordinaire, dans une petite boutique qui donnait sur le cornal adamant, dans la glorieuse cité naine d'Orzammar. Ses parents étaient de la Caste des Artisans, et on lui apposa sa marque. Karlan - c'était son nom - reprendrait un jour le flambeau familial et ferait la fierté de ses ancêtres. C'était son Destin. Une grande invention de la culture naine, ça, le Destin, implacable et impérieux, auquel on ne déroge pas.
Il avait passé ainsi ses premières années, enfant hagard dans l'atelier où tout était trop grand pour lui, bercé par le travail de ses parents qui donnaient naissance, avec leurs mains caleuses, à toutes sortes d'objets à base de cuir. Ils affectionnaient particulièrement les sacoches, mais ce n'était pas un gros marché ici bas, alors ils faisaient ce qu'ils pouvaient pour répondre aux demandes et survivre, simplement. Il y avait ces moments aussi qu'il aimait beaucoup, perché sur les épaules de son père, où ils vendaient sur un étal du marché, pendant la fête ou lors d'une Lice. Tellement de gens étaient là, discutant entre eux, lui adressant un petit sourire, à lui, l'enfant de l'ombre qui était destiné à créer l'or mais qui se sentait désespérément seul. Jusque là, tout allait bien alors. C'est après que ça avait déconné.
Il devait avoir douze ans, ou treize peut-être, et il commençait à pouvoir sortir. C'était pour faire quelques courses au début, aller chez un client, recevoir une livraison, mais il se sentait libre, comme si rien ne pouvait l'arrêter, comme si tous les possibles s'offraient à lui. C'était peut-être le cas, d'ailleurs. Naturellement, il commença à se faire quelques amis de son âge, connaissances fugaces d'abord, qu'on salue du regard, les bras chargés par une pile de peaux malodorantes, puis de plus en plus présentes lors des détours qu'il faisait, de plus en plus longs, pour s'extirper de son quotidien trop morose. Seulement, il n'était pas grand chose lui, pas très brillant ou très intéressant, et il avait le sentiment de ne pas avoir grand chose à leur offrir. D'être un peu celui qui est là mais à qui on a pas le cœur de dire de s'en aller, parce qu'il a vraiment envie d'y être, avec vous. La pitié, ça lui était insupportable, alors il se créa rebelle et commença à se démarquer par de petits larcins. Et, sans qu'il comprenne vraiment comment ni pourquoi, le reste du groupe, sa petite bande, commença à le suivre. Ils étaient invincibles ensemble. Jamais dans le besoin, ils étaient plus vivants que les êtres renfrognés qui les entouraient. Des enfants rois.
Fatalement, certains méfaits se firent connaître, et les remontrances commencèrent à tomber à la maison. Plus ses parents se faisaient secs, plus sa détermination se faisait forte, ancrée. Un soir, un vol à la tire tourna mal. Il se retrouva acculé avec ses compagnons par des gardes et colère, et des nains du Carta décidèrent d'intervenir. Un marchand et un garde furent tués. La perspective que leur fils soit complice de meurtriers ou du Carta était insupportable pour ses parents, et le jeune nain se retrouva à la rue, contraint de vivre en paria malgré sa bonne naissance. Mais on ne survit pas seul dehors quand on a quatorze ans, même quand on est débrouillard, et il fut bien contraint de rejoindre les rangs de ceux qui l'avaient poussé là par inadvertance. Le Carta.


Il n'avait pas réalisé qu'il avait cessé de marcher. Le souffle court, ses yeux se posèrent sur les débris de la chaise. Il n'était bon qu'à casser, de toutes manières. On avait voulu qu'il ait le don de Faire, et tout, depuis lors, n'avait été que Détruire. Et pourtant, il se retrouvait là, face à ses responsabilités dans cette salle ronde. Il s'approcha de la fenêtre et s'y hissa un peu pour se plaquer le visage sur la vitre glacée. Il pleuvait dehors, une sorte de neige fondue, si coutumière du sinistre port d'Ansburg. Le froid était saisissant, mais cela lui faisait du bien. Alors, les yeux clos, le souffle chaud dansant sur la surface lisse, il poursuivi le cheminement de sa pensée.

Au début, il faisait surtout le guet. Une tâche facile, qui comporte sa part de risque, mais qui laisse à l'abri des activités réelles du syndicat du crime. Le soir, il retournait à l'abri de fortune où plusieurs membres de la bande vivaient désormais avec lui. Bientôt, ils s'en iraient, ouais. Parce qu'on a jamais envie de servir le Carta. Parce que ce ne sont pas les rêves des jeunes nains. Et puis, sans trop s'y attendre, les ordres changent et on se retrouve sur le terrain. Un jour, trop rapidement, trop vite, on est pas prêt alors, on tue. Le sang coule au sol, marée rouge insupportable, et le monde cesse de marcher. Tout est cassé, rompu, et jamais. C'est donc, ça, être adulte ? Il y a l'alcool le soir, ça aide, et les regards compatissants, parce qu'on se comprend. On est les seuls à se comprendre. Seuls face au monde, c'est ainsi que l'on se forge. C'est trop tard pour faire marche arrière, alors on y retourne. Après, ce n'est pas plus facile, alors on le fait machinalement, sans vouloir le voir vraiment, sans vouloir y réfléchir. On fait, parce que c'est eux ou nous. Le plus horrible, c'est peut-être quand on réalise qu'on est doué pour ça. On est doué, et cela nous rend puissant. Rien n'est plus insurmontable quand on a passé ce cap, toutes les infortunes se font plus légères.
Trois ans passèrent. Karlan, du haut de ses dix-sept ans, commençait à avoir une réputation de tueur de sang froid au sein du Carta, et plus globalement, dans la cité d'Orzammar. La notoriété était souvent une bonne chose, sauf au sein du Carta. Il eut un entretien avec Berath, qui gérait seul les affaires de la ville, et ce dernier lui fit comprendre, de manière assez musclée, qu'il risquait de leur attirer plus d'ennuis qu'il ne pouvait en résoudre. Il eut le choix, dès lors, entre une mort rapide ou un exil à la surface, pour continuer à servir. Pour une fois, la décision fut facile à prendre, et Karlan préféra l'exil. Il détestait Orzammar au plus haut point de toutes manières, cette cité qui l'avait renié. On l'y conduisit avec plusieurs compagnons par des chemins dérobés dans les Tréfonds, et Karlan et le reste de sa petite bande découvrirent pour la première fois le ciel béant au dessus de leurs têtes, et la pluie et le vent, le soleil de plomb aussi parfois. Ils n'étaient plus vraiment des nains, et ne pouvaient revenir en arrière.
Rapidement, il se retrouva à la tête d'un petit groupe, et fut envoyé au gré des besoins dans des villes différentes, surtout entre Ferelden et les Marches Libres. Il venait en renfort là où on avait besoin d'effectif, là où il serait profitable. C'était devenu un meneur compétent, proche de ses hommes, et il détestait plus que tout leur faire prendre des risques inutiles, pourtant monnaie courante dans le Carta. Alors, parfois, il contournait les ordres, ne satisfaisait pas totalement ses supérieurs. C'était tolérable jusqu'à ce qu'il menace de faire planter des missions, de laisser d'autres groupes exposés au danger au lieu du sien. Un soir, on décida de le recadrer à la manière du syndicat. Sous la torture et la pression de répressions sur sa famille ou le reste de son groupe, il fut contraint d’exécuter trois de ses hommes sous le regard satisfait de ses supérieurs. C'était vicieux, assez pour briser n'importe qui. Karlan rentra dans les rangs, conscient qu'il ne pouvait qu'empirer la situation autrement. Il venait de réaliser qu'on ne quittait pas comme ça les rangs du Carta.


Son Destin bascula en fois de plus peu après la bataille de Denerim, et la fin de l'Enclin en ferelden. Naturellement, il restait beaucoup de choses à grappiller pour des vautours, en on l'envoya dans la capitale pour les affaires. Il y resta quelques semaines, œuvrant comme à son habitude à grand renfort d'extorsions, rackets et meurtres, jusqu'à ce que la cible ne soit pas la bonne. L'héroïne de Ferelden et plusieurs de ses compagnons, bien trop rompus au combat pour une bande de malfrats. Il était trop tard pour faire marche arrière, alors il engagea le combat de toutes ses forces, et assista impuissant au massacre de ses camarades. De ses amis. Il pleuvait ce jour là, tiens. Hébété au milieu du chaos, il avait réussi à se planquer derrière un fourré. Ses muscles, tétanisés, l'empêchaient de faire quoi que ce soit, le laissant là, inerte et ensanglanté, écouter les râles et suppliques de ceux qui avaient mis leurs vies entre ses mains, et qu'il avait laissé tomber. Était-ce faiblesse ou lâcheté ? Un peu des deux probablement, il ne saurait le dire. Il n'avait jamais compris ce qu'il s'était passé ce jour là.
Il lui était impossible de retourner au Carta après ça. Outre son échec impardonnable, le nain n'en avait simplement pas la force ou le courage. Il ne pouvait plus se résigner à cette vie là. L'alcool était un remède facile, alors il bu. Beaucoup. En quelques jours, il devint un véritable déchet vivant, acerbe, abject, colérique. Il en voulait au monde entier de continuer à vivre quand il s'était arrêté, sans avoir la chance de trouver le repos. Plus rien n'avait de sens. Pourtant, il se refusait à la mort, déboîtant sans ménagement les quelques assassins venus chercher leur du. Nan, s'il était encore là c'est qu'il avait le droit de choisir son moment. Et il ne venait pas. Il n'était pas immortel cependant, et savait bien que dans ces conditions, le Carta finirait bien par avoir sa tête. Il en savait beaucoup trop pour pouvoir espérer se faire oublier. Il n'y avait dans Thedas qu'un endroit évident où il pouvait espérer ce soustraire à ce dernier : la Garde des Ombres. Alors, la mort dans l'âme et sans trop savoir pourquoi, sans trop en être conscient, il se rendit à Ansburg et s'y présenta.
Il fut accepté comme recrue à condition d'arrêter de boire - autant du moins - car ses talents martiaux restaient remarquables. Rapidement, il passa le rituel de l'Union et devint un Garde des Ombres à part entière, et il profita de cette occasion, cette chance inespérée, pour trancher tout lien avec son passé. Il voulait devenir une meilleure personne, dont on se souviendrait en bien, et il s'y employa avec soin pendant presque dix années. La Garde d'Ansburg était petite, ses effectifs réduits et soudés, et il devint peu à peu le protégé de Cainwen, la Commandeur-Garde. Quelques semaines avant l'Inébranlable, Cainwen leur annonça qu'elle entendait l'Appel et qu'il était temps pour elle de rejoindre les Tréfonds. Elle ordonna deux choses à Karlan. D'une, il ne ferait pas partie de ceux qui l'accompagneraient jusqu'à Orzammar, parce qu'il n'était pas encore temps pour lui de revoir sa cité natale. De deux, il endosserait désormais le rôle de Commandeur-Garde à sa place.


Il était planté là, seul, au milieu de cette pièce trop grande pour lui. L'ombre de Cainwen planait autour de lui, et il sentait peser sur lui tout le poids de la responsabilité qu'elle venait de lui confier. Un sanglot sourd lui enserra la gorge, et il se laissa aller à son chagrin un moment, loin de celles et ceux qui étaient désormais ses hommes, sa responsabilité. Cainwen devait avoir ses raisons, mais il ne les comprenait pas, même en triturant ses souvenirs de ses mains tremblantes. Il ne pouvait plus revenir en arrière, désormais. Juste avancer.
Promesse à la Pierre ~ Karlan Latest?cb=20150523145513

Jeu 30 Avr 2020 - 23:14

Anonymous
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Bienvenue. Enfin re bienvenue apparemment ! Et bon courage pour ta fiche. Si tu as besoin n’hésite pas même si j'ai l'impression que tout ira bien.

Ven 1 Mai 2020 - 12:06

Anonymous
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(Re-) Bienvenue à toi o/

Content de voir de nouveau Garde des Ombres et nain qui plus est (ils ne sont jamais assez nombreux  Promesse à la Pierre ~ Karlan 3809432632 )

Lun 4 Mai 2020 - 17:04

Anonymous
Invité

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Rebienvenue ! o/
Hâte de voir cette fiche terminée. Promesse à la Pierre ~ Karlan 1104173930

Mar 5 Mai 2020 - 20:32

Anonymous
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Invité


Fiche de validation


Félicitation, Karlan tu es maintenant officiellement,

Validé(e) !


Avis du staff sur ta présentation : Un nain ! On aime les nains ! Ils ont...Des barbes ! Nous avons hâte de te voir rp !

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !.
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens,  ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

N'oublions pas le plus important : Maintenant tu as accès au système de points d'expérience et au(x) QG de ton (tes) faction(s) ! De nombreuses surprises t'y attendent : tu pourras échanger avec les autres membres de ta faction pour établir des stratégies et gérer les ressources de ton groupe !

N'hésite pas à demander un RP aux autres membres du forum et créer des liens avec eux ! Rendez-vous sur le discord ou sur ce lien pour demander un jeu aux membres disponibles !

Sur ce, chère membre, nous te souhaitons un bon jeu !



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