Nahïl Wallen El aar // Tout a un prix celui qui dit le contraire est juste un piètre vendeur.

Anecdotes : Il adore le parfum et les bains. ◇ Sa mère était barde elle est morte tué par une dague dans le dos lors d’un bal. Son père l’a confié d’abord à sa tante Orlésienne puis une fois qu’il fût assez grand il l’a reprit avec lui pour lui apprendre le métier de marchant. ◇ est fasciné par les limites du corps humain. ◇Il pense que la guerre est la solution à tout.  ◇ Il à nommé sa maison close Chez Urthëmiel. C'était un ancien dieu. Dragon de l'amour ◇

Description psychologique : Opportuniste ? C’est le mot qui lui convient le mieux. Ne vous laissez pas berner par son sourire princier et ses manières de dandy. C’est un serpent. Il vous attire par des œillades, des caresses, des mots doux. Et quand il vous tiens il vous aspire jusqu’à votre âme. Il peut vous caresser de la main droite et tenir une dague de la main gauche. Il sait qu’en vendant les informations au plus offrant il se fait des ennemis. Mais il se cache sous plusieurs noms, derrières des hommes et des femmes de pailles. On le connaît comme marchant d’Antiquité réputé, tenancier de bordel plutôt respecter. Ame charitable prêt à rendre service et fan d’art. Mais derrière ce masque se trouve un homme prêt à tout pour s’enrichir. Vente d’esclave ? Bien sûr que non… Mais pour le bon prix. Rien n’est indigne de lui tant qu’on ne le met pas trop en danger et que sa véritable personnalité n’apparaît pas trop.


Description physique : Vous lui donneriez le Créateur sans confession. Polie, avenant, souriant. Il sait que son physique est une arme. Et il l’utilise comme tel. Vous ne le verrez jamais mal habillé ou coiffé. Toujours d’humeur égale dans la rue, il tend la main aux miséreux et aux orphelins. Il a une image de marque et il y tiens. De haute tailles, fin mais musclé il prend soins de son corps. Il s’entraîne régulièrement au maniement de sa rapière. Il n’est pas naïf est sait que le monde est dangereux. Souvent il souligne son regard émeraude d’une ligne de Kôl afin de faire ressortir le doré de sa peau et le vert de ses yeux. Ses cheveux longs et sombres glisses en cascades dans son dos bien qu’ils soit très souvent tressés. Parfois quand l’envie lui prend il rase un côté et ajoute des fils d’or dans les mèches brunes. Pour les tenues il a un goût prononcé pour les couleurs qui rendent justice à sa peau, héritage de son enfance Orlésienne. Bien qu’il utilise souvent le masque comme seul vêtement imaginant sa tante mourir d’une crise cardiaque en voyant à quoi sert le masque qu’elle lui avait offert. son visage et même certaines partie de son corps sont décoré de piercings.

Histoire :

Enfance, Orlésien, jeux de pouvoirs.

De l’enfance de Nahil il n’y a pas grand-chose à dire. Sa mère est morte alors qu’il avait tous juste un an. La vie de Barde à Orlais c’est dangereux. Un comparse à été plus douée qu’elle. Fin de l’histoire. Ni le père ni le fils n’en sortent vraiment émues. Le père volage avait déjà des vies ailleurs. Le fils trop jeune était plus attaché à ses jouets qu’à sa mère absente. D’elle, il a le regard vert, l’esprit analytique et l’amour du sucre. Mais c’est tout. Il ne se souvient ni de son visage ni de son odeur. Et d’ailleurs il ne pense jamais à elle. Étrange ? Pas tellement, elle ne c’est que rarement occupé de lui et quand elle est morte elle avait quitter la maison depuis longtemps. Sa mère et son père étaient en couple libre. Volages, libertins. Ils n’avaient pas voulu d’enfants mais Nahir était là. Ils avaient donné le change quelques mois puis la vie avait reprit son cours. Et tous les deux prit par les affaires le garçons fût confier à une nounou. Amante du père et de la mère, ancienne fille de la rue, roublarde et voleuse. Elle apprit à Nahir que dans la vie si on savait s’y prendre tout le monde pouvait se faire sa place. De son père, il tient l’amour des affaires et de l’argent. Et son sourire charmeur. Le reste ? Il l’a construit lui même en fonction de ses rencontres. Et des rencontre le jeune garçon qu’il est en à fait.
De ses un ans à ses 11 ans il grandit à Val royaux chez sa tante de petite noblesse qui lui apprend à lire, écrire, compter et se comporter dans la société. C’est d’elle qu’il apprend les bases du nobles jeux. Les ficelles de la politique et de la manipulation. Il a d’ailleurs commencer très jeune comprenant que les secrets valaient chère.  Sa tante ayant des amants, il a très tôt apprit à monnayer son silence. La seule chose que sa famille maternelle n’a pas réussie à lui inculquer c’est la religion. Nahil n’est pas croyant, pas le moins du monde. Il ne pense pas qu’un dieu tout puissant est fabriquer tout cela. Il pense que l’homme à évoluer et avec le monde. C’est tout. Et il le pense depuis qu’il est assez grand pour penser. Peut-être à cause d’un vagabond qu’il avait l’habitude de côtoyer quand il arrivait à s’échapper du giron de sa tante. Il avait une fascination pour cet homme. Pauvre, sale puant, mais aux histoires extraordinaire, au corps balafrés et aux manières rustres. Enfant déjà c’était un grand observateur et il savait que le vagabondes avaient des goûts charnels infâmes. Il garda le secret, jusqu’à ce que cela ne le serve plus. Il dénonça l’homme à sa tante qui le fit enfermer et jugé. Nahil lui venait d’apprendre une chose. Tout se vendait, informations, secrets et charmes, la femme qui avait vendu les enfants au vagabond avait fait fortune. Assez pour s’en sortir sans trop de casse. Trop jeune pour avoir en tête de faire la même chose, il garde cette leçon en tête tout de même.  Dés qu’il le pourra il partira en ville, s’échappant de la vie étriquer et pieuse que sa tante veut pour lui. Parcourant la cité, laissant ses oreilles traînées, apprenant le vol à la tire juste pour s’amuser. Sa famille ayant de l’argent il savait qu’il ne risquait rien. Encore une leçon qui le marquera. L’argent peut tout acheter. Même une conduite. Regardez sa tante, croyante et pourtant si peu presser d’être fidèle à son mari. Se plongeant dans la luxure et le vice ? L’argent achète la rédemption. Faire des dons assez conséquent à la chantrie et le Créateur ferme les yeux. Le pire c’est que sa tante croit. Elle prit le Créateur, elle lui parle, chose que même enfant il avait du mal à regarder sans rire.
L’enfant Nahil était donc turbulent, toujours à battre la campagne. Insolant, sûr de lui, sa tante ce n’était pas rare essayait de lui apprendre la discipline. Mais souvent cela ne faisait qu’empirer le caractère du jeune homme qui n’avait qu’une idée. Décevoir ceux qui essayaient de le changer.
Le petit garçon va avoir de nombreux animaux de compagnie. Son favoris restera quand même neige, un serpent albinos qu’il traînera partout avec lui. Plus attaché à neige qu’a n’importe qui, il connaîtra une tristesse sans nom quand le serpent trouvera la mort sous les coups de balais d’une servante jeune et idiote. Le jeune garçon n’a pas d’amis. Il a une cours, jeune déjà il sait utiliser son autorité et ses charmes pour se faire aimé, sans rien offrir en retour ou si peu. Les adultes qui ne le connaissent pas le trouve à croquer. Les autres pensent qu’un démon a prit possession de lui. Menteur, affabulateur, mesquin, sadique parfois mais toujours souriant et d’humeur égale, c’est un enfant étrange. Qui même lors des réceptions donné par sa tante au milieu d’intrigues et de débauche se sent à l’aise. Il apprend à se faire discret, à écouter sans en avoir l’air. Il apprend qu’un domestique bien payé peut être un meilleur espion qu’un homme entraîné au service de l’impératrice. Si sa tante cherche par tout les moyens à le rendre honnête, elle reconnaît en lui un certain talent et lui parle souvent du métier de sa mère. Nahil trouve là, une raison de s’intéresser à cette femme qu’il n’a pourtant jamais connu. Et lorsque sa tante raconte la mort tragique de sa sœur, le petit garçon ne lui à répondu qu’une seule chose. « Elle ne devait pas être si doué que ça. » Il avait huit ans.
Sa famille maternelle, son oncle souvent absent car occupant un poste de moindre importance à la cour de l’Impératrice, sa tante et quelques amis ont essayé de trouvé une raison à son caractère. Manque d’amour parentale. Choc psychologique. Abus dans la tendre enfance.  Ils ont essayaient au début. Payé des mages, des templiers, des médecins, chamans et autres personnages de science. Trouver une explication. Mais il n’y en avait pas. Nahil était simplement un petit garçon mature pour son age. Compliqué, froid, calculateur. Capable du pire comme du meilleur. Destructeur, orgueilleux, flatteur. Un adulte dans un corps d’enfant. Mais ce portrait bien que noir ne l’est pas totalement. Comme tout homme Nahil ne peut pas être que noir. Il a aussi de bon côtés, fais preuves de bonté et d’amour. Son serpent neige était la preuve pour sa nounou qu’il était capable d’amour. D’ailleurs, sa nourrice était la seule source d’autorité qu’il respectait. Parce qu’elle ne cherchait pas à le briser. Parce qu’elle essayait de le comprendre avant d’imposer. Parce qu’elle était comme lui. Maria de son prénom, la peau caramel, les yeux sombre, les cheveux tombant en cascade dans son dos nu. Elle sentait le jasmin et la menthe. Elle portait des boucles d’oreilles en or plus grosse que son visage et disait lire l’avenir. Elle venait du Rivein, comme son père, elle avait d’ailleurs suivit son père. Amoureuse folle du marchand elle avait refusé de le quitter même après son mariage avec une femme orlésienne de petite noblesse. L’orlésienne pour l’argent, la compatriote pour l’amour. Maria est la mère ; la confidente, la sœur, l’amie. Elle le supporte dans ses entreprises, souffle sur ses blessures quand il tombe. Lui chante des berceuses quand il a peur. Elle seule connaît le côté tendre de Nahil. Car elle seule à sa confiance. Mais elle sera la seule durant son enfance et même après. Nahil ne laissera personne à part elle entrer dans son cœur. Parce que Maria un jour partie, sans donner de nouvelles, sans rien dire. Il apprit plus tard qu’elle c’était entiché d’un marin et qu’elle l’avait suivit. Elle avait fini prostitué sur un port et avait succombé la maladie. La disparition de celle en qui il avait le plus confiance fini de détruire le peu de douceur qu’il avait en lui.

Marchand au Rivein, base d’un homme, naissance d’un vendeur de secret

A 11 ans, son père reviens à Val Royaux pour reprendre son fils. Au plus grand soulagement de la tante qui ne supportait plus son neveux qu’elle a pourtant tenter de dresser à coup de lanière de cuire. Mais sans résultat. Son père venait d’une vielle famille de commerçants ayant fait fortune dans l’un des commerce les plus respecter, l’orfèvrerie. Propriétaire de mines d’or et de diamant. De plusieurs boutiques et de caravanes. Le père vivait une vie plus que sereine mais se sentant malade et voyant que son empire risquait de mourir avec lui, il récupéra son fils afin d’en faire son héritier pour que le commerce des El Aar ne soit pas dispersé aux quatre vents. Cependant il se rend vite compte que si son fils est un élève avide de savoir. Il n’est pas vraiment intéressé par le commerce de son père. Nahil n’a que faire de la gestion de mine, des revendications des ouvriers et de leur bien être. Il aime par contre l’argent, les bijoux bien serties et l’or polie. Mais se salir les mains ? Hors de question. Pourtant c’est ce que son père lui demander. Essayer tous les corps de métier pour toujours se souvenir d’où il vient et ce qu’il a dû faire pour en arriver là. Nahil lui ne veux pas servir de garçon à tout faire pour un des employer de son père. Il se fiche de savoir comment on doit chauffer l’or, polir le diamant. Il se fiche de savoir quelle genre de poudres les mineurs utilisent dans les mines.
Et pourtant il va s’y plier bon grès mal grès. Son père est un homme laxiste sur certaines chose. Mais son fils ne doit pas faire honte à la famille. Si Nahil se sent plus libre en Rivein qu’en Orlaïs les punitions de son père sont bien plus cinglantes que celle de sa tante. Le jeune garçon apprend autre chose sur le pouvoir. Il vaut mieux l’avoir que le subir.
Il se dit qu’il peut donner une chance à ce père. Pourquoi pas ? Il lui apprend un métier qu’il aime. Il se fait de l’argent. Jusqu’à ces 15 ans il va apprendre, détester ce qu’il apprend mais apprendre quand même. Il saura les bases du métier. Assez pour savoir quand on cherche à lui vendre de la merde ou non. Et il comprit pourquoi son père avait tenu à ce qu’il fasse cet apprentissage. En parallèle de tout cela, il commence un nouveau business un peu par hasard. Il à 16 ans, il va sur ses 17 ans, il est jeune, beau et vif. Et il sent et voit les regards sur lui. Il en joue, séduit sans jamais se laisser toucher. Et les cadeaux tombent. Hommes ou femmes, ils se battent pour l’avoir. A coup de bijoux ou d’argent. Il adore ça. Il plaît il le sait et qu’hommes ou femmes il ne dit jamais non. Surtout si cela lui rapporte. Ses amants et amantes sont souvent aisé et lui offrent des cadeaux. De l’argent, des informations. On s’ouvre sur l’oreiller. On parle et Nahil découvre vite qu’il est doué pour faire parler. Il apprend des secrets, les vends, fait chanter. Il tisse une toile. Il paye des vagabondes, des pauvres, des putes. Parce que ils sont invisibles. On leur parles, on les évites on les ignores. Mais ils sont là, ils entendent, ils voient. Petit à petit il délaisse l’entreprise de son père. L’information et le sexe rapportant bien plus. Surtout qu’au fur et à mesure qu’il se crée sa toile de renseignements, il fait des découvertes sur son père. Il lui avait promis son empire, son argent, mais Nahil découvrit qu’il n’était pas seul. Son père avait des bâtards tout le tour du ventre. Nahil comprenant qu’il n’était pas l’unique héritier et qu’il pourrait ne rien toucher vit rouge. C’était la seconde fois qu’on brisait sa confiance. Ce serait la dernière.
Nahil c’était fait de nombreux contacts durant sa formation. Contact qu’il utilisa. Sous un faux nom aidé d’une de ses amantes il monta une entreprise concurrentes, elle apporta les fonds il apporta la matière premier. En un an il avait voler la plupart des marchés de son père. L’homme ruiné dû se résoudre à vendre ce qui lui restait pour ne pas sombrer.
Nahil venait de racheter tout le commerce de son père, de ses mines à son navire. Même ses boutiques étaient à lui. Il quitte Antiva, laissa la charge à la femme qui l’avait aidé de s’occuper de son affaire. Adela, devient donc le second de Nahil. Elle suit ces affaires en Rivein et complies les informations qu’elle lui envoie régulièrement.
Nahil, riche et n’ayant plus rien à faire ici, décide de changer d’horizon, il quitte le pays de son père et part pour Antiva sûr d’une chose. Ce n’était que le début.

Hédoniste et opportuniste, secrets et faux sourire.

Il est âgé de 18 ans quand il arrive à Antiva. Il a de l’argent et son beau sourire comme seuls bagages. Il réfléchit, que faire ? La vie est pleines d’opportunités. D’abord recréer un réseau, ici à Antiva, qu’il pourra lié à celui du Rivein. Son but ? Que sa toile couvre peu à peu Thédas. Il avait donc de l’argent mais aussi des goûts de luxe et donc besoins sans cesse de plus d’or.  Il commence par s’approcher d’une maison de passe. Cela n’est en rien pour lui une déchéance. Au contraire. C’est d’ailleurs comme cela qu’il va rencontrer un corbeau.
C’est la rencontre de Nahil avec Zevran, client qui va lui apprendre quelques menues choses sur les corbeaux. C’est comme ça que Nahil se rendit compte que non seulement il pouvait vendre ses informations, mais il pouvait les vendre à des organisations qui payeraient bien plus. Et en plus de cela il pourrait toujours essayer de faire jouer la concurrence.
Enfin, il n’était pas encore à vendre ses informations à des rois. C’était son corps qu’il vendait et cela ne le dérangeait pas. Surtout qu’il avait des clients réguliers et bon payeurs qui lui permettait d’avoir le luxe de choisir quand il devait travailler. Adela lui envoyait des nouvelles de ses affaires, elles fonctionnaient pas trop mal. Mais Nahil ne voulait pas se contenter de ce pas si mal. Il voulait plus, il éclipserait son père. Alors il se renseigna, chercha ce qui plaisait aux gens fortunés. Et il trouva. Les antiquité, les objets du passé ou des artefacts magiques. Le pittoresque les riches adore ça. Il rétablit des connexions de sa mère en Orlaïs, utilisant même sa tante. Si les tensions existent toujours entre les deux, ils savent aussi qu’il y a de l’argent à se faire. La noblesse d’Orlaïs s’ennuie vite. Leurs vendres des artefacts barbares et du passé, c’est un moyens de leur procurer des frissons sans qu’ils ne se mettent en danger.
Il ne fait rien de plus jusqu’à ces 20 ans. La boutique d’antiquité marche bien et il paye maintenant des mercenaires pour « trouver » des objets à revendre. Il accumula de la richesse et des informateurs. Il aidait les enfants des rues, les personnes dans le besoin. Pas par bonté, mais parce qu’un chien qu’on sauve de la mort et fidèle à son maître. Bientôt il se trouva à la tête d’un réseau étendu qui courait presque partout. Orlaïs, Antiva, Rivein…. C’est là qu’il décida d’ouvrir Chez Urthëmiel . Un bordel de luxe, qui n’offrait que le meilleur. Et parfois, quand le patron était d’humeur il officier lui même. Voyageant beaucoup, il réfléchi à un concepts, quand il n’est pas à Antiva son bordel le suit. C’est presque un camp à lui seul. Plusieurs tentes et même des gardes.
Il entendra parler de l’Enclin mais n’en aura pas grand-chose à faire. N’étant pas touché il suivit quand même de loin l’évolution de tout cela. Mais une fois qu’il fût arrêter, il se contenta d’oublier Ferelden. Ce n’était pas un royaume qu’il considérait comme très important.
Aujourd’hui il est à la tête d’un empire financier plutôt important et il a adopter un chat du nom de dormeur et un serpent du nom de Koko.

Félicitation, Nahïl tu es maintenant officiellement,
Validé(e) !

Avis du staff sur ta présentation : Quel séduisant jeune homme, on lui donnerait le Créateur sans confession !

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !.
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens, ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

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