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Mer 2 Mai 2018 - 19:13

Anonymous
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Fiche personnage


Nom, Prénom : Kaldenis Lavellan
Âge :
24 ans.
Origine et lieu d'habitation
Née non loin d'Antiva City, y a résidé un temps avant de devenir nomade. Dalatienne, antivane de cœur, des anderfels de sang.
Langue parlée :
Universelle, Antivan, la langue que les dalatiens d'aujourd'hui utilisent.
Sexe :
Femme
Orientation sexuelle :
Pansexuelle  
Situation amoureuse :
Célibataire
Faction et rang
Inquisitrice
Profession:
Émissaire du clan Lavellan.
Armement/Magie :
Arc à double courbure, double dagues, poings.
Intérêts :
Elle aime l'art, lire, s'intéresse à l'Histoire, apprécie le temps chaud.
Anecdotes : Elle peut passer des heures à peindre ou à jouer de la mandoline Sa cicatrice lui vient d'une simple chute d'un arbre quand elle était plus jeune mais elle s'en amuse beaucoup et invente à chaque fois une nouvelle histoire pour expliquer son origine  Elle déteste l'équitation  Elle ne peut passer une journée sans café. 


Description psychologique : Kaldenis est curieuse et a toujours soif de connaissances, on pourrait dire d'elle que c'est un rat de bibliothèque si seulement elle avait un peu plus de temps pour lire. Charmeuse quand elle le veut, elle est généralement réservée, depuis ses mésaventures elle garde un traumatisme non résolu qui l'a font montrer une méfiance excessive envers n'importe qui, excepté le clan Lavellan. Il est compliqué de gagner sa confiance. Elle refuse de s'attacher à quiconque et préfère enchaîner des histoires sans lendemains. En ce qui concerne les relations autres que sexuelles elle préfère les éviter, les gens ne lui ont jamais apportés que des ennuis.

Fervente pragmatique, cela ne l’empêche pas d'avoir des convictions et de faire de son mieux pour aider son prochain, c'est pour cela qu'elle a finalement accepté son destin d'Inquisitrice, car elle croit en l'importance d'apporter son aide, aussi minime soit-elle. En revanche c'est une réaliste qui n'hésite pas à casser ses propres illusions.

Si dans sa jeunesse Kaldenis était une boule de chaleur toujours prête à s'amuser, aujourd'hui elle a perdu de cette innocence et garde un œil pragmatique sur le monde. Elle est sarcastique, mais pas mauvaise, il lui faut juste un peu de temps pour retrouver la beauté des sentiments sincères dans le monde extérieur.
C'est un être brisé, qui cache ses angoisses derrière un masque d'impassibilité et de cynisme. Son cœur brûle pourtant d'une grande soif de justice, mais elle ne montre cet aspect à personne et préfère l'ignorer. Enfin, elle essaye, chassez le naturel il revient toujours au galop, elle ne peut pas se débarrasser de la bonté inhérente à sa nature profonde et se retrouve souvent face à des dilemmes mentaux compliqués.

Kaldenis se sait seule au monde et le ressent fortement, malgré l'amour qu'elle porte à sa famille d'adoption et son clan elle sait qu'elle doit trouver sa place dans une société qui ne veut pas forcément d'elle.
C'est une personne de doute, bien plus que dans sa jeunesse insouciante, elle s'interroge beaucoup sur la nature des choses et sa raison d’être sur terre, ce qui lui donne la force de continuer est la poursuite d'un but toujours renouvelé : elle a fait la lumière sur son histoire personnelle. Maintenant elle espère surtout survivre à Corypheus.

Description physique : De taille moyenne, de corpulence athlétique à force de vivre à la dure, elle arbore une belle chevelure brune tirant sur le roux, le soleil met en valeur ses reflets cuivrés et elle n'en est pas peu fière. Elle cache du mieux qu'elle peut ses oreilles pointues sous ses boucles et sa capuche lorsqu'elle est en territoire hostile. Son regard vert foret est inquisiteur et ses yeux en amande accentuent leur fermeté, fut un temps où on pouvait y trouver un éclat rieur lancé après une remarque fine, aujourd'hui c'est plutôt une lumière songeuse, voir triste. Sous ses yeux se trouvent depuis quelques années des cernes marqués, signes de nuits agitées.

Lorsqu'elle sourit, autre que son mi-sourire discret qu'elle laisse s'échapper lorsqu'elle est fatiguée, c'est d'une manière lumineuse et honnête, on peut y voir pointer le véritable visage d'une jeune adulte aimant s'amuser et badiner plus que tout.

Ses sourcils sont épais et renforcent à son air sérieux, elle arbore le plus souvent une moue boudeuse sans s'en rendre compte et sans que cela reflète forcément son état d'esprit. Sa peau est matte, plus que les antivans et ne rougit que très peu.
Kaldenis est d'une beauté élégante et discrète, c'est un âtre rougeoyant, elle se déplace avec délicatesse et furtivité. Sa présence n'attire pas le regard, pratique pour un assassin, sauf si elle le souhaite, et dans ce cas là les réactions sont de l'ordre de l'admiration et du respect. Elle inspire ce dernier par sa présence calme et autoritaire et son port droit, on sent tout de suite qu'elle est mure, voir trop mure, pour son age, et elle en joue pour obtenir ce qu'elle souhaite. Elle préfère endurer la tempête plutôt que l'a braver, aussi elle est incroyablement patiente et vous fixera d'un air affable, un sourcil levé en l'air avec une moue peu impressionnée si vous tentez de vous énerver contre elle.
Elle porte fièrement les Vallaslins du dieu Dirthamen.

Elle a une cicatrice qui traverse sa joue droite et entaille légèrement sa lèvre supérieure. Elle porte ses cheveux mi longs lâchés ou en chignon souple, cela dépend de la compagnie avec laquelle elle est. Ses vêtements sont simples et dans des teintes ni trop sombres ni trop claires, elle porte habituellement une chemise blanche et un pantalon brun rentré dans des bottes de cuir noires, elle porte parfois un châle en laine de couleur gris sombre par dessus sa chemise lorsqu'il fait froid et porte en permanence une cape bleu nuit mouchetée de noir dont la capuche lui a déjà évité bien des suspicions. Elle arbore une ceinture de cuir à laquelle elle accroche au niveau des reins ses deux dagues courbées en acier et quelques petites sacoches utilitaires. Dans son dos, à l'aide d'un étui spécial, elle accroche son arc et son carquois.  


Derrière l'écran
 
Pseudo : Speedi 
Âge :
21 ans
Comment avez-vous connu le forum ? :
C'est une ancienne que voilà!
Que pensez-vous du forum ? :
Encore plus beau que l'ancien Wink
Un dernier mot avant de se jeter à l'eau ? :
Team Wulian en force


Kaldenis Tehvenan [en cours] Latest?cb=20141218104531

Mer 2 Mai 2018 - 19:13

Anonymous
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Fiche personnage


Histoire :

9:16 de l’année du dragon, par une nuit orageuse et sordide de secrets, s’enfuient deux elfes du clan Tehvenan, poursuivies par la garde d’un Magister. L’une est enceinte, seule une verra le jour se lever mais au bout du compte leur nombre restera inchangé. Accompagnée par sa nièce toute nouveau-née, la jeune Bejja au cœur lourd de tristesse ne mit que quelques jours à atteindre la capitale Antiva, et avec un enfant sur les bras elle n’eut d’autre choix que d’enchainer les petits boulots les plus sordides pour les mettre à l’abri.
Ce voyage elles l’avaient entrepris pour éviter la servitude à l’enfant maudit d’un esclave des tevenes et du clan qui avait dépassé au mauvais moment la frontière de l’empire. Même leur père, archiviste du clan et dévoué à Mythal n’avait pu les sauver. Ses derniers mots avaient étés de les pousser vers la liberté elle et sa sœur.
Et Nelia était morte avant même de pouvoir nommer son enfant, l’accouchement lui avait arraché ses dernières forces. Bejja décida de nommer l’enfant Kaldenis, car le père se nommait Kaldenos et il lui semblait que cela était ce qui aurait plu à sa sœur.

L’enfant était aussi opiniâtre que sa mère et ne restait jamais en dehors des bagarres avec les autres petit/es elfes de la ville, parfois même les petit/es humain/es. Pour elle il n’y avait pas d’inconvénient à cette vie, la ville était tout ce qu’elle connaissait et elle ne comprenait pas encore que le terme « oreilles pointue » était loin d’être un sobriquet innocent. Mais Bejja avait vécu en nomade pendant le plus clair de sa vie, et il lui arrivait de ressentir une rancœur amère envers la petite qui lui rappelait tant sa chère sœur. Parfois au plus profond de la nuit elle se surprenait même à souhaiter que ce fut l’enfant qui succomba et que Nelia resta à ses cotés. Malgré tout elle aimait sincèrement Kaldenis et faisait de son mieux pour lui offrir une enfance et une éducation décente. Aussi, elle aménageait toujours une heure ou deux par jour, après le diner le plus souvent, à lui faire la leçon du mieux qu’elle le pouvait avec ses connaissances. Elle avait un père archiviste après tout, et il lui avait enseigné bien des choses utiles dans sa propre enfance.

Lorsque l’enfant eut environ 6 ans, leur chance tourna et Bejja trouva un emploi de domestique auprès d’une famille de la petite noblesse, les Valencianno. La cheffe de famille, Elvira Senior lui alloua des gages suffisant pour subvenir aux besoins de la petite famille et même de quoi mettre un peu de coté chaque fin de mois. Tout semblait aller pour le mieux, elles vivaient sur la propriété de la famille et la petite grandissait aux cotés des autres enfants de domestique et de ceux des Valencianno.
Un soir que Kaldenis retournait aux quartiers des domestiques après avoir aidé le maréchal ferrant à rassembler ses chevaux, elle trouva un attroupement agité devant la porte de leur chambre. Le pire était advenu malheureusement, on avait retrouvé le corps noyé de Bejja un peu plus tôt dans la soirée.
La nouvelle ébranla tant l’enfant qu’elle cessa complètement de parler pendant plusieurs mois, elle qui était pourtant si loquace. Sa tante était tout ce qu’elle avait de famille restante, le sentiment de solitude semblait lui écraser la poitrine et la pression menaçait de faire exploser ses orbites tant elle ne pouvait l’envisager.

En tant qu’orpheline on aurait pu l’envoyer aux bons soins de l’Etat, mais la comtesse Elvira avait prit en affection, ou pitié plus probablement la petite et décida de la prendre sous l’aile des Valencianno. On ne la traita pas comme une noble bien sur, elle vivait toujours dans les quartiers des domestiques et s’occupait d’assister les domestiques dans les corvées quotidiennes. Mais au moins elle bénéficiait des leçons des précepteurs des enfants de la famille et même de quelques classes d’escrime sous la houlette d’Hugo Valencianno, le fils cadet de la comtesse et des maitres d’armes successifs des enfants de la famille. Kaldenis ne pouvait se décrire comme très heureuse, en effet, la chaleur qu’elle avait reçu de Bejja lui manquait cruellement et on ne pouvait pas décrire comme affectueuses les relations qu’elle avait avec les Valencianno, mais elle avait échappé à bien pire et mesurait sa chance. Elle espérait même pouvoir accéder aux bancs de l’université d’Antiva si elle mettait suffisamment de coté avec les économies de sa défunte tante. A 14 ans Kaldenis se voyait tour à tour Commandeur Garde, barde à la cour Orlesienne, corsaire de la Felissima Armada ou encore chevalier. Et parfois elle s’imaginait à retrouver le clan de sa tante, et rencontrer sa famille.

Le destin avait un avis différent. Kaldenis n’avait pas pour habitude de s’occuper de nettoyer les quartiers du seigneur Hugo, mais ce jour-là la lavandière responsable de l’aile était malade, à vrai dire une grande partie du personnel était alitée à cause d’une mystérieuse maladie qui frappait la ville et rendait perplexe les docteurs. Aussi, les domestiques étant en nombre réduit la tache lui fut incombée. D’Hugo Valencianno Kaldenis n’avait pas de mauvais souvenirs, il lui avait toujours semblé être un homme courtois bien qu’un peu froid et distant, et de ses leçons elle en avait retiré qu’il était impitoyable une épée en main.

C’est en faisant tomber par mégarde une pile de papiers sur le bureau du sir qu’elle découvrit une vérité qui l’a fit trembler dans tout son être. Cachée entre les pages d’un vieux carnet de cuir se trouvait une lettre qu’elle ne put s’empêcher de lire car elle avait vu le nom « Bejja » et il avait naturellement attisé sa curiosité. Bejja n’est qu’une putain sans cervelle, mais je lui ai réglé son compte et elle ne viendra pas mettre l’opprobre sur mon mariage… . La lettre, jamais envoyée, était adressée à un ami proche, et contait en détails la relation qu’avait entretenu Hugo avec la jeune dalatienne. Il l’avait séduite par de petites attentions, roses, chocolats déposés dans sa chambre, petits poèmes de freluquet probablement recopiés dans un vieux livre du siècle dernier. Leur liaison avait duré plusieurs mois et la domestique était tombée enceinte, elle avait refusé d’avorter et menacé de tout raconter à son épouse. Alors il avait prétexté un rendez vous sur les quais afin de lui exposer un plan pour leur enfant, mais il s’était débarrassé d’elle.
Kaldenis était hors d’elle et en larmes, elle s’était précipitée pour courir à la comtesse et lui donner la lettre, mais Hugo réussit à la coincer et sans ménagement l’avait traînée par les cheveux jusqu’au cellier après avoir brûlé la lettre devant ses yeux. Il l’accusa de vol auprès de la comtesse, arguant que c’était probablement son sang d’elfe qui l’avait poussée au vice car c’était dans leur nature de faire preuve d’opportunisme et de malhonnêteté même envers ceux/elles qui s’étaient montrés généreux envers eux. La comtesse Elvira fut peinée de la nouvelle, car elle avait appréciée l’enfant et sa tante. Alors elle laissa la nuit pour lui porter conseil, elle déciderait au matin du sort qu’il faudrait réserver à la sauvageonne. Personne n’apporta d’oreille aux propos de Kaldenis, qui croirait ne serait-ce qu’un mot sortant de la bouche d’une racaille d’elfe ? On murmurait dans les couloirs que c’était à s’y attendre avec ceux là.

Au plus profond de son malheur l’espoir vint sous la forme de deux elfes et de leurs lames, Finduilas Mahariel et son compagnon Zevran Aranai étaient dans leur campagne d’élimination des Corbeaux. Et il fallait bien se douter qu’une famille comme les Valencianno étaient liés à l’organisation. Toujours est-il qu’au petit matin il n’y avait plus personne pour prononcer la sentence de l’adolescente et que les deux assassins se retrouvèrent avec une petite elfe au regard de bête enragé sur les bras. Il décidèrent de l’emmener avec eux, sur la route Kaldenis se dérida petit à petit et prit connaissance de l’illustre identité de ses sauveurs, qui aurait cru que l’héroïne de Ferelden et le célèbre Zevran seraient la clef de sa liberté ? Elle leur raconta l’histoire de sa vie et les circonstances de son emprisonnement, ils n’en montrèrent que peu d’émotions, ils n’étaient pas surpris d’un tel comportement venant de shemlens et furent même étonné devant la surprise de Kaldenis. Ne lui avait-on pas appris à se méfier des humains ?  Pas assez sans doute…  Murmura l’adolescente avant de changer de sujet et de s’intéresser à l’arc de Mahariel.
Cette dernière finit par la confier au clan Lavellan, un clan dalatien en relation avec les cités humaines et qui avait subis une sévère épidémie en son sein, ils avaient besoin de membres pour étoffer le clan et une orpheline elfe, même venant de la ville serait une bonne adition. Kaldenis s’était attachée à ses sauveurs et ne put retenir quelques larmes en observant leurs silhouettes disparaitre à l’horizon. Elle n’avait que peu de confiance en l’avenir et n’attendait qu’une occasion pour s’ouvrir les veines.

Mais le destin se montra enfin clément et les membres du clan firent preuve d’une infinie patience et douceur envers elle. Peu à peu ses idées noires refluèrent et environnée de la chaleur et sécurité du clan elle commença enfin à se sentir chez elle. Elle fut confiée à un couple d’hommes, Léandre et Mogran, qui l’aimèrent aussitôt et la considérèrent comme leur fille. Mogran était un chasseur et un combattant expérimenté, il lui enseigna la pratique de l’arc et des dagues, ainsi que l’art du combat à mains nues. De Léandre, premier de l’archiviste, elle apprit les traditions dalatiennes, celle de ce clan en tout cas et leur langue elfique moderne. Elle s’intégra si bien et si aisément qu’à ses 19 ans on lui offrit de revêtir les vallaslins et elle accepta avec des larmes dans les yeux. Elle choisit Dirthamen comme patron, et se vit finir ses jours au milieu des Lavellans.
Le temps passant elle devint une sorte d’émissaire entre le monde humain et le clan, son expérience faisait qu’elle était bien plus à l’aise que les autres pour se mouvoir dans les cités et elle se découvrit un certain talent pour écouter les secrets et négocier. De plus elle savait se servir de la mandoline, et on lui demandait de temps en temps de jouer pour divertir les bourgeois qui trouvaient exotique de voir une dalatienne à l’accent antivan jouer de cet instrument, et que d’informations on pouvait découvrir lors de ses soirées frivoles…


Toujours elle s’en revenait au clan pour apporter le fruit de ses voyages à l’Archiviste et le soir venu pour conter aux enfants au coin du feu les nouvelles histoires qu’elle avait apprises chez les humains.
Elle pu garder contact avec la Garde Mahariel, qui parfois passait par le clan, à cette occasion Kaldenis ne manquait jamais de quérir ses conseils et quelques séances d’entrainement à l’arc. Les habilités martiales de l’héroïne de Ferelden étaient légendaires après tout.
Une après midi de 9:41 l’Archiviste vint trouver la jeune elfe, il l’informa de la prochaine tenue d’un grand conclave par la Divine afin d’enrayer le conflit entre les Templiers et les Mages. Il souhaitait avoir une oreille là bas, alors il lui demanda d’y aller et d’espionner pour le clan ce qu’il se dirait.

Peu de temps après Kaldenis se rendit au lieu de la réunion. Il y avait tant de monde, tant de couleurs d’étendards et de blasons aux héraldiques plus variées que tout ce qu’elle avait pu voir auparavant… Elle en fut grandement impressionnée et se sentit intimidée devant cette apparente splendeur. On disait que plus d’un complot se tramait en ce séminaire des Pouvoirs, et si les mages et les templiers étaient la cible de toutes les discussions il était tout de même possible d’entendre se murmurer des rumeurs des plus extravagantes. Ainsi on disait que le célèbre Varric Thethras était en ce moment même interrogé par les Chercheurs de la Chantrie car il aurait participé aux évènements de Kirkwall. On disait que la Divine préparait un coup d’état à l’encontre du royaume de Ferelden, on disait même qu’Orlais comptait prendre sous son aile des Templiers déserteurs et en faire une force spéciale de l’Empire…

Mais tout ses murmures n’avaient que peu d’importance face à l’énormité de ce qui allait se produire. Un soir que les discussions dans la salle du conseil allaient bon train et que Kaldenis laissait traîner ses oreilles pointues en balayant devant la porte, un fracas se fit entendre et une voix grave sembla résonner entre les murs. Certaine que quelque chose ne tournait pas rond l’elfe pénétra dans la pièce et fut la témoin d’une scène absurde. Une monstruosité d’excroissances qui menaçait la Divine, ses souvenirs sont encore confus, mais elle se souvient bien d’avoir empoigné une orbe et de l’explosion qui en avait suivit.

La suite fait partie de la légende à présent, la découverte du pouvoir de l’Ancre et le retour de l’Inquisition menée par l’Inquisitrice Kaldenis Lavellan sous les mots d’ordre et de stabilité. L’Inquisition prit le parti des mages et décida de réformer la Garde des Ombres, et Kaldenis resta méfiante de la Chantrie malgré les conseils de ses compagnons, préférant ne pas nier ou affirmer qu’elle était l’élue d’Andraste.


Kaldenis Tehvenan [en cours] Latest?cb=20150523145513

Mar 27 Oct 2020 - 19:57

Anonymous
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Bonjour, je viens aux nouvelles  Kaldenis Tehvenan [en cours] 3809432632  j'espère que tout va bien !

Je voulais te demander où tu en étais dans ta fiche ? Effectivement ça fait un moment que l'on a pas de nouvelle :/ de ce fait, et en accord avec le règlement, on risque de devoir la supprimé dans 2 semaines, soit le 10 novembre :/ Du coup, on voulait savoir si tu voulais un délai ? :3
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