La Magie doit servir l'Homme, et non l'asservir.

Anecdotes : Très rapidement, une légende selon laquelle elle est incapable d'user de la magie de création à cause d'un manque total d’altruisme et d’abnégation a fait le tour de tout les Cercles de Thédas. ◇ Si l'on devait donner un style ou une identité à la magie de Pauline, d'aucun dirait qu'elle pratique très habilement la magie de façon aussi élégante que raffiné, foncièrement délicate, subtile et sophistiquée, le tout étant profondément technique, méthodique, minutieux, précis, stricte et rigoriste. Mais ne vous y trompez point, le moindre de ses sorts, aussi élégant soit-il, est solidement surchargé d'énergie. ◇ Son masque personnel dépeint une lionne d'or, finement sertie de rubis et de saphirs, le tout étant agrémenté de symboles chantristes et du Cercle. Il est un dérivé du masque familiale figurant un lion aux symboles chantristes et vitivinicoles. ◇ Sa passion des vins pourrait la faire passer pour une alcoolique aux yeux de certains. ◇ Pauline est aussi connue pour ses opinions affirmées voir controversées vis-à-vis de certains sujet délicats, comme une mage pro Cercle pro Chantrie pro Templiers et pro Chercheurs, ou bien une citoyenne de Thédas désavouant la Garde des Ombres par exemple... ◇

Description psychologique :

"Aussi fraîche q'un sorbet, mais plus acide que le citron qui en est à l'origine."

- Mémoire d'un Règne, par l'Impératrice Célène Valmont d'Orlaïs, à propos de la Noble Dame Pauline de Périgord.

Pauline est une érudite, curieuse et cultivée, cherchant à le devenir toujours plus.
Pauline prise les arts et la culture comme une seconde religion. Grande intrigante, elle aime à s'épanouir au sein des milieux aristocratiques, politiques et artistiques, cousant et décousant avec aisance des toiles tissées de machinations dangereuses avec la même excitation qu'un enfant découvrant de nouvelle choses extraordinaire sur son sujet de prédilection. La noblesse étant un milieu très particulier, les nobles qu'elle ne connait pas personnellement elle les connait au moins de nom de visage et de réputation. Elle est connue de chaque maison, chaque cour, et chaque trône, pour le meilleure comme pour le pire.
Quand aux artistes, Isabeau pratique un mécénat bien particulier. Les artistes qu'elle protèges et les œuvres qu'elle commande, et les bâtiments qu'elle fait construire son certes fait par véritable amour de l'art, après tout son Orlaïs est la capitale mondiale de la culture, mais aussi dans on propre intérêt. Cela est une de ses nombreuses façons de diffuser ses idées, de soutenir ses partisans et d'attaquer ses opposants. La propagande artistique et culturelle sont pour elle autant une passion qu'une vocation.

Personne libre et indépendante part nature, elle est dotée d'un esprit critique voir de contradiction bien prononcé, et même bien trop selon son entourage.
Paulineest aussi très pieuse et dévote. Mais sans pour autant tomber dans la bigoterie. Et de ce fait, elle condamne d'ailleurs très lourdement le fanatisme religieux ainsi que les extrémismes dogmatiques.
Personnalité ferme et conservatrice, toutes ses années au sein du Cercle à directement côtoyer humains et elfes de toutes les classe sociales ainsi que ses accointances tévintides lui ont permis d’élargir sa conception du monde. Aussi pieuse que dévote, fervente pratiquante andrastienne, Pauline met tout de même un sérieux point d'honneur à conserver un esprit critique lucide sur les défauts des institutions donc elle fait partie. Peu encline à se remettre elle-même en question, elle sait cependant très bien le faire lorsqu'il est question d'autrui. Ne tolérant que très peu les écarts, elle a la réputation d'être la plus rigoureuse Mage de Thédas, elle apprécie les extravagances du moment qu’elles ne s'approchent pas du tape-à-l'oeil, ce qu'elle abhorre au plus haut point.
Sans pour autant être une linguiste, sa passion des langues en fait une polyglotte accomplie. D'ailleurs, cela fut sur son ordre que la bibliothèque de son Cercle s'est fourbie d'une copie de chaque livre dans toutes les langues humaines. Lors des réunions du Collège des Enchanteurs à Combrelande, elle aime à discourir avec ses collègues dans leur langue, et ses correspondances épistolaires en Tévinter son en langue locale. Et si elle fait tout pour promouvoir la culture et de l'art orlaisien en langue orlaisienne en premier lieu, elle reste une très grande mécène sans distinction sans distinction culturelle et linguistique pour le reste, enfin, du moment que cela reste humain, cela peut être chantriste, ce qu'elle préfère de manière strictement personnelle, comme profane.

D'aucun comparent Pauline à une mère. Pouvant être tout autant douce au possible comme strictement intransigeante et exigeante envers ceux qu'elle aime, ne voulant que le meilleure pour ces proches, et cela à tout les prix. Mais aussi férocement redoutable contre ceux qui s'en prennent à sa famille, devenant alors pire qu'une lionne enragée.
Concernant son attitude vis-à-vis des Mages, d'aucun la considère comme une mère. Aimante et maternelle, toujours soucieuse du bien-être des siens, elle est au moins tout autant, si cela n'est plus, une figure maternelle exigeante au possible et outrancièrement intransigeante.

Concernant la magie, si elle n'a pas choisie d'être mage, elle en reste cependant très fière. Elle en revache choisi la façon dont elle étudie et pratique la magie, un chemin dont elle apprécie toutes les étapes, lui permettant d'exercer son esprit pour gagner en puissance et en résistance, lui conférent une véritable volonté indomptable.
Fort curieuse, elle considère que la magie n'a pas de limite ni de frontière. Cependant, il est hors de question de pratiquer ni ne serait-ce qu'étudier la magie sans un sérieux contrôle et de saines barrières.
Perfectionniste et jusqu'au-boutiste au possible, elle peut s'accrocher avec acharnement à un projet, un concept, une personne... jusqu'à en avoir pleinement fait le tour.

Description physique :

"Plus qu'une aristocrate, c'est une grande dame."

disait la Première Enchanteresse de Montsimmard et Enchanteresse Officielle de la Cour Impériale Orlésienne Dame Vivienne, meilleure amie et confidente de Pauline, et elle n'avait pas tort la Madame de Fer. En effet, la première chose visible chez Pauline est sa taille, grande et élancé, au port altier, elle toise bien plus quelle n'est toisée.

Viennent ensuite ses grands yeux bleus, lui conférant un perçant regard de glace, accentué par sa peau de porcelaine et ses traits anguleux, couronnés par des cheveux plus noirs qu'une nuit sans lune soigneusement coiffés et agrémentés de bijoux, et sans qu'un cheveux ne dépasse.

Beauté froide et artificielle, Pauline s'habille toujours à la toute dernière mode Orlésienne versionne Mage du Cercle, portant des vêtement criards soulignant son aspect immuable et quasiment éternel. Ses bijoux sont tous assorti à sa toilette et entre eux, ne portant pas plus d'une bague par main, à chaque majeur, toujours agrémenté d'une parure complète.

Sa démarche est fièrement impériale, tandis que le moindre de ses gestes et mouvements, forts maniérés semble avoir été minutieusement calculé il y a des siècle, et cela allant même jusqu'au plus médiocre des détails.
Lorsqu'elle est de mauvaise humeur cependant, ou pressée, elle marche toujours sur un rythme qui lui est propre, faisant claquer ses talons au rythme nerveux et caractéristique de ses pas.

D'une beauté éclatante, Pauline a acquis une grande liberté d'allure, elle est passionnée et séductrice, voire provocante, avec retenue selon les canons contemporains. S'essayant à des effets d'épaules et de poitrine, les cheveux teints, le visage fardé, les yeux bordés de noir et les lèvres frottées de rouge,
D'un point de vue olfactif, Il y a toujours autour d'elle un nuage de Cœur du Printemps de Verchiel, de cérat de Galien, de patchouli, de cannelle et de nard.
Lanceuse de modes, elle ne se fournie que dans les maisons de luxes même pour ses plus simple accessoires, jusqu'à son papier à lettre. Le tout dans une extravagante subtilité étonnement décente.
Avec tout cela, les plus mauvaises langues diront qu'elle est au pire coquette.

Histoire : Avant de parler de l'histoire de Pauline, il convient de parler de sa famille.
Son père, Ser Eugène de Périgord, Captal de Périgord, Comte de Gascogne, Duc de Guyenne et d'Aquitaine est Général Berruier accompli. Son titre de Captal distinguait à l'époque de la fondation d'Orlais les six seigneurs les plus importants de tout le pays de Ghislain, or le Captal de Périgord était, et est toujours encore, le plus ancien vassal du puissant Duc de Ghislain, ce titre est resté en usage par la suite.
Le Captal de Périgord avait en outre le privilège de tenir la bride du cheval de la Duchesse de Ghislain quand elle faisait sa première entrée dans la cour du Château de Périgord et celle du Palais de Ghislain. Elle s’asseyait et Périgord, à genoux, les mains jointes, sans arme, lui demandait d’agréer son hommage et lui prêtait l’hommage lige avec serment de fidélité. Lorsqu’il regagnait son château, il recevait en souvenir le cheval, le harnais, et la robe même que portait la Duchesse de Biron le jour de la cérémonie.
La Maison de Périgord est la plus illustre et prestigieuse famille de Chevaliers, s'étant parfaitement et pleinement illustré dans l'ensemble des guerres orlésiennes et Marches Exaltés.
Hier comme aujourd'hui, la Maison de Périgord à toujours produit et vendu le meilleure vin de tout Orlaïs, voir de tout Thédas.

Sa mère, la barde de renommé internationale Joséphine de Bordeaux, est la Vidame de Val-Royeaux, Duchesse de Bordeaux, Comtesse de Bergerac et Dame de Biarritz. Au sein de la noblesse extravagante à la hiérarchie nobiliaire à orlésienne relevant de l'incompréhensible, le titre de Vidame est un titre de noblesse orlésienne assez rare et tout autant prisé.
Le vidame est à l'origine de l'époque Drakon, la personne qui mène l'armée et perçoit les redevances féodales d'une seigneurie chantriste dont le titulaire appartient au clergé andrastien, et il exerce au nom de celui-ci un certain nombre de droits féodaux. À l'époque Valmont, le titre de Vidame est intégré à la hiérarchie nobiliaire considéré comme équivalent à celui de vicomte. Certains titres de vidames étaient attachés à des fiefs, d'autres étaient héréditaires.
La Maison de Bordeaux et la plus ancienne de tout Orlaïs à atesté du titre de Vidame. En effet leur titre est directement rattaché à la Grande Cathédral, car l'ensemble des terres attenantes au siège de la Chantrie leur appartient toujours depuis les permiers jours de Kordillus. Famille excessivement pieuse et dévote au possible, un nombre incalculable de Divines, Mains Droites, Mains Gauches, Seigneurs Chercheurs, Grands Chanceliers, Grandes Prêtresses, Chevaliers Divins et Chevaliers Vigiles sont directement issus de cette dynastie.
Les terres des de Bordeaux sont d'une fertilité sans nom, toutes les zones les moins propices à l'agriculture son cependant parfaite pour les pâturages bovins, ovins, caprins et porcins autant qualitatifs que quantitatifs.

Tout deux sont directement d'éminents membres du Conseil des Messagers. Monsieur y est un Juge tandis que Madame une Ministre. Quand à son oncle paternel, ce dernier est le Baron Pascal de Périgord, un magistrat inamovible de qualité officiant comme Premier Président de la Cour des Comptes Impériale.

Quand à Pauline, elle est l'aînée de d'une fratrie de quatre enfants. née en 9:00 du Dragon, elle fut directement suivie par Philippe en 9:01, Mathieu en 9:02 et enfin Pierrine en 9:03 du Dragon.
Elle a vécu dans le cercle de Ghislain depuis l'âge de sept ans sans perdre sa noble position car elle avait plus de marge de manœuvre grâce à sa naissance aristocratique.
Quand les dons de Pauline furent découvert le jours de son septième anniversaire et qu'elle fut envoyée au Cercle des Mages, sa famille ne l'a en rien abandonnée. Bien au contraire, ils s'intéressèrent plutôt tous avec beaucoup enthousiasme à sa carrière de Mage. Sa mère a fait plusieurs fructueuses tentatives pour lancer une mode à la cour avec ses robes "inspirées du Cercle". Le père de Pauline a eu plus de succès, dirigeant la fortune de sa fille grâce à ses soutiens monétaires et à l'influence politique. Tout au long de l'apprentissage de Pauline au Cercle de Ghislain, ils lui ont assuré des logements et quartiers privés ainsi qu'une garde personnelle de Templiers d'élites triés sur le volet par le Chevalier-Capitaine en personne. Tant qu'elle était accompagnée de ses Templiers, Pauline était autorisée à quitter le cercle aussi souvent qu'elle le souhaitait.
Dame Pauline visitait la maison de temps en temps, et les Templiers étaient aussi discrets que possible, tout cela grâce aux arrangements de ses parents et à leur argent. Cela s'ajoutait au fait que le Cercle de Ghislain était en effet plutôt calme et tranquille depuis sa création et tant que les Mages étudiaient bien et se comportaient correctement, ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient du moment s'ils ne dérangeaient personne. Ils étaient par exemple autorisés à se reposer et trouver un passe-temps tandis que les Templiers étaient sympathiques. Pleinement inscrit dans du Noble Jeu, les Mages étaient au service de la noblesse, évoluant ainsi au sein d'une seine compétition qui poussait à donner le meilleure de soi-même.
En tant que Mage exceptionnelle, la plus assidue et la plus talentueuse de toute l'histoire de Ghislain, Dame Pauline a rapidement gravi les échelons du Cercle de Ghislain, et elle est devenue une Enchanteresse de Rang à part entière et une Chevalière-Enchanteresse à l'âge de seulement dix-neuf ans. Grâce à ses liens étroits avec sa famille et ses proches, Pauline a été nommée Enchanteresse Sénior, Commandante Chevalière-Enchanteresse et Archimage juste après son vingt-deuxième anniversaire, et huit ans plus tard, elle a été nommée Première Enchanteresse et a obtenu ses différents postes politiques. Ce jour là, sa famille a commandé un bel ensemble de vêtements cérémoniels digne de la meilleure Première Enchanteresse, conçus selon les styles dominants de l'époque grâce à sa mère. Il existe une version différente pour chacune de ses fonctions, titres, offices et charges.
En plus de pleinement jouir de l'ensemble des réseaux d'espions de sa famille, méticuleusement issus d'innombrables générations de Bordeaux et de Périgord ayant parfait et peaufiné le Noble Jeu jusqu'à son paroxysme, elle a personnellement au moins trois fidèles espions minimum dans chaque Cercle de tous Thédas, soit au moins un Mage, un Templier et une prêtresse, tous agissant loyalement comme ses oreilles et ses yeux, voir même sa bouche et ses mains. Ainsi que divers solides accointances à Tévinter. Toujours en perpétuelle activité assidue au quatre coins et dans toutes les strates de la société, Pauline consulte régulièrement ses réseaux.
Son titre d'Archimage lui a été conféré pour avoir défendu avec brio une thèse magique révolutionnaire sur les langues magiques orales et écrites, les runes et les glyphes devant l'entièreté de l'assemblée de Combrelande :

" Bien que la Mana soit attirée par les objets du monde physique et cherche à interagir avec eux, sa nature profonde et ses effets n’en restent pas moins aléatoires et fluctuants. Si la volonté et l’intellect peuvent canaliser la mana au moyen de sortilèges et enchantements, cette énergie est tellement diffuse et puissante qu’elle exige des pensées, des concepts et des directives d’une précision et d’une clarté absolues. Lorsque le contrôle n’est pas total, la mana peut parvenir à trouver une faille par laquelle s’échapper en faisant échouer les sortilèges et enchantements ou en générant un résidu magique incontrôlable.

Si nous considérons qu’un sortilège et les enchantements comme des contenant, on peut voir que la mana affluer naturellement vers le point le plus faible de cette enveloppe. La structure des sortilèges et enchantements exige une précision sans faille et ses buts doivent être spécifiques et clairement définis, un peu à la manière d’un document législatif dont la formulation doit être rigoureuse afin de ne laisser place à aucune possibilité d’interprétation erronée. Lorsque un sortilège ou un enchantement n’atteint pas ce niveau de perfection, la mana peut s’échapper de l’enveloppe conceptuelle du sortilège et de l'enchantement, en entraînant, au mieux, des effets secondaires tout à fait néfastes.

Nous utilisons déjà des geste aussi précis que techniques en ce sens. Cependant je considère que pour pleinement éviter que les effets secondaires ne se produisent, nous devrions recourir à des formules d’une incroyable complexité de manière à lier la mana et à la façonner grâce à des énoncés conçus pour ne laisser aucune faille où l’énergie magique puisse se glisser, ou en tout cas le moins possible. Même les apostats issue des sociétés dalatiennes, alvares et riveniennes utilisent de longues prières rituelles alambiquées et des bénédictions destinées à attirer la mana et à la canaliser d’une manière particulière. Ces formules ne tiennent pas compte des effets de leur foi sur la mana pure et les caprices des esprits et des démons en sont enchainés. Mais quoi qu’il en soit, le principe reste le même.

Nous savons déjà que des langages mystiques ont été développés afin de faciliter la création de ces réceptacles conceptuels parfaits. Ces langages sont si particuliers, d’une telle profondeur, d’une telle subtilité et leur vocabulaire recouvre une telle palette de significations, que lorsqu’ils seront utilisés avec suffisamment de rigueur, ils réduiront considérablement les risques de créer un sortilège ou un enchantement permettant une dispersion de mana par manque de précision, tout en tenant fermement en laisse les esprits et les démons de l'Immatériel. "

Grâce à elle, la formation en modulation d'énergies du Cercle fut encore plus complète et technique que jamais. Ce qui lui valu le titre d'Archimage, cela et divers manœuvres  de sa part bien entendu...

Tandis que Pauline augmentait au sein de la hiérarchie, elle dédiait de plus en plus son Cercle vers la recherche et le raffinement, tout en maintenant sa traditionnelle atmosphère de départ, dirigeant le tout d'une ferme main de maître gantée de velours. Mages, apaisés, Templiers et prêtresse, dans tout les cas Pauline punit durement, et les autres personnes présentes se doivent de se changer en statue de pierre et regarder froidement, cependant, elle donne toujours une seconde chance, mais jamais une troisième.
Pauline était à presque littéralement un cheveux d'être la Conseillère de l'Occulte et des Affaires Mystiques de l'Impératrice Célène Valmont d'Orlaïs, lorsqu'elle se fit devancer par une sale sorcière apostate inculte des Terres Sauvages de Korkari. Cependant, Pauline ne s'est toujours pas avouée vaincue.

Pendant la rébellion des Mages et la Guerre des Mages/Templiers, Dame Pauline a fait tout ce qui était en son pouvoir pour maintenir Ghislain dans la neutralité. Elle était l'une des seules déléguées au Conclave qui provenant de son Cercle, uniquement accompagnée de son oncle le Chevalier-Vigile et Chevalier-Divin Alsphonse de Bordeaux et sa grande-tante la Grande Prêtresse Augusta de Bordeaux. Alors qu'elle senti une fuguasse mais puissante perturbation magique au Saint Temple Cinéraires, Pauline se protégea elle et les siens via une puissante barrière de protection énergétique lancée à la toute dernière seconde, leur permettant de voir Andrasté elle-même sauver une elfe dalatienne de l'Immatériel.
Elle, Alphonse et Augsuta restèrent à Darse pour aider au mieux jusqu'à ce que celle qui aillait être la Messagère d'Andrasté et Dame Inquisitrice ne referme la faille à l'origine de la Brèche. Le trio reparti qu'au réveil de la dalatienne quelques jours plus tard, non sans avoir assuré à la nouvelle Inquisition leur soutient puis joué les entremetteurs avec la Révérende Mère Giselle.

Depuis un moment déjà, moultes rumeurs sont parvenues aux oreille de Pauline comme quoi Onterre dans les Tombes d'Emeraudes serait infesté d'idiots de Mages rebelles et autres comparses malveillants jouant inconsciemment à la dinette au sein d'une soi-disant Académie menée par une abomination terroriste. Une fâcheuse épine dans le pied de Thédas que Pauline compte bien arracher avant qu'elle ne prenne racine pour soit la réduire en cendre soit la remettre dans le droit chemin qu'est sa juste place.