Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Ven 17 Juil 2020 - 21:01

Anonymous
Invité

Invité


Fiche personnage


Nom, Prénom : Eloïse de Beauval , originellement juste Eloïse.
Âge :
24 ans
Origine et lieu d'habitation
Orlaïs, Val-Royeaux
Langue parlée :
Orlésien, Féreldien, Antivan
Sexe :
Féminin
Orientation sexuelle :
Secrète ♪
Situation amoureuse :
Veuve
Faction et rang
Indépendante, dame de Beauval
Profession:
Veuve éplorée (barde)
Armement/Magie :
Sa voix, ses yeux, son corps, une dague, une cordelette
Intérêts :
Préserver le monde du déclin et s’enrichir en le faisant.
Anecdotes :
La dame de Beauval est restée mariée 3 ans avant que son époux n’ait un terrible accident à la chasse.
Le premier cadeau de son époux fut une magnifique broche de saphir, destinée à s’assortir à ses yeux disait-il. Elle la revendit pour éponger ses dettes de jeu et échapper à ses créanciers.
Enfant, Eloïse fut sauvée d’une meute de loups par un berruier itinérant. Elle ne se souvient plus de son nom ni de son visage, mais rêve souvent de son blason.
La jeune femme est une grande consommatrice de vin. Un jour, elle séduisit un œnologue pour avoir la chance de goûter son plus grand crû.


Description psychologique : Aisément, il serait possible de définir Eloïse comme une anti-héroine, intéressée, soucieuse de l’état du monde. Complexe vous dîtes ? Allons… Le monde concerne l’ensemble de ses habitants, si la paix n’est pas préservée, comment tisser sa toile ?

Socialement, la veuve de Beauval est une jeune femme de bon rapport. Jeune, héritière d’un petit lopin de terre depuis la mort déchirante de son époux à la chasse. Elle apparait par moment aux bals de la bonne société, se montrant discrète et toujours aimable. D’aucuns s’intéressent à ce parti, plus pour la demoiselle que pour les maigres terres qui y sont associées, dans le faste de la cour orlésienne, la jeune femme est loin d’être la plus courtisée.

Cependant, le monde du jour et des éclats n’est pas le seul dans lequel agit la jeune femme. Consciente des enjeux du noble jeu, entrainée à celui-ci par une maîtresse aussi redoutable qu’impitoyable, elle n’y donne néanmoins pas toute sa tête.

Charmante et charmeuse, les magnifiques yeux d’océan se voilent bien souvent en privé au souvenir des atrocités dont elle a été témoin durant son séjour en Ferelden. La jeune fille vive et insouciante, heureuse d’apprendre à voyager dans le milieu meurtrier de la noblesse orlésienne n’en est jamais revenue, laissant place à une femme, plus mûre, beaucoup moins innocente, mais surtout consciente que quel que soit sa cruauté, l’humain n’est pas la chose la plus horrible de ce monde.

Entendons-nous bien, la jeune veuve n’hésite pas à séduire, utiliser, manipuler, voire éliminer son prochain. Elle y prend même un certain plaisir, aussi bien intellectuel dans le fait de dominer sentimentalement et mentalement ses proies et adversaires, que physique quand elle se montre apte à leur ôter le souffle du créateur.

La mise à mort est un plaisir subtil et fugace, qu’elle entretient en esthète, mais qu’elle tente toujours de mettre au service du « Bien ».

Considérons-la comme une égoïste altruiste, un paradoxe qui prend sens dans la perception effroyable des dangers qui guettent l’humanité dans l’ombre. Elfes, qunaris, mages, engeances… L’empire dispose de nombreux ennemis… Des adversaires qui n’auraient que peu de pitié pour une jeune femme. Aussi… dans un effort commun de survie, la jeune femme s’acharne-t-elle à maintenir sa position dans le monde et celle de son pays, moins par devoir que par intérêt, mais toujours avec adresse !

Description physique : Eloïse, oh douce Eloïse.
Que ne pourrais-je coucher sur le parchemin tous les vœux qui me viennent alors que je repense à vous. Comment nos regards se sont croisés en cette douce nuit d’été. Vous étiez à un balcon de pierre, votre peau reflétant l’éclat argenté de la lune dans votre pâle carnation, mais tout se spectacle était bien fade face à celui de vos yeux. Ces deux saphirs dardés sur moi en une douce curiosité. J’étais seul, vous aussi. Les grillons chantaient autour de nous… Je me suis senti ôté du monde l’espace d’un instant, béni par le créateur dans un instant contenant l’éternité. Vous m’avez souri, ourlant la sublime courbe de vos lèvres à mon attention, puis vous êtes éclipsées en ne me laissant que le spectacle auburn de votre abondante chevelure coulant dans votre dos.

Depuis ce soir, mon cœur brûle d’ardeur pour vous. Je le dépose sur le papier, entre vos mains, sachant qu’elles le caressent au moment où vous découvrez mes mots. Eloïse… je vous aime.


~ Lettre retrouvée dans le cabinet de dame de Beauval par une domestique.


Derrière l'écran

Pseudo : Isaylice
Âge :
Secret ♪
Comment avez-vous connu le forum ? :
Google
Que pensez-vous du forum ? :
Très vert, mais charmant
Un dernier mot avant de se jeter à l'eau ? :
Une coupe de vin ?


Vous reprendrez bien un peu de vin, monseigneur ... [Terminée] Latest?cb=20141218104531

Dim 19 Juil 2020 - 2:30

Anonymous
Invité

Invité


Fiche personnage


Histoire :
Notre histoire débute en l’an de grâce 17 du 9e âge, au sein du flamboyant empire orlaisien.

Sur les terres de la famille Beauval, une bergère s’occupait chaque jour de son troupeau. Si elle n’était guère éduquée et ne savait manier les mots à l’image d’une dame, son visage lui ne manquait jamais d’attirer l’attention des godelureaux locaux, de jeunes damoiseaux qui courraient bien souvent les chants pour l’apercevoir mener son troupeau du bout de son long bâton, espérant entrapercevoir l’une de ses blanche cheville lorsqu’elle sautillait tout en chantonnant. Pour elle, ils n’étaient que d’adorables petits animaux craintifs qui fuyaient son regard en rougissant. Cependant, il en était un parmi la région qui ne fuyait pas son regard, bien au contraire, il le cherchait.

On ne vit jamais aussi souvent l’héritier de la famille Beauval chasser que cet été-là. Il partait au matin, sur son cheval sombre, pour ne rentrer qu’au soir, voire parfois au matin suivant. Il était toujours essoufflé, décoiffé, mais que pouvait-on attendre d’autre d’un jeune-homme dans sa prime jeunesse ? Sa famille n’apprit que plus tard que si le jeune homme courrait effectivement les champs, il le faisait pour rencontrer sa belle dans le secret d’une clairière proche des pâturages. La nouvelle se présenta un matin, sous la forme d’un ventre rond, accompagné de son père pour demander à la famille de prendre ses responsabilités et de marier les deux jeunes gens. « Vous ne pouvez prouver qu’il s’agit bien de son enfant ! » éclata la mère du jeune homme avant de renvoyer l’importun et son ventre fécond dans leur chaumière. Cependant, la jeune fille elle ne retrouva pas le toit familial. Le père l’accompagna jusqu’à l’entrée du village et lui baisa les joues, les larmes aux yeux, avant de s’en retourner. Car la jeune fille était à présent perdue. S’étant donnée à autrui en dehors des serments saints, elle s’était parvenue et ne pouvait être accueillie dans un honnête foyer.

Rejetée, elle entama une longue errance qui s’acheva dans la grange d’une famille aimable, où à l’image d’une bête elle put mettre bas. Courageuse, la jeune femme n’abandonna pas son fardeau babillant, préférant sacrifier sa dernière dignité et donner ce qu’elle avait jadis préservé pour l’être aimé afin de nourrir cette petite bouche balbutiante.

Les années passèrent et la petite grandit. Elle ne comprit pas de prime abord pourquoi elle n’avait pas de papa. Ou pourquoi ils étaient si nombreux dans le village, ces papas, à venir voir à sa mère pendant la journée. Ce qu’elle comprit cependant, c’est que cela ne passait pas inaperçu et que les autres femmes du village commençaient à prendre ombrage de cette gourgandine qui jouait de ses charmes pour leur dérober leurs époux.

Elles furent chassées, encore une fois, sous le vol de quolibets et de pierres, elles échappèrent de peu au bâton tout en fuyant le village. La petite découvrit l’aigreur de la vie, de l’envie, de la faim. Ces épreuves la marquèrent, tandis qu’ils refroidissaient le cœur de sa mère. Son regard perdit lentement sa douceur, tandis que sa bouche multipliait progressivement les malédictions vis-à-vis de sa naissance. Sa vie avait été perdue pour que la petite vive et elle commençait à trouver à l’échange un prix bien trop important.

Le village suivant fut plus prompt à les chasser et le suivant encore plus. La petite arrivait sur sa dizaine et la mère, sur sa trentaine en paraissait facilement dix de plus. Elle n’attirait plus le regard comme avant, la faim creusait ses traits, l’aigreur ternissait son cœur. Un jour, elle ne se leva plus, laissant sa fille seule à la bonté du Créateur.

Cette dernière erra à son tour, multipliant les rapines, apprenant à défendre sa vie, jusqu’à rencontrer la seconde femme de sa vie.

Magnifique avec ses longs cheveux bruns qui lui courraient le long du dos, un sourire doux aux abords carnassiers. Elle posa un regard sur la petite comme elle n’en avait jamais connu, elle pouvait y lire l’envie, mais pas de la manière dont elle en avait l’habitude. « Tu feras un parfait remplacement. » furent ses premiers mots pour l’enfant. Et si elle ne les comprit pas toute de suite, elle viendrait avec le temps à comprendre qu’elle-même ne comptait pas à ses yeux, simplement le fait de combler un vide laissé par une femme plus talentueuse.

Marjolaine lui fit désapprendre ses anciennes habitudes avec dureté, mais subtilité. Elle ne leva jamais la main sur elle, elle ne la gronda jamais, mais ses sourires ou ses remarques pouvaient se faire bien plus douloureuses que les pierres qu’elle avait jadis reçues.

Durant trois ans, elle tenta de se montrer à la hauteur, de gagner l’affection, l’estime ou ne serait-ce que la reconnaissance de celle qui lui en demandait toujours plus. Elle apprit à lire, à écrire, perfectionna son art de la rapine pour découvrir celui bien plus noble du vol et surtout… elle apprit à se battre, comprenant qu’elle ne savait jusqu’à présent qu’agiter vaguement un morceau de fer dans la direction d’autrui. Pour un temps, sa taille se fit une force, mais avec les années son corps changea, il grandit, il se modifié et les regards autour d’elle changèrent.

Aiguillée par la baguette de sa maîtresse, elle apprit à user de ses sourires, à mentir et surtout à feindre, à tel point que lorsque vint son premier saignement, elle se pensait déjà prête. Dans un sens elle l’était, mais pas pour ce qui allait arriver.

En l’an de grâce 30 du 9e âge, elle quitta le glorieux empire qui l’avait vu naître pour partir en direction de l’est, franchir les dorsales de givre pour rejoindre le bien moins glorieux royaume voisin.

A cette occasion, elle comprit le peu d’intérêt que portait véritablement sa maîtresse à son égard. Tout n’était toujours que pour la même. Alors qu’elles s’installaient à Dénérim, elle l’envoyait arpenter la rue, la cour, une maison de passe locale, afin de lui rapporter les rumeurs, les bruits courants sur une jeune femme rousse à l’étonnante beauté. Sa distance se faisait-telle que la jeune femme ne fut pas présente lorsqu’enfin le destin se présenta à la porte de sa maîtresse. Elle retrouva au contraire la demeure vide, pillée.

Son monde s’écroula une seconde fois ce jour-là. Elle ignorait si sa maîtresse l’avait abandonnée ou si celle dont elle était supposée être la remplaçante avait eu raison d’elle, mais la maison désertée qui lui restait ne fut qu’une piètre cachette lorsque la marée du destin frappa aux portes de la ville. La mort était dans les rues, arpentant ses rues sous la forme d’une foule bruyante et sanguinaire d’être déformés à la vague semblance humaine.

Usant de tout ce qu’elle avait appris, la jeune fille parvint à s’enfuir. Blessée, elle battit la campagne plusieurs semaines avant de rencontrer la dernière de celles qui devraient la modeler pour devenir la femme qu’elle été appelée à être.

Blonde comme le blé, l’antivane la prit sous son aile sombre. Tout d’abord par charité chantrienne, puis lentement, alors qu’elle découvrait les atouts de sa protégée, par intérêt. D’un âge point si éloigné qu’elle, Tullia lui apprit à laisser l’enfant derrière pour assumer la femme qu’elle était. Les balbutiements de sa sexualité devinrent une arme aussi tranchante que la dague qu’elle apprenait à manier avec toujours plus de finesse. De Marjolaine, elle avait appris la culture, l’art et l’esprit. De Tullia elle apprit à transformer son corps en arme et ce quelle que soit la situation.
Trois ans durant, elles arpentèrent Ferelden côte à côte, fuyant les discrets assaillants de son nouveau mentor. Mais à l’image des précédentes, celle-ci en vint à privilégier sa vie à celle d’Eloïse. Usant d’elle comme d’une diversion, d’une fausse piste, elle s’éclipsa dans la nuit et la laissa à son tour. Contrairement aux autres cependant, leurs chemins seraient amenés à se recroisaient bien plus tard, sur une autre terre.

Délaissée et utilisée pour la troisième fois, Eloïse, à présent âgée de dix sept ans, décida qu’il en était assez. Ses années d’apprenti, de suivante, d’esclave étaient derrière elle. Elle devrait à présent s’assumer et prendre le contrôle de son destin.

Retournant quelques mois à Dénérim pour se constituer le butin nécessaire au voyage qu’elle préparait, elle franchit une nouvelle fois les Dorsales de givre en l’an de grâce 36 du 9e âge pour retrouver l’empire qui l’avait vu naître.

Mue par la volonté du Créateur ou par un sombre sens de l’humour, ses pas la menèrent sans le savoir vers le domaine qui était indirectement le sien. Son père venait de s’éteindre après de longues années de maladie, laissant derrière lui un jeune fils pour gérer le domaine.

Ambitieuse et opportuniste, Eloïse comprit la chance qui se présentait à elle et la saisit. Un domaine plus grand attirerait l’attention sur une jeune femme sortit du néant, mais une terre campagnarde en bordure de la Dalatie ?

Elle apparut un soir au manoir des Beauval sous les traits d’une riche voyageuse sauvée de peu d’une attaque de bandit et elle ne le quitta plus pour les mois suivants. Partageant bien des traits de son père, l’héritier ne tarda pas à poursuivre la jeune femme de ses ardeurs, trouvant en elle celle dont il ne pouvait que rêver. Belle à s’en damner, intelligente, douce, mais également humble et toujours empressée à le faire paraître sous son meilleur jour, elle s’empara de son cœur sans peine avant de tisser lentement une toile des plus solide autour.

Lentement, par la ruse ou le poison, elle écarta les sceptiques, les envieux et les dangereux. Elle amadoua une partie des autres et quand vint trois ans plus tard l’heure pour elle de se retrouver seule maîtresse en son domaine, il n’en vint plus un pour ne pas l’honorer pour son deuil si digne.

A vingt-et-un an, en l’an de grâce 39 du 9e âge, Eloïse de Beauval, dame du Beauval, acquérait enfin la liberté selon ses propres critères.

Pendant les années qui suivirent, elle se glissa lentement au sein de l’aristocratie, prenant garde à ne jamais officiellement attirer l’attention. Elle était une jeune veuve, encore fort charmante et certainement bon parti pour un remariage, mais dans l’ombre, elle se faisait enfin une carrière pour elle grâce aux talents que lui avaient enseignés les trois femmes de sa vie.

Aujourd’hui, elle navigue sur la mer houleuse de la politique orlaisienne avec prudence. La proximité de ses terres de Montsimmard et de la Dalatie ont accru leur importance en dépit de leur taille réduite et elle sait que prendre parti ouvertement serait officiellement s’aliéner l’autre. Dans l’impératrice, elle trouve l’intérêt du statuquo et le maintien de ses intrigues, tandis que dans le Grand-duc, elle peut espérer la sauvegarde de terres dont elle ne se soucie guère, mais qui justifient sa présence à la cour.

Vous reprendrez bien un peu de vin, monseigneur ... [Terminée] Latest?cb=20150523145513

Dim 19 Juil 2020 - 19:51

Anonymous
Invité

Invité

Bienvenue (de manière officielle) :D

Une fiche bien intéressante :3

(pour info, on dit "orlésien" et pas "orlaisien" :3)

Je te conseille d'informé les anciens dieux sur :
https://da-secession.forumactif.com/t52-annoncer-sa-fiche

Pour les informés que tu as fini :3

Bon courage Vous reprendrez bien un peu de vin, monseigneur ... [Terminée] 3686761754

Dim 19 Juil 2020 - 20:01

Anonymous
Invité

Invité

Tu as tout à fait raison, c'est un abus de langage de ma part, je te remercie pour ta correction !

Je m'en vais suivre ton conseil de ce pas, merci ♪

Lun 20 Juil 2020 - 18:46

Anonymous
Invité

Invité


Fiche de validation


Félicitations, Eloise tu es maintenant officiellement,

Validé(e) !

Avis du staff sur ta présentation : Très jolie présentation que voilà: complète, fluide et agréable à la lecture. J'ai hâte de voir ce que préparera ton ambitieux personnage, donc je te souhaite la bienvenue parmi nous! Bon jeu!

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens,  ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

N'oublions pas le plus important : Maintenant tu as accès au système de points d'expérience et au(x) QG de ton (tes) faction(s) ! De nombreuses surprises t'y attendent : tu pourras échanger avec les autres membres de ta faction pour établir des stratégies et gérer les ressources de ton groupe !

N'hésite pas à demander un RP aux autres membres du forum et créer des liens avec eux ! Rendez-vous sur le discord ou sur ce lien pour demander un jeu aux membres disponibles !

Sur ce, chère membre, nous te souhaitons un bon jeu !


Contenu sponsorisé


Permission de ce forum:

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum