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Sirius Tremellia
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Fiche de personnage
"Pas un voleur. Une Seigneur de la Fortune"Informations générales
Nom, prénom :
Belette (nom de naissance : Nysse)Âge :
28 ans – née le 11 Touchenuée 9:13Genre :
FemmeOrientation sexuelle et amoureuse :
PansexuelleSituation amoureuse du moment :
Relation libreRace :
HumaineOrigine :
Née à Kirkwall, elle a cependant quitté cette ville depuis des années et clame désormais être rivénienne.Langue.s parlée.s :
Commun, Rivaini, langue des signes ; elle comprend l’antivan parlé lentement et peut bredouiller quelques phrases ; elle connaît des mots en Qunlat.Vit majoritairement en :
Férelden et OrlaïsQuelques anecdotes :
◊
Elle ne craint pas le froid, si bien qu’il n’est pas rare de la voir en tenue légère à Fort Céleste◊
Elle est capable de s’endormir n’importe où et n’importe quand, même pour cinq minutes◊
Personne ne sait pourquoi elle s’appelle Belette. C’est un mystère qu’elle se plaît à entretenir◊
Elle a un humour bien à elle, et des expressions parfois un peu particulières◊
Elle mange tout le temps, ou presque◊
Beaucoup s'amusent à dire qu'elle s'appelle Belette parce qu'elle est une belette sous forme humaine◊
Elle n'aime pas les espaces clos, qu'elle sait sans issue◊
Les portes fermées à clef ne lui résistent jamais bien longtemps◊
Elle a appris la langue des signes en côtoyant Silence◊
Elle sait moduler son accentJe suis ...
Classe :
VoleurEcole.s de magie :
/Spécialisation :
/Arme.s :
Belette combat avant tout avec un arc, en particulier depuis qu'elle a rejoint l'Inquisition. Toutefois, elle le troque parfois contre deux dagues, qu'elle porte toujours sur elle ; une habitude tirée de ses jeunes années. Elle ne sort jamais sans être armée. Aussi, Dagna a apposé une rune de protection sur sa prothèse pour la rendre plus résistance.Profession.s :
Ancienne as de l'évasion, désormais espionne de l'Inquisition et aussi Seigneur de la Fortune. Elle se plaît à être conteuse dans les tavernes.Faction 1 :
Espionne de l'InquisitionFaction 2 / secrète :
Seigneurs de la FortuneDescription physique
Taille :
1m69Corpulence et morphologie :
Svelte, athlétique et agileCouleur de peau :
MétisséeCouleur des yeux :
VertsCheveux :
Cheveux assez courts, coupés au-dessus de la nuque, avec une coupe asymétrique : le côté gauche est plus long, et lui cache parfois le visage. De couleur châtain, le sel et les embruns marins les ont attaqués, alors ils sont un peu rêches au toucher.Signes distinctifs :
A plusieurs tatouages : de couleur brune ou ivoire, ils lui couvrent les avant-bras jusqu’aux hanches◊
A une prothèse naine à la place de la jambe droite.Autre (facultatif) :
Porte des anneaux d'or en boucles d'oreille◊
Opte souvent pour des tenues légères◊
Ne se sépare jamais d'un bracelet en or serti de saphirs, et d'une ceinture orange vif« Hé, toi, est-ce que tu aurais vu Belette ? Me regarde pas comme ça, j’essaie pas de te jouer une mauvaise blague. Je t’assure qu’elle s’appelle Belette. Et non, elle n’est pas une belette, et ne ressemble pas non plus à une belette. Elle n’est pas couverte de poils, ne fait pas une trentaine de centimètres tout au plus, et n’est pas plus légère que mon repas du midi. Bref, est-ce que tu l’as vue ?
Ah, à quoi elle ressemble véritablement ? C’est une rivaini, tu la reconnaîtras à sa peau métissée et son attitude haute en couleur – rien à voir avec les féreldiens ou ces prudes d’orlésiens. Elle est pas très grande, avec son mètre soixante-neuf, mais t’en fait pas qu’elle sait se défendre. Elle en a sous le pied, et elle sait se faire remarquer, dirons-nous. Quand elle s’arrête à la taverne de Fort Céleste, crois-moi que tu la remarques, elle ne fait pas dans la dentelle. Parce qu’elle boit comme un trou ? Oh, non ! Elle sait se tenir. Enfin, presque. Disons qu’il lui arrive de grimper sur les tables pour mettre l’ambiance lorsqu’elle se pare de sa tenue de conteuse. Elle adore raconter ses récits d’aventure, une habitude qu’elle a gardée de Dairsmuid.
Comme toute humaine, son physique sort pas de l’ordinaire, après. Pas de corps trapu, pas de cornes pour te transpercer, et pas d’oreilles pointues. Une humaine, quoi. Non, pas une belette, arrête avec ça. Elle est assez athlétique ; en même temps, je compte plus le nombre de fois où je la vois juchée sur les toits. C’est son grand jeu, ça dernièrement : explorer les hauteurs de Fort Céleste, alors que des dizaines de mètres la séparent d’une chute vertigineuse. Elle n’a pas froid aux yeux, c’est une certitude.
Elle a les cheveux assez courts, coupés au-dessus de la nuque, avec une coupe asymétrique : le côté gauche est plus long, et lui cache parfois le visage. De couleur châtain, le sel et les embruns marins les ont attaqués, alors ils sont un peu rêches au toucher. Je crois qu’elle s’en moque, d’ailleurs. Et ses cheveux ne cachent pas non plus ses boucles d’oreille, deux anneaux en or, un cadeau de son père, me semble.
N’espère pas deviner ce qu’elle pense à travers ses yeux verts. D’accord, ils sont superbes, avec cette petite étincelle d’espièglerie, mais ne t’y amuse pas. Belette, elle sait endosser les rôles et les personnalités. Elle sait aussi changer son accent comme bon lui semble. C’est une pro, et elle sait comment embobiner les gens en deux coups de cuiller à pot.
Ensuite, que dire de plus ? Ça dépendra de la tenue qu’elle porte. Lorsqu’elle revêt l’armure des espions de l’Inquisition, c’est difficile de s’en rendre compte. Par contre, si elle adopte une tenue plus légère, là, on découvre deux autres choses majeures sur Belette. D’abord, ses tatouages, elle en a tout un tas. C’est une rivaini, en même temps, donc ça devrait pas étonner. De couleur brune ou ivoire, ils lui couvrent les avant-bras jusqu’aux hanches – oui, épaules, torse et ventre compris. Je sais pas trop ce qu’ils représentent, et pourtant, je viens du même pays. L’aile sur son ventre représente sans doute la liberté – ironique quand on sait qu’elle s’est faite arrêter à plusieurs reprises par la garde civile. Puis il y a sa jambe droite. Ou plutôt la prothèse. Elle a perdu sa jambe y a plusieurs années, de ce qu’elle m’a racontée, et elle l’a remplacée par une prothèse naine. Elle fuit un peu Dagna à cause de ça. La naine n’est pas méchante, mais elle peut être effrayante dans sa volonté d’étudier la jambe de Belette.
En revanche, si une chose ne change jamais qu’importe la tenue qu’elle revêt, c’est l’identité qu’elle affiche. A son poignet gauche, elle revêt un bracelet en or serti de saphirs – ce bijou doit valoir une petite fortune, et elle adore raconter comment elle l’a obtenu. Elle porte aussi une ceinture d’un orange vif, qui est assez contradictoire avec sa discrétion naturelle. Mais bon, ça s’explique, quand on la connait.
Bref, maintenant que tu sais à quoi ressemble Belette, est-ce que tu peux bouger tes fesses et lui apporter ça ? »
Ah, à quoi elle ressemble véritablement ? C’est une rivaini, tu la reconnaîtras à sa peau métissée et son attitude haute en couleur – rien à voir avec les féreldiens ou ces prudes d’orlésiens. Elle est pas très grande, avec son mètre soixante-neuf, mais t’en fait pas qu’elle sait se défendre. Elle en a sous le pied, et elle sait se faire remarquer, dirons-nous. Quand elle s’arrête à la taverne de Fort Céleste, crois-moi que tu la remarques, elle ne fait pas dans la dentelle. Parce qu’elle boit comme un trou ? Oh, non ! Elle sait se tenir. Enfin, presque. Disons qu’il lui arrive de grimper sur les tables pour mettre l’ambiance lorsqu’elle se pare de sa tenue de conteuse. Elle adore raconter ses récits d’aventure, une habitude qu’elle a gardée de Dairsmuid.
Comme toute humaine, son physique sort pas de l’ordinaire, après. Pas de corps trapu, pas de cornes pour te transpercer, et pas d’oreilles pointues. Une humaine, quoi. Non, pas une belette, arrête avec ça. Elle est assez athlétique ; en même temps, je compte plus le nombre de fois où je la vois juchée sur les toits. C’est son grand jeu, ça dernièrement : explorer les hauteurs de Fort Céleste, alors que des dizaines de mètres la séparent d’une chute vertigineuse. Elle n’a pas froid aux yeux, c’est une certitude.
Elle a les cheveux assez courts, coupés au-dessus de la nuque, avec une coupe asymétrique : le côté gauche est plus long, et lui cache parfois le visage. De couleur châtain, le sel et les embruns marins les ont attaqués, alors ils sont un peu rêches au toucher. Je crois qu’elle s’en moque, d’ailleurs. Et ses cheveux ne cachent pas non plus ses boucles d’oreille, deux anneaux en or, un cadeau de son père, me semble.
N’espère pas deviner ce qu’elle pense à travers ses yeux verts. D’accord, ils sont superbes, avec cette petite étincelle d’espièglerie, mais ne t’y amuse pas. Belette, elle sait endosser les rôles et les personnalités. Elle sait aussi changer son accent comme bon lui semble. C’est une pro, et elle sait comment embobiner les gens en deux coups de cuiller à pot.
Ensuite, que dire de plus ? Ça dépendra de la tenue qu’elle porte. Lorsqu’elle revêt l’armure des espions de l’Inquisition, c’est difficile de s’en rendre compte. Par contre, si elle adopte une tenue plus légère, là, on découvre deux autres choses majeures sur Belette. D’abord, ses tatouages, elle en a tout un tas. C’est une rivaini, en même temps, donc ça devrait pas étonner. De couleur brune ou ivoire, ils lui couvrent les avant-bras jusqu’aux hanches – oui, épaules, torse et ventre compris. Je sais pas trop ce qu’ils représentent, et pourtant, je viens du même pays. L’aile sur son ventre représente sans doute la liberté – ironique quand on sait qu’elle s’est faite arrêter à plusieurs reprises par la garde civile. Puis il y a sa jambe droite. Ou plutôt la prothèse. Elle a perdu sa jambe y a plusieurs années, de ce qu’elle m’a racontée, et elle l’a remplacée par une prothèse naine. Elle fuit un peu Dagna à cause de ça. La naine n’est pas méchante, mais elle peut être effrayante dans sa volonté d’étudier la jambe de Belette.
En revanche, si une chose ne change jamais qu’importe la tenue qu’elle revêt, c’est l’identité qu’elle affiche. A son poignet gauche, elle revêt un bracelet en or serti de saphirs – ce bijou doit valoir une petite fortune, et elle adore raconter comment elle l’a obtenu. Elle porte aussi une ceinture d’un orange vif, qui est assez contradictoire avec sa discrétion naturelle. Mais bon, ça s’explique, quand on la connait.
Bref, maintenant que tu sais à quoi ressemble Belette, est-ce que tu peux bouger tes fesses et lui apporter ça ? »
— Eclaireur Sindawe, à un soldat de l’Inquisition, Hiémarche 9:42
Description psychologique
Quelques qualités :
Franche◊
Audacieuse◊
Joueuse◊
Discrète◊
Vive◊
EnthousiasteQuelques défauts :
Sarcastique◊
Crue◊
Dure de paroles◊
Fourbe◊
Sournoise◊
Farouche◊
RadinePersonnages de référence (facultatif) :
La belette, l'animal« T’aurais pas une fascination pour Belette ? Tu savais pas qui c’était y a deux jours, et maintenant que tu lui as apporté un paquet de ma part, voilà que tu viens me voir pour en savoir plus. Fais gaffe, à trop t’approcher de Belette, tu vas y perdre des plumes. C’est pas une tendre, malgré ses airs enthousiastes. D’une certaine façon, elle porte bien son nom. T’as déjà vu une belette, une vraie ? C’est farouche ces petites bestioles. Très actives au quotidien, presque à courir partout, mais aussi très retorses. Crois-moi, la petite taille ne les empêche pas de s’attaquer à plus gros qu’elles. On dit bien que la belette symbolise la duperie, et c’est pas pour des prunes.
Le rapport avec notre Belette ? Elle est exactement comme ça, ou presque. Peut-être pour ça qu’elle s’appelle Belette, même si elle n’a jamais dévoilé le pourquoi du comment. De prime abord, elle est très enthousiaste, très souvent le sourire aux lèvres, avec un certain côté optimiste. Elle va de l’avant, sans rien regretter, et encore moins en s’appesantissant sur les évènements tragiques. Pour ça, elle est assez chaleureuse, et c’est très agréable de passer du temps avec elle. Bon, faut aussi arriver à la supporter, car c’est pas dans ses habitudes de rester immobile pendant des heures. Elle bouge beaucoup, elle déteste l’ennui. Elle adore s’occuper les mains, alors souvent elle s’entraîne à l’arc. Ou elle s’amuse à escalader les hauteurs de Fort Céleste, c’est son grand jeu. Elle entretient son agilité, dirons-nous. Ça se retrouve d’ailleurs à la taverne, quand elle endosse son rôle de conteuse. Tu l’as jamais vue faire ? Passe à la taverne, un soir, ça vaut le détour. Elle grimpe sur les tables, mime parfois certaines scènes pour donner vie à son récit. C’est vachement prenant, surtout quand elle ajoute des bruitages ou des chants. Elle a une belle voix, d’ailleurs.
Mais bref. On en vient à la seconde facette de la belette. Sa duperie. On assiste à son talent sans s’en rendre compte lorsqu’elle joue les conteuses. Elle sait endosser différentes personnalités, et même changer son accent. Une véritable artiste ! Un coup, elle est Belette, et puis, l’instant d’après, elle devient une toute autre personne. Elle peut même se grimer pour appuyer le changement. Ce talent, elle l’a développé depuis des années, et elle ne l’abandonne pas. Et c’est en partie avec ça qu’elle se montre aussi fourbe. Elle dupe son monde lorsqu’elle cherche à jouer la carte de l’anonymat. Avant, elle s’en servait pour d’autres raisons, mais au sein de l’Inquisition, c’est parfait pour jouer les espionnes. Pour la côtoyer depuis presque un an, elle est bluffante.
Retiens ceci : elle se fait remarquer seulement si elle en a envie.
Et naturellement, tu veux en savoir plus. T’es vraiment un sacré curieux, tu le sais, ça ? Mais range ta naïveté en face d’elle, ou tu n’en sortiras pas indemne. Je te l’ai dit, Belette, c’est pas une tendre. Elle a beau être optimiste, elle manie le sarcasme avec autant de précision que son arc. Ses paroles sont parfois dures, voire crues. Elle ne ménage pas ses mots. En même temps, quand tu connais le cadre de son enfance, c’est guère étonnant. Elle préfère dire les choses telles qu’elles sont. Si tu la fais chier, elle te le dira sans détour. Si tu fais de la merde, pareil. C’est un peu pour ça qu’elle travaille surtout en solo, ou avec moi pour la couvrir. Faut la supporter.
Ah, et n’essaie pas de lui voler son argent. Elle t’en fera voir de toutes les couleurs, même si elle n’a que des soupçons. Radine est un mot faible pour la définir, même si elle amuse à se prétendre « économe ». Les habitudes ont la vie dure, et elle a longtemps passé son temps à engranger les pièces d’or pour s’assurer une vie confortable. A Kirkwall, l’argent fait énormément de différence.
Sinon, que te dire de plus, petit curieux… Elle est assez addicte à l’adrénaline. Elle adore flirter avec le danger. Alors si elle te propose une combine, un conseil, prends tes jambes à ton cou ou tu te retrouveras avec des ennuis plus gros que toi. »
Le rapport avec notre Belette ? Elle est exactement comme ça, ou presque. Peut-être pour ça qu’elle s’appelle Belette, même si elle n’a jamais dévoilé le pourquoi du comment. De prime abord, elle est très enthousiaste, très souvent le sourire aux lèvres, avec un certain côté optimiste. Elle va de l’avant, sans rien regretter, et encore moins en s’appesantissant sur les évènements tragiques. Pour ça, elle est assez chaleureuse, et c’est très agréable de passer du temps avec elle. Bon, faut aussi arriver à la supporter, car c’est pas dans ses habitudes de rester immobile pendant des heures. Elle bouge beaucoup, elle déteste l’ennui. Elle adore s’occuper les mains, alors souvent elle s’entraîne à l’arc. Ou elle s’amuse à escalader les hauteurs de Fort Céleste, c’est son grand jeu. Elle entretient son agilité, dirons-nous. Ça se retrouve d’ailleurs à la taverne, quand elle endosse son rôle de conteuse. Tu l’as jamais vue faire ? Passe à la taverne, un soir, ça vaut le détour. Elle grimpe sur les tables, mime parfois certaines scènes pour donner vie à son récit. C’est vachement prenant, surtout quand elle ajoute des bruitages ou des chants. Elle a une belle voix, d’ailleurs.
Mais bref. On en vient à la seconde facette de la belette. Sa duperie. On assiste à son talent sans s’en rendre compte lorsqu’elle joue les conteuses. Elle sait endosser différentes personnalités, et même changer son accent. Une véritable artiste ! Un coup, elle est Belette, et puis, l’instant d’après, elle devient une toute autre personne. Elle peut même se grimer pour appuyer le changement. Ce talent, elle l’a développé depuis des années, et elle ne l’abandonne pas. Et c’est en partie avec ça qu’elle se montre aussi fourbe. Elle dupe son monde lorsqu’elle cherche à jouer la carte de l’anonymat. Avant, elle s’en servait pour d’autres raisons, mais au sein de l’Inquisition, c’est parfait pour jouer les espionnes. Pour la côtoyer depuis presque un an, elle est bluffante.
Retiens ceci : elle se fait remarquer seulement si elle en a envie.
Et naturellement, tu veux en savoir plus. T’es vraiment un sacré curieux, tu le sais, ça ? Mais range ta naïveté en face d’elle, ou tu n’en sortiras pas indemne. Je te l’ai dit, Belette, c’est pas une tendre. Elle a beau être optimiste, elle manie le sarcasme avec autant de précision que son arc. Ses paroles sont parfois dures, voire crues. Elle ne ménage pas ses mots. En même temps, quand tu connais le cadre de son enfance, c’est guère étonnant. Elle préfère dire les choses telles qu’elles sont. Si tu la fais chier, elle te le dira sans détour. Si tu fais de la merde, pareil. C’est un peu pour ça qu’elle travaille surtout en solo, ou avec moi pour la couvrir. Faut la supporter.
Ah, et n’essaie pas de lui voler son argent. Elle t’en fera voir de toutes les couleurs, même si elle n’a que des soupçons. Radine est un mot faible pour la définir, même si elle amuse à se prétendre « économe ». Les habitudes ont la vie dure, et elle a longtemps passé son temps à engranger les pièces d’or pour s’assurer une vie confortable. A Kirkwall, l’argent fait énormément de différence.
Sinon, que te dire de plus, petit curieux… Elle est assez addicte à l’adrénaline. Elle adore flirter avec le danger. Alors si elle te propose une combine, un conseil, prends tes jambes à ton cou ou tu te retrouveras avec des ennuis plus gros que toi. »
— Eclaireur Sindawe, à un soldat de l’Inquisition, Hiémarche 9:42
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TaranysComment nous avez-vous trouvé ?
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Belette est-elle une belette ?Sirius Tremellia
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Voici mon histoire.
« Pourquoi souhaitez-vous rejoindre l’Inquisition ?
Le soldat chargé du recrutement lève à peine la tête pour te regarder. Il voit passer des dizaines de personnes chaque jour à Darse pour se joindre à ce nouvel ordre. Les rumeurs vont bon train. L’idée de refermer la Brèche galvanise les jeunes.
— Parce qu’un fou furieux veut faire cramer Thédas, et que je fais partie des idiots qui y vivent.
Quelqu’un glousse derrière toi. Tu retiens un sourire pour ne pas entacher ton sérieux. Personne ne sait qui a fait exploser le Conclave, mais pour toi, ce n’est qu’un fou furieux qui ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Si pour l’instant il se fait discret, il ne tardera pas à frapper de nouveau.
L’hypothèse de l’explosion accidentelle ne trouve pas grâce à tes yeux.
Le soldat papillonne un instant. Il te dévisage, puis acquiesce, toujours sidéré. Ce n’est pas une réponse qu’il entend souvent – pour ne pas dire jamais.
— Votre nom ?
— Belette.
Cette fois-ci, il se demande si tu ne te moques pas de lui. Tu ne cilles pas. Tu as abandonné le nom donné par ta mère lorsque tu as gagné le Riveïn, après ton accident. Là-bas, tu as démarré une nouvelle vie, alors tu as choisi un nouveau nom.
Le soldat ne cherche pas à te contredire. Il y a encore des personnes qui attendent derrière toi. Il te fait signe d’avancer. Quelqu’un d’autre examinera ta candidature plus en détails. »
— Darse, 14 Touchenuée 9:41
۩๑๑۩
« D’où est-ce que tu viens, alors ?
Tu manges un morceau de potée. En face de toi se tient l’homme qui gloussait à tes remarques, dans la queue pour le recrutement. Sindawe, qu’il s’appelle. Vous deux avez été reçus au sein de l’Inquisition, dans le corps des espions menés par la Sœur Rossignol. A présent, il cherche à sympathiser. Tu ne lui en veux pas. Au contraire, tu apprécies l’initiative. Tu l’as invité à prendre place à ta table pour discuter en attente de votre prochaine affectation. Si tu en crois les ouïes-dires, les Marches Solitaires, non loin de Golefelois. La guerre entre les mages et les Templiers y fait rage.
— De naissance, Kirkwall.
Tu n’aimes pas Kirkwall, même si tu as grandi là-bas. La Cité Libre ne respirait pas la joie de vivre. Les pauvres s’entassaient dans la Basse Ville, en attendant une situation meilleure qui n’advenait jamais. Tu détestais ta mère, toujours aux abonnées absentes. Tu méprisais ta grand-mère, qui te couvait d’un œil louche.
Tu rêvais de ton père, un pirate rivaini qui accostait parfois aux docks de Kirkwall. Il a toujours refusé de t’embarquer avec lui sur son navire. Tu étais trop jeune, d’abord, puis tu avais ta vie à Kirkwall. Il ne t’écoutait pas.
— T’aimes pas ta ville natale ?
— C’était pas les plus belles années de Kirkwall.
— La Chantrie, hein ? J’ai jamais mis les pieds là-bas. Paraît qu’elle était jolie.
— J’ai tout plaqué avant. Heureusement. C’était un sacré merdier là-bas.
— Ta famille te manque pas ?
Tu renifles avec dédain. Ta mère est une prostituée, qui travaille à la Rose en Fleur. Peut-être est-elle toujours en activité, d’ailleurs. Ça ne t’étonnerait pas. Mollassonne, elle se plie aux évènements sans chercher à lutter. A croire qu’elle n’a aucune volonté.
Une fois, elle a oublié de prendre sa tisane contraceptive, ou quoi que ce soit le machin qu’elle prend d’ordinaire. Elle est tombée enceinte d’un pirate rivaini et a gardé l’enfant. Toi. Tu ne la remercies qu’à moitié. Elle ne s’est jamais vraiment occupée de toi pendant ton enfance. Non, cette tâche incombait à ta grand-mère. Et quelle grand-mère ! Cette vieille acariâtre, ancienne prostituée, est raciste jusqu’au bout des ongles, et elle a haï ton père, qu’elle qualifiait de déchet humain à tout-va.
— Clairement pas. Je suis partie sans me retourner, et je m’en porte mieux. J’ai quasiment grandi à la rue pour les éviter.
Sindawe arque un sourcil, surpris. Ta voix est teintée d’amertume, malgré le sourire qui orne tes lèvres.
— Ma grand-mère escomptait me vendre au bordel du coin dès que j’aurais été en âge.
Quand elle te regardait, elle ne voyait rien de plus qu’un morceau de viande. Combien de fois t’a-t-elle rétorqué que tu étais trop maigre, et qu’il fallait que tu t’emplumes si tu voulais attirer des clients ? Pas étonnant que tu aies fui. Tu passais la plupart de tes journées dans les rues de Kirkwall, à vagabonder dans la Basse Ville, à fureter du côté de la Potence car les mages t’intriguaient, ou à t’aventurer dans Sombrerue. Tu flirtais avec le danger. Ta petite bouille d’enfant t’a autant valu des ennuis que des contacts. Tu as appris à manier la dague, avant de te tourner vers l’arc. Tu as développé un talent particulier pour crocheter les serrures. Tu as couru dans les rues à de nombreuses reprises pour échapper à des brigands. Parfois as-tu été blessée, et tu faisais les poches pour avoir de l’argent pour te soigner. Aussi pour te nourrir, car tu rentrais le moins possible chez toi. Ta grand-mère te vilipendait à chaque fois.
— … Quoi ?
— J’admire ta répartie.
Tu pouffes. Sindawe est estomaqué. Il a l’air d’avoir connu une vie plus tranquille, mais tu ne t’en formalises pas.
— C’était qu’une vieille peau, de toute façon. T’en fais pas pour ça.
— A croire que les vieilles sont toutes des horribles sorcières.
Tu hausses les épaules. Tu l’as certes trop fréquentée à ton goût, mais elle n’a jamais réussi à atteindre son but. Du haut de ta dizaine d’années, tu ne passais déjà presque plus à votre logement miteux de la Basse Ville. Les rues de Kirkwall étaient devenues ta nouvelle maison. Tu délestais les poches des habitants inattentifs pour subvenir à tes besoins. Pendant un temps, tu as fricoté avec la Coterie pour éviter les ennuis, même si tu ne les as jamais rejoints.
Parfois, tu rejoignais les docks, dans l’espoir d’apercevoir la voilure du navire de ton père. Tu entretenais ce rêve d’embarquer à ses côtés. En vain.
— Ça sent le vécu.
— Ma mère était une vieille harpie, sourit-il. Elle a clamsé d’une mauvaise fièvre, et j’ai mis les voiles aussitôt après.
Pendant une poignée de secondes, il se perd dans des souvenirs avant de finalement changer de sujet.
— Et t’as quitté Kirkwall quand ?
— Après l’attaque Qunari, en 9:34. C’était pas du joli-joli.
Une sombre époque, plutôt. Ta vie à Kirkwall a connu une fin brutale. Pourtant, le quotidien te souriait. Tu vivais certes dans une certaine insalubrité, mais tu ne manquais pas spécialement d’argent. Outre le vol à la tire que tu pratiquais avec assiduité, l’Enclin et l’afflux de réfugiés ont aussi offert bon nombre de petits travaux. Pour une personne volontaire, tu ne manquais pas d’occasions de gagner une paye.
Tes finances confortables t’ont d’ailleurs permis d’être enrôlée dans cette fameuse expédition dans les Tréfonds, menée par les frères Tethras. Un poste de rêve, ou presque. L’affaire a tourné à l’eau de boudin, avec des histoires de trahison, et tu es bien contente d’avoir pu regagner la Surface sans encombre. Contrairement à d’autres, tu n’as pas été coincée dans cet ancien thaig étrange.
Après ça, tu as continué à travailler à droite à gauche, tout en poursuivant le vol à la tire. La Coterie t’a même proposé une nouvelle « carrière », que tu n’as pas su refuser – tu tenais à ta vie. L’idée était simple : te faire arrêter par la garde civile, t’évader de prison et assassiner au passage un traître de la Coterie aussi arrêté avant qu’il ne parle.
— Au moins, t’as échappé à l’Enclin.
— Je sais pas ce qui est le pire. Les engeances, tu sais qu’elles veulent te buter, y a pas de doute possible. Mais à Kirkwall ? Tu sais jamais sur quoi tu vas tomber. Y a toujours un soupçon de surprise, du genre « Bouh ! Je suis un mage du sang qui veut t’éviscérer pour un obscur rituel ! ». On se croirait en Tévinter.
Sindawe glousse, malgré la teneur de tes paroles. Ton humour fait mouche.
Vivre à Kirkwall était une épreuve tous les jours, en particulier avec le Chevalier-Capitaine Meredith qui dirigeait les Templiers. La proposition de la Coterie était une folie pure, et pourtant, tu as accepté. Tu t’es fait arrêter, et tu t’es évadée. Tu avais minutieusement préparé ton coup. C’est à cette époque que tu as commencé à endosser différentes personnalités afin de préserver un certain anonymat auprès de la garde civile. Car tu as recommencé. A plusieurs reprises. La Coterie a souvent sollicité tes services, que ce soit pour libérer ou assassiner une personne emprisonnée. Tu es, en quelque sorte, devenue une experte en la matière. Ta réputation te précédait. C’était risqué, naturellement, mais tu appréciais ce frisson du danger.
Et surtout, ça payait bien. Tu gagnais bien plus que n’importe quel autre travail réglo.
— Pourquoi t’as quitté Kirkwall, en fait ?
Sindawe sirote une bière. Tu termines ton assiette qui refroidit avant de lui répondre.
— C’était ça, ou connaître une fin précoce.
Ton dernier boulot pour la Coterie t’a coûté cher. Il t’a conduit dans la Haute Ville lors de l’assaut des Qunari. Tu as perdu ta jambe droite lors d’un combat ; une blessure qui n’a pas guéri et qui t’aurait tué sans l’amputation. Après que le Héraut eut pacifié la ville, la Coterie t’a vu comme inutile, une gêne future, et a cherché à t’éliminer. Un ancien ami t’a averti à temps – un acquittement de dette – et tu as réussi à décamper avant que la mort ne t’attrape. Tu as embarqué sur le premier navire qui quittait Kirkwall.
— Et t’es allé où ensuite ?
Ton nouvel ami est avide d’en apprendre davantage à ton sujet, mais il ne poussa pas la curiosité trop loin. Tu apprécies.
— Au Riveïn. J’ai atterri à Dairsmuid, où j’ai repris mes activités un temps.
— Un temps seulement ?
Tu esquisses un sourire. A ton arrivée à Dairsmuid, tu n’as pas trop su quoi faire. Une part de toi était ravie de découvrir la contrée natale de ton père, mais cette immensité nouvelle te perdait aussi. Etrangement, tu as sympathisé avec un nain qui aimait bien ta force de caractère, et ce dernier a contacté des connaissances pour te dénicher une prothèse. Tu ne savais même pas que ça existait, mais tu as apprécié la nouvelle. Quelques mois plus tard, tu pouvais à nouveau marcher, même si la rééducation a été aussi longue que laborieuse.
Dans la précipitation, tu avais laissé une bonne partie de tes économies à Kirkwall. Tu as recommencé à voler. Tu as recommencé le jeu des évasions de prison, avec différentes identités pour passer inaperçue. Si tu prenais le temps de chercher, tu trouvais bien plus de clients que tu ne l’aurais d’abord imaginé. C’était un marché juteux, et inexploité.
Cette vie te plaisait. Le frisson du danger, les gains faciles, la reconnaissance de son talent, et le tout sans la Coterie pour te menacer.
Tes talents ont toutefois attiré l’attention de plus gros bonnets.
— Disons que j’ai été recrutée par une certaine guilde de Dairsmuid.
— Attends…
Sindawe a froncé les sourcils. Il t’a soudain dévisagé avec insistance.
— La Porte des Rêves ?
— Tu connais cette taverne ?
— Je suis né à Dairsmuid, crois-moi que j’y ai passé un sacré temps ! Je m’y rendais souvent avec ma fille pour écouter les histoires.
— J’étais conteuse là-bas.
— Voleuse plutôt, non ? Je connais ta guilde. Même si, d’accord, elle est très douée pour raconter des histoires.
Ton sourire s’affirme. Qu’il connaisse cette guilde ne t’étonne pas, tant sa réputation la précède dans le milieu des chasseurs de trésors. Les gens médisent sur le Riveïn, mais cette guilde a su tirer son épingle du jeu.
— Je ne suis pas une vulgaire voleuse, s’il te plaît.
Sindawe sourit à son tour. Il s’amuse de cette réaction si typique.
— Une Seigneur de la Fortune.
Il ne peut qu’acquiescer. Lui-même a confirmé avoir déjà entendu les histoires de différents Seigneurs de la Fortune. Tu as toi-même déjà conté tes aventures aux habitués avides de découvrir tes péripéties. Tu as même développé un certain attrait à raconter des histoires, et tu t’amuses à gagner un peu d’argent de cette façon lorsque tu voyages.
Depuis que tu as rejoint les Seigneurs de la Fortune, tu ne cesses de voyager. Tu parcours Thédas en quête de trésors, et tu t’amuses aussi à te risquer dans les Tréfonds qui recèlent de richesse. Malgré toi, tu restes addicte à ce besoin de flirter avec le danger. Tu as certes cessé d’être arrêtée par la garde civile pour t’évader ensuite, mais tu conserves cette mauvaise habitude et ce goût du risque.
La Brèche a toutefois contrarié tes plans, et une part de toi s’est sentie obligée de rejoindre l’Inquisition. Peut-être est-ce aussi pour te frotter à de nouveaux défis. Maintenant que Kirkwall ne t’enchaîne plus, tu es avide de nouvelles expériences.
— Et toi, raconte-moi un peu ta vie maintenant. Dairsmuid, c’est vague. T’as une fille ?
— Alors, par où commencer… »
— Discussion entre Belette et Sindawe, 14 Touchenuée 9:41
۩๑๑۩
« Espionne, hein ? J’en connais une qui se met bien.
Tu redresses la tête, délaissant le rapport que tu consultes. Sindawe t’adresse un large sourire, malgré l’incertitude qui le ronge. Il n’est pas à son aise sur les toits de Fort Céleste, même si cela ne l’empêche de te rejoindre là-haut.
— J’ai fait mes preuves, il faut croire.
— T’as bien aidé après la destruction de Darse, en même temps. T’as fait du bon boulot en tant qu’éclaireuse lorsque l’Inquisition cherchait à fuir les adeptes.
— Tu m’as aussi aidée.
Sindawe hoche la tête, mais il glousse dans la foulée.
— Je n’ai pas la même réputation que toi, madame l’as de l’évasion.
Tu ris avec lui. Sœur Rossignol a fouillé dans ton passé, jusqu’à découvrir tes antécédents à Kirkwall ou à Dairsmuid. Elle ne t’a rien reproché ; au contraire, elle a préféré t’offrir une promotion à la hauteur de tes talents. Tes prochaines missions s’annoncent des plus intéressantes.
— Allez viens, on va fêter ça.
Tu approuves la proposition de Sindawe, et tu abandonnes les toits pour gagner la taverne de Fort Céleste. »
— Discussion entre Belette et Sindawe, 29 Justinien 9:41
L'ellipse
Vous pouvez rajouter entre autre, pour les joueurs validés qui ont dû passer par une revalidation, les événements produits entre Drakonis 9:42 et Réalduc 9:42 dans ce bloc. Pour celleux qui n'en ont pas besoin, vous pouvez entre autre supprimer le bloc.
Invité
Invité
Avis du staff sur ta présentation : Re-bienvenue ! Hâte de voir ce que ce personnage va donner inRP^^
La présentation est sympa à lire, et j'aime toujours le style ^^
C'est assez intéressant ce que tu as fait avec un personnage aussi secondaire :D (c'est littéralement une donneuse de Quête de MMO, quoi xD).
Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !
Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !.
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens, ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.
N'oublions pas le plus important : Maintenant tu as accès au système de points d'expérience et au(x) QG de ton (tes) faction(s) ! De nombreuses surprises t'y attendent : tu pourras échanger avec les autres membres de ta faction pour établir des stratégies et gérer les ressources de ton groupe !
N'hésite pas à demander un RP aux autres membres du forum et créer des liens avec eux ! Rendez-vous sur le discord ou sur ce lien pour demander un jeu aux membres disponibles !
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