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Jeu 30 Aoû 2018 - 4:21

Anonymous
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La face sombre de la Lune




Nom, Prénom : Ereinion, Machiavel.

Âge :
Vingt-quatre ans.

Origine et lieu d'habitation :
Clan Ereinion, dalatiens suivant les cours d'eau. Il a toujours détesté leur attitude arrogante. Il y était prisonnier, mais maintenant, il vit enfin comme il le voulait. Sans maison fixe, vagabond (pour vrai, cette fois), entre les auberges et les bordels. Il dit à tous qu'il est un grand aventurier, un intellectuel inégalé, or la réalité se rapproche plus de l'oisiveté d'un hédoniste mythomane.

Langue parlée :
Commun, elfique. Prodige, il a appris très vite comment parler la langue morte et s'en souvient encore, l'utilise même pour séduire. Voire pour montrer son érudition à ceux qui l'énervent.

Sexe :
Masculin.

Orientation sexuelle :
Pansexuel (très) actif.

Situation amoureuse :
Au moins une dizaine de conquêtes pensent qu'il va revenir pour eux. Oups.

Faction et rang :
Aucune. Peut-être la sienne. Charismatique, il lui arrive souvent de convaincre un groupe de gens de le suivre entre deux tavernes, et la ruse le connaît. Ces prétendus groupes ne durent jamais bien longtemps, toutefois.

Profession :
Anciennement Premier du clan Ereinion, désormais parasite d'une société qu'il abhorre. Apostat sur gage, quand l'escroquerie ne suffit plus à le nourrir ou l'héberger.

Armement/Magie :
École de l'Esprit et d'Entropie, habité d'une grande puissance brute depuis sa naissance. Il a développé une curieuse façon de mélanger les deux branches, occulte art d'illusions et d'ombres où il matérialise les cauchemars des gens dans le monde physique. Rêveur. Il utilise aussi quelques dagues qu'il propulse télékinétiquement sur ses ennemis lorsque son bâton ne suffit pas (et puis il n'est pas bien robuste non plus). Et son grand secret ? Il se jure de ne le répéter à personne, la honte le grugeant de l'intérieur : lui, de tout le monde ? Pourquoi ça lui arrive à lui ?Il enferme la vérité dans un coin de sa mémoire scellée, lourd de la magie du sang et du prix qui l'attend.

Intérêts :
Être un je-sais-tout ☾ Hédoniste ☾ Les savoir interdits ☾ L'interdit en général ☾ Les pranks psychiques

Utilisation :
Joueurs (sur demande) et MJ. Comme il sera peut-être éventuellement joué, je me permettrai de vous faire part d'incohérences s'il y a lieu PNJs DE KYTHA ☾ (2) 3809432632

Crédits :
Len Yan, et les jumeaux Maximoff pour le gif parce que j'ai réalisé l'inspiration accidentelle PNJs DE KYTHA ☾ (2) 629685277 (mais je sais pas c'est qui le créateur, c'est pas moi en tout cas, si tu passes par-là j'te love PNJs DE KYTHA ☾ (2) 1813627527 )



Anecdotes : Notez une anecdote ici ! Notez une anecdote ici ! Notez une anecdote ici ! Notez une anecdote ici ! Notez une anecdote ici !




Description psychologique : Machiavel semble très lisse au premier abord, sans réelle profondeur, alors que beaucoup de détails pèsent sur ses épaules. Moins sensible aux esprits que sa sœur (même s’il l’est plus que la majorité des mages, étant Rêveur), c’est plutôt l’Immatériel en soi qui l’habite. Très jeune, capable de trop de choses pour recevoir une quelconque autorité assez ferme, il a eu l’impression d’être capable de tout faire et a été la cible d’une vague d’attention parfois non désirée. Les gens ne venaient pas vers lui pour vraiment le connaître, rencontrant l’enfant soit pour apprendre ou lui donner des leçons qu’il repoussait d’un air dédaigneux. Il a beaucoup souffert, au fond, de n’avoir jamais connu ses parents et de n’avoir aucune réponse sur l’origine de ses pouvoirs. Et bien vite, son intelligence vorace a surpassé les savoirs des mentors qu’il ne respectait pas, laissant place à un ennui et un vide profond dans sa vie qu’il ne pouvait combler qu’avec un abus farceur de ses capacités. Encore là, la satisfaction était inexistante. Avec une jeune sœur sans amis à la recherche d’une figure parentale comme lui, il s’est senti envahi par les attentes de la fillette ; pourquoi aurait-il à grandir trop vite alors qu‘il était lui aussi un gamin ? Le désir de liberté l’a pris à la gorge au même moment que la morsure d’un futur trop certain. Il ne savait pas vraiment ce qu’il recherchait, le jour où il a tout abandonné derrière lui, mais il espérait certainement trouver l’identité de ses parents. Il s’est vite imaginé de magnifiques choses, les idéalisant au possible comme n’importe quel adolescent dans sa situation. Aujourd’hui, il a perdu tout objectif, flottant entre les double-vies avec lesquelles il jongle. Il s’arme d’un air suffisant pour se protéger de la honte, de sa faim. De sa détresse, peut-être. Lui qui a été élevé dans la perspective qu’il allait changer le monde, qui a quitté son clan pour vivre son propre potentiel, s’est écrasé au sol parce qu’il a réalisé qu’il avait gâché son potentiel. Il est un lâche, et il ne trouve pas d’argument assez convaincant pour le pousser à changer ça. Alors ça le ronge.

Description physique : L’ombre, la lumière. Le Yin et le Yang. Kytha a toujours porté du blanc, a les cheveux noirs. Mack a toujours porté du noir, a les cheveux blancs. Leurs différences s’arrêtent là, pourtant, et quiconque ayant un sens de l’esthétique peut se douter de leur parenté. Frêles, le teint cendreux, les cernes des Rêveurs sous les mêmes yeux violets et la peau constellée de grains de beauté, on pourrait les prendre pour des jumeaux. Il est un peu plus grand, mais sans musculature ni grande constitution. Alors qu’elle porte un serre-tête décoré de bois, Machiavel préfère un bandeau de cuir où semblent pousser des cornes de bouc. Tous deux ont un certain charme mystérieux qu’ils utilisent à des fins différentes, et leurs vallaslin sont passés très proches de se répondre. Mack a les débuts des tatouages de Dirthamen, dieu des secrets, mais il n’a jamais complété son rituel ; et Kytha devait naturellement recevoir ceux de Falon’Din quelques années plus tard, mais a refusé de n’être que la “soeur de Machiavel” et d’être identifiée seulement par ses capacités spirituelles.


Lun 15 Oct 2018 - 10:33

Anonymous
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Fiche PNJ
 
 
Nom, Prénom : Arlath, la personnification de l'Amour, aussi traduisible en L'Amante.  
Âge :
Immémorial.  
Origine et lieu d'habitation :
Ses origines sont floues, bien que liées à l'Arlathan d'antan. Elle semble retenir une affinité avec la forêt d'Arbor, peut-être en lien avec le Temple de Mythal, mais rien n'est certain. Et Kytha n"en sait rien du tout.  
Langue parlée :
Elle ne parle que l'ancien elfique, mais communique plutôt avec la langue empathique et imagée des esprits.  
Sexe :
Même si un esprit n'a pas de distinction entre féminin et masculin, Arlath est née d'un souvenir, et apparaît toujours comme une femme d'âge mûr.  
Orientation sexuelle :
Aucune. Pas asexuelle, mais plutôt que sous sa forme ectoplasmique, la reproduction biologique ne fait aucun sens et ses ramifications de s’appliquent tout simplement pas.  
Situation amoureuse :
 Une moitié, arrachée à son reflet. Morceau. Elle a aimé un homme, de son vivant, et désormais elle n’est que ça. L’amour qu’elle éprouvait envers lui. Elle le cherchera pour l’éternité, et ils se retrouveront génération après génération. Or ce qui faisait d’eux ce qu’ils étaient est mort depuis des siècles.  
Faction et rang :
Aucune. Ses affinités avec les elfes la font encourager la cause Felassan au travers de son conduit, Kytha, et elle ne peut qu’encourager l’Inquisition avec la Brèche qui chamboule son existence-même. Mais Arlath combat pour l’Amour sous toutes ses formes (et c’est un détail important à se souvenir, qu’elle ne concerne pas du tout l’amour romantique comme unique cause), et œuvre pour son propre dessein difficile à définir avec précision.  
Profession :
Elle aurait été prêtresse de Mythal, de son vivant, même s’il ne s’agit que d’une hypothèse émise par Kytha. Elle a reconnu un temple de la Déesse de la Justice dans la vision qui a accompagné leur union, à l’Amante et elle, et en a tiré ses propres conclusions. Elle semblait avoir un lien avec la religion, dans tous les cas ; or, la culture d’Arlathan étant perdue, il est virtuellement impossible pour la jeune Rêveuse d’obtenir une réponse claire. Arlath, elle, a oublié.  
Armement/Magie :
Bien qu’elle apparaisse parfois à Kytha armée d’une lance, d’un bouclier et d’un arc, l’Amante n’est qu’énergie. Elle possède la magie invisible qu’on attribue traditionnellement aux fantômes, mais en réalité à n’importe quel esprit immatériel présent dans le monde physique. Sons étranges ou décuplés, psychokinésie, empathie... Elle ressent ce qui est relié à son domaine (donc, l’Amour) chez autrui, peut se faire oublier. Potentiellement, pourrait se glisser un peu plus loin dans l’Immatériel pour sauver un être cher des griffes de la mort ; jamais accompli jusqu’à maintenant, cet acte associé aux Guérisseurs Spirituels est en théorie possible, comme Arlath reste un esprit bénévolant. Au premier regard, on croit qu’elle partage ces capacités avec Kytha, mais il s’agirait d’une préconception nocive : l’Amante est la seule maîtresse de ces manifestations, et agit de son propre gré. Donc hormis “l’empathie des cœurs brisés”, je ne les utiliserai jamais sans explication solide, en RP (voir “dynamique du lancer de dés”, plus bas).  
Intérêts :
Pas énormément. Elle reste un esprit, un souvenir, une dernière impression qui s’est ancrée dans le monde des rêves pour devenir éternelle. Hormis son essence-même plutôt évidente, l’Amante s’intéresse aussi à tout ce qui relève du monde ancien (et, bien sûr, surtout la civilisation elfique - que ce soit Arlathan ou la Dalatie), à la magie, et à l’Immatériel. Sa relation maternelle envers Kytha, aussi, est à ne pas oublier. Dans sa tête de fantôme, elle a adopté la petite.  
Utilisation :
MJ only. Si les joueurs veulent RPer avec Arlath, qu’ils viennent me voir ! Elle ne risque pas d’aller très loin. ~ D’ailleurs, pour les MJs, remarquez que je laisse beaucoup de détails très flous. Contrairement à Machiavel, que je souhaite assez “by the book” avec ce qui est écrit sur sa fiche, je vous laisse l’entier contrôle de l’Amante et de ses secrets. Peut-être qu’elle n’a pas tout oublié. Peut-être qu’elle est plus complexe qu’elle n’y paraît. Peut-être voudra-t-elle guider Kytha quelque part d’incongru au premier abord. Je vous laisse carte blanche totale tant que le concept de base est respecté (duh), parce que je veux que ma relation de RPGiste envers Arlath reste ce qu’elle est supposée être : un acte de confiance aveugle envers un être impossible à déchiffrer d’un regard, et qui agit selon ses propres intentions. On ne sait même pas qui elle était avec certitude, de son vivant ! Que de mystère ! J’adore jouer des possédés omg.  
 
Anecdotes : Contient des spoilers pour DAI et Trespasser. L’Amante, de son vivant, passait son quotidien dans un Temple de Mythal. Elle est tombée amoureuse de l’un des maçons, et se sont toujours imaginés vivre l’éternité ensemble malgré ce qui semblait être une liaison impossible. Mythal est assassinée, et Fen’Harel crée le Voile, sépare le monde physique de l’Immatériel. Pour la première fois de leur existence confrontés au concept de la mort, les Amants utilisent leur puissante magie pour se lier à tout jamais. Leurs corps sont oblitérés, mais ils copient leur conscience sous forme d’esprits de l’Amour et sont propulsés sur la carte du monde. L'Amante s’effondre sous terre dans une caverne des Tombes d’Émeraude. Elle est désormais un esprit dans le sens strict du terme, et avec l’Amant possède génération après génération des vies liées métaphysiquement. Une mère et son fils, deux jumeaux, un mentor et son apprenti... Kytha la trouve il y a quelques années, et souhaite l’aider de bon cœur. La possession a lieu malgré la peur, et elles échangent leurs souvenirs (ou du moins, les quelques images de l’Amante et la vie entière de Kytha). C’est là où l’Amante se prend d’une grande affection pour la jeune fille, qui lui rappelle quelqu’un (peut-être elle-même, de son vivant), et voit en quelque sorte l’enfant que les Amants n’auront jamais pu avoir. Elle “adopte” tout autant Machiavel, avec l’échange de souvenirs. L'Amant a choisi Itta, l’augure alvar. Kytha a subi une douleur terrible lors de l’ouverture de la Brèche. Il s’agit potentiellement des souvenirs d’Arlath, qui a vécu une seconde fois sa mort. Même si l’Amante jubile à l’idée que le Voile est plus fin, et donc qu’elle pourra rejoindre son vhenan plus facilement, elle souhaite les Failles disparues. Ou le Voile, disparu. L’un ou l’autre, mais cette non-finalité est terrible à expérimenter.
 
 
Description psychologique : Il y a peu à dire qui n’a pas déjà été démontré. Arlath n’est plus une personne, ne le sera plus jamais, et n’a donc pas de “personnalité” à proprement parler. Celle-ci est morte avec son corps à l’époque d’Arlathan. Elle a sa nature, ses objectifs, et hormis ces détails elle n’est qu’une réflexion de ce que les gens veulent voir en elle. Peu sont prêts à voir la vulnérabilité affective comme une bonne chose, et c’est pourquoi elle apparaît souvent comme intimidante et austère. Certains, comme Kytha, ne recherchent qu’un peu de chaleur et la perçoivent comme une figure maternelle, une guide.
Description physique : Son physique est légèrement adapté selon les attentes d’un individu (Kytha l’a toujours vue avec des vallaslin, admettons, même si ce serait historiquement incorrect et que la jeune fille ne reconnaît pas les symboles sur l’Amante), les détails plus ou moins beaux ou inquiétants. Certains détails ne changent pas, cependant, et l’Amante se ressemble toujours un minimum. Une grande femme athlétique, d’âge mûr, aux yeux intégralement blancs qui rappellent deux pleines lunes. Ses longs cheveux ondulés cascadent dans son dos, immaculés, et des parures d’une grande valeur lui octroient un aspect royal.
Dynamique du lancer de dés : Je rajoute cette partie afin de souligner le côté incontrôlable d’une possession, positive ou négative. Lors de moments particulièrement tendus, intenses, lors de certains pics dramatiques et selon le contexte, Arlath peut à l’instar d’Anders avec Justice prendre un contrôle total de Kytha. Dans ce cas, je perdrai un certain contrôle de mon personnage, habité par son PNJ dirigé par sa nature profonde. Lors d’un coup critique correspondant aux bons critères (que je laisse vagues, mais qui ne peuvent pas être une situation ordinaire), Arlath devient la force naturelle de l’Amour. Lors d’un échec critique, cependant, et ce toujours selon les critères logiques, Arlath prendrait temporairement sa forme démoniaque : Haine. Esprit profondément destructeur et paranoïaque, ce genre de manifestation sera terrible, aux conséquences lourdes. Et dès la première apparition de Haine, Kytha risque de s’aventurer dans une pente glissante, à grand risque de sombrer peu à peu vers le statut d’Abomination.


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