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Lun 17 Sep 2018 - 13:39

Anonymous
Invité

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Fiche personnage


Nom: Katari "Celui qui amène la mort"
Grade :
Sataari
Âge :
34
Origine et lieu d'habitation
Par Vollen puis Tevinter, maintenant il n'a plus vraiment de terre d'attache
Langue parlée :
Qunlat, Revenue, universelle, Langue des signes des esclaves
Sexe :
Masculin
Orientation sexuelle :
ne met pas de mot dessus
Situation amoureuse :
Les Qunari n'ont pas de situation amoureuse
Faction et rang
Qun/Sataari
Profession:
Gladiateur
Armement/Magie :
:Une hache à deux mains décorées de deux femmes ayant des rapports sexuels du nom de Saartoh Nehrappan
Intérêts :
le pain d'épices
Anecdotes : Il a le mal de mer, le vrai, celui qui repeint le pont en vert de la proue à la poupe Il ne peut plus voir les olives en peinture , il en a trop mangé à Tevinter il panique quand on lui fait des avances, il essaie de le cacher mais il est vraiment mauvais Il est obligé d'empiler les oreiller pour dormir sur le ventre malgré ses cornes Il a une fascination pour l'amour homosexuel féminin (d'où la hache) Il s'est fait tatouer son vitaar pour ne pas s'embêter à le refaire chaque fois qu'il entrait dans l'arène  et pour éviter d'empoisonner ses adversaires


Description psychologique : Sataari était un élément exemplaire du Qun, soumis, intelligent, embrassant sa place dans la société. Il était promis à un brillant avenir dans les beresaad avant qu'il ne soit capturé. S'il a d'abord lutté contre son destin en se raccrochant au Qun, ce sont les enseignements de ce dernier qui l'ont amené à se soumettre à ses nouvelles conditions de vie.

Pour réussir à supporter l'esclavage, il est devenu Katari, il a appliqué les grands principes du Qun à sa vie d'esclave, les tordant pour les faire coller aux situations quotidiennes. Il est pleinement conscient que sa pratique de sa philosophie est biaisée mais sans contact avec les prêtres pendant 15 ans il a dû s'adapter au mieux pour survivre sans renier son culte.

Son maître apportait l'ordre dans sa vie comme le Qun l'avait fait avant lui et aujourd'hui la liberté lui semble angoissante. Il a besoin de savoir s'il peut s'adapter à nouveau ou s'il doit retourner à Par Vollen pour retrouver l'ordre dont il a besoin pour avancer.

Description physique :
Katari a rapidement mesuré plus de deux mètres vingt, cornes comprise, et son tempérament discipliné en a fait un sujet idéal pour les Sataari, les guerriers de choc du Qun. Ses cornes forment deux boucles qui partent vers l’arrière de sa tête, font le tour de ses oreilles puis pointent fièrement vers le ciel. L’une d’elle a été brisée durant un combat, son maître constatant le choc psychologique que cela avait sur lui, lui a fait forger deux cornes en or identiques, moulées sur celle qui restait. L’une est creuse et est fixée sur la corne restante, l’autre est pleine et soudée à la corne cassée. Personne n’ayant vu le combat ne peut faire la différence.

Apprécié par son maître il a gagné de sa part de nombreux cadeaux dont des vêtements civils que bonne qualité. Il en prend grand soi, même maintenant qu’il est parti. Il aime arborer du rouge car c’est la couleur du drapeau de Qunandar et ses chemises ouvertes le sont sur des tatouages représentant un vitaar de guerre qu’il s’est fait immortaliser. Il possède également nombre de bijoux précieux offerts par des fans et qu’il a la vanité de porter comme preuve de son succès.

Ses cheveux sont noirs et longs, lâchés la plupart du temps mais coiffés en tresses plates sur sa tête lorsqu’il combat et les longueurs ramenées en chignon sur le bas de sa nuque.


Derrière l'écran

Pseudo : AntivanRaven
Âge :
26
Comment avez-vous connu le forum ? :
google
Que pensez-vous du forum ? :
je suis censurée par mes collègues de staff je ne peux rien dire!!!! Non non laissez moi tranquille!!!!  
Un dernier mot avant de se jeter à l'eau ? :
Anaan  esaam Qun


Katari ~There is nothing to struggle against Latest?cb=20141218104531

Lun 17 Sep 2018 - 13:40

Anonymous
Invité

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Fiche personnage


Histoire :

- « KATARI !! KATARI !! KATARI !! KATARI !! »

Derrière de lourdes portes de bois sculptées, Katari ferma les yeux. Ce rituel il le connaissait bien, arrivé à ce stade de la compétition, les ouvreurs laissaient toujours quelques minutes à la foule pour hurler le nom de leur favori. Cela faisait quinze ans qu’il était arrivé à Tevinter, douze qu’il avait embrassé sa condition d’esclave. Ce soir, si le destin le lui permettait, il serait libre.

En douze ans il n’avait jamais changé sa préparation. Debout face à la porte, les yeux clos, les mains posées sur sa hache, il se remémorait sa vie.

Un voyageur demanda à l'ashkaari : "Qu'avez-vous vu de notre but ?"
Le grand ashkaari répondit : "Je vais te raconter une histoire".



Les champs de tournesols dans la campagne de ParVollen. Les rires d’enfants et de la voix de Tama qui appelle pour souper. La cloche en bronze qui les appelait pour les leçons. Les histoires avant de dormir, d’autres leçons de vie racontées pour faire entrer la sagesse dans leur tête. Le toucher de la main de Tama et du baiser qu’elle déposait sur leur front avant de quitter le dortoir qu’il partageait avec six autres enfants.


Une grande statue de granit s'élève sur une île et repousse la mer.
Les cieux couronnent son front et son regard porte jusqu'au bord du monde.
À chaque marée, la mer noie ses pieds.





Sataari. La fierté immense qu’il avait ressenti en entendant ce mot. Il allait faire partie du grand tout naturel des choses, il allait être utile, il allait devenir un maillon de la chaîne de son peuple. Il allait également pouvoir satisfaire sa curiosité maladive. Il ferait partie des Beresaad, les éclaireurs de l’Arishok, qui nourrissaient son savoir et sa vision du monde.

Il avait suivi un entraînement draconien, les Sataari étaient des guerriers maniant les armes à deux mains. Il était bon, très bon en combat. L’Arishok était satisfait de ses compétences. Il l’avait jugé digne de rejoindre les véritables combats à Séhéron. Asit tal-eb. Seheron était un enfer. Entre les guerriers de la brume qui se battaient pour défendre l’île dont ils étaient natifs, les Tévintides qui tentaient de tout noyer dans le sang, les Tal-vashoth qui tapaient sur tout le monde et les troupes Qunari au milieu qui tentaient de ramener l’ordre, l’île était le centre d’un tourbillon de chaos.


Au-dessus de sa tête, les cieux passent de la lumière aux ténèbres.
La marée enfle pour dévorer la terre, avant de reculer.
Le soleil et les étoiles tombent dans la mer, tour à tour, avant de se lever à nouveau.




Il était sous les ordres d’Hissrad lorsque son destin prit une nouvelle tournure. Il avait dix-neuf ans, il était discipliné mais trop enthousiaste et il n’était sur l’île que depuis quelques semaines lorsque la troupe fut empoisonnée dans son intégralité. Les rations empoisonnées par des Tal-Vashoth avait frappé fort. L’immunité des nouveaux soldats était loin d’être parfaite et malgré leur résistance aux poisons, beaucoup tombèrent malades. Particulièrement Sataari, Tallis et Ashaad, qui n’avaient pas terminé le processus de leur immunité. Lorsque Hissrad partit en quête de vengeance il les laissa au campement, fiévreux, incapables de quitter leur lit. C’est au milieu de la nuit que les Tevintards frappèrent. Ceux qui étaient en état essayèrent de lutter, mais rien n’y fit. Sataari ne se souvenait même pas avoir été capturé, les délires de la fièvre avait eut raison de sa conscience et quand il ouvrit à nouveau les yeux il était dans une cage sur un bateau en direction de Quarinus.

Tallis parvint à s’enfuir après deux jours en terres Tevintides, il nous abandonna pour chercher du renfort. Les renforts ne vinrent jamais. Nous avions entendu parler de la dépravation de Tevinter, mais nous n’avions jamais réalisé la vulgarité de leur existence. Avec le peu de langue commune que nous maîtrisions, nous comprirent trop tard qu’Ashaad allait être présentée comme une esclave sexuelle. La vente…. La vente aux enchères il n’oublierait jamais. Alignés sur une scène, des hommes et des femmes en atours plus ridicules les uns que les autres venaient inspecter les futurs esclaves. Peu osèrent approcher Sataari, il était grand, puissant et attaché avec des chaînes si grosses qu’il les soupçonnait être celles d’une ancre de bateau. En revanche Ashaad se blessa cruellement en tentant d’éviter les mains impudiques qui se pressaient pour l’examiner. Puis on les avait ramené en coulisse, et amené un à un sur l’estrade encore une fois. Un homme avec un marteau criait des mots qu’ils ne comprenaient pas, puis frappait sur son pupitre et c’était le tour de quelqu’un d’autre. Ashaad passa avant moi, je m’avançais autant que je pouvais pour voir la salle. Je vis des plaquettes de bois se lever avec des écritures inconnues. Cela dura longtemps, plus longtemps que pour les autres. Lorsque le marteau tomba, un homme monta sur l’estrade et avec un sourire sadique, sortit une dague de sa veste et trancha les maigres liens des vêtements d’Ashaad pour la regarder. Elle était nue devant toute la salle. Sataari perdit le contrôle. Il arracha ses chaines du sol, les fit tournoyer au-dessus de sa tête et les abattit sur le premier homme qui tenta de l’arrêter. Il parcourut la distance qui le séparait de l’éclaireuse et saisit le petit homme par le crane, lui planta les pouces dans les yeux et le planquant à terre, lui broya le crane. C’est alors que la foudre s’abattit sur lui et qu’il perdit connaissance.


La marée monte, la marée descend, mais la mer ne change pas.
La lutte est une illusion. Il n'y a pas d'ennemi à combattre.



Lors de son réveil, il se trouva à nouveau dans une cellule, mais libre de ses mouvements, avec un lit de camp à peu près assez grand pour lui, de l’eau et de la nourriture à disposition. De l’autre côté il y avait un homme moustachu, la peau matte, les yeux d’un vert surréaliste. À côté de lui, un elfe en armure légère, blond, les cheveux coupés très courts. L’homme à moustache parla dans une langue qu’il ne connaissait pas, et l’elfe parla en Qunlat, traduisant manifestement les paroles prononcées précédemment.

- « Tu appartiens à mon maître à présent, Magister Edeon Albucius. Il a été très impressionné par ta force, il t’a acheté pour que tu deviennes Gladiateur. C’est un grand honneur, peu d’esclaves ont la chance de suivre un destin aussi glorieux. »

Il se jeta contre la grille, mais elle était trop lourde, trop épaisse, elle bougea à peine sous son poids.

- « Maître Albucius dit que ton tempérament te servira à gagner des combats dans les arènes. Tu dois manger et boire pour rester fort. Si tu te conduis bien, et que tu gagnes tes combats tu gagneras de l’honneur et des libertés. Sinon tu resteras ici et tu te feras rouler dans la poussière du stade. »

- « Dis à ton maître que s’il s’approche de moi, je ferai exploser son crane et que je me masturberai ensuite en pensant à la façon dont sa cervelle a éclaboussé les murs…. » Grogna-t-il avec un rictus méprisant, regardant Albucius droit dans les yeux.

L’elfe esquissa une grimace dégoutté et voyant que son maître le regardait dans l’attente d’une traduction, il rougit jusqu’aux oreilles et refusa manifestement de traduire. Albucius ne sembla pas impressionné, il retourna son regard intense à Sataari et se remit à parler.

- « Plus tu lutteras... » Lui traduit l’elfe. « Et plus tu souffriras. Il ne te privera jamais de vivres mais l’isolement te rendra fou et si tu ne te bats pas pour lui plaire, tu te battras pour libérer la fureur de ton esprit brisé. Tu es un esclave, mais tu peux toujours choisir comment vivre. »

L’homme se tourna vers la sortie tout en continuant de parler.

- « Le maître reviendra te voir demain, d’ici là repose-toi et mange ce qui t’est offert. Les combats arriveront bientôt. » Lui annonça l’elfe, avant de suivre son maître à la trace.



La tromperie coule de plus en plus profondément. La statue résiste au flux et au reflux de la mer,
Et chaque vague l'érode un peu.
Elle proteste contre le soleil qui vient, et son visage est brûlé de trop le regarder. Elle n'a pas conscience d'elle-même.




Les mois passèrent et Sataari n’était pas plus docile. Les choses se passèrent comme Albucius l’avait annoncé, il manquait de motivation, transgressait les règles du combat par méconnaissance, perdait affrontement sur affrontement, revenait frustré de ses combats et restait seul pendant des jours. Durant des nuits entières il récitait les cantiques du Qun. Un soir alors qu’il était assis sur son lit et qu’il récitait machinalement le Psaume de l’Âme, quelque chose lui apparut. Il luttait … Pendant toute l’année passée il avait lutté désespérément contre son maître, contre les règles de cette société, contre les autres gladiateurs, contre le public, contre lui-même. Ma la lutte est une illusion… Il n’y a rien contre quoi lutter. Peut-être… Peut-être que s’il acceptait sa place, le chaos cesserait d’exister dans son âme. Peut-être que s’il acceptait que sa place aujourd’hui était d’être esclave, il trouverait la paix.

Depuis un an, chaque jour, Albucius descendait le voir dans sa cellule et tous les jours il se faisait traduire par Egero. Lorsqu’il s’absentait de la demeure il le prévenait toujours qu’il ne serait pas là et pour combien de temps. Il attendrait qu’Albucius descende le voir. Il lui dirait qu’il cessait de lutter. Parce que c’est ce qu’enseigne le Qun. La lutte est vaine, il n’y a rien contre quoi lutter.

- « Bonum vesperum, Qunari. »

- « Bonum vesperum, Dominus. »


Elle résiste obstinément à la sagesse et se retrouve transformée.
Si tu aimes avoir un but, laisse-toi tomber dans la marée. Laisse-la te porter.
N'aie pas peur des ténèbres. Le soleil et les étoiles reviendront te guider.




À partir de ce jour les choses s’ordonnèrent. On lui enseigna la langue commune, il apprit le Tevene par lui-même. On lui enseigna les règles des combats, il apprit à les utiliser à son avantage. Lorsqu’il gagna son premier combat, Dominus fit installer un vrai lit dans sa cellule, avec un matelas assez grand pour qu’il puisse s’étendre et se tourner dans son sommeil. Au second, la nourriture devint meilleure, les quantités plus généreuses. Sa bonne conduite et ses marques de respects lui valurent le droit de se rendre à la salle d’entraînement aussi souvent qu’il le désirait.

- « Bonum vesperum, Qunari. »

- « Bonum vesperum, Dominus. »

- « Tu as bien combattu ce soir, ce match était très difficile. Est-ce qu’il y a quelque chose que tu désires comme récompense ? »

- « Puis-je choisir mon nom Dominus ? »

- « Je te demande pardon ? »

- « Les autres gladiateurs ont des noms que le public peut scander…. Puis-je choisir le mien ? »

- « Tu as une idée sur la question ? »

- «Oui, Dominus. Katari. ‘’celui qui amène la mort’’ »

Albucius éclata d’un rire joyeux, il était apparemment agréablement surpris de la réponse.

- « Du Qunlat ? Es-tu sûr que c’est une bonne idée ? »

- « Le public vient voir combattre un sauvage, une bête mi-homme, mi-buffle… Je veux leur donner ce qu’ils veulent, et plus encore. Je ne parlerai pas la langue commune dans l’arène, uniquement le Qunlat, mon nom résonnera dans les arènes Tevintides et roulera comme le tonnerre des applaudissements. Je serai le cauchemar qu’ils craignent, et ils adoreront venir acclamer leurs propres craintes. »

- « Bien, bien. Je vois que tu as compris que les Gladiateurs sont autant des acteurs que des combattants. Je vais informer la fédération de ton nouveau nom. Bonne nuit, Katari. »

- « Bonne nuit, Dominus.


Tu as vu les plus grands rois construire des monuments à leur gloire
Tout ça pour qu'ils tombent en ruines et s'effacent.




Les victoires s’enchaînèrent, Dominus était tellement satisfait qu’il emmenait Katari avec lui partout, comme garde du corps entre autres. S ‘en tenant à son personnage, il ne prononça jamais un mot de langue commune ou de Tevene en présence d’étrangers. Ses victoires lui attirèrent la sympathie des spectateurs, son nom était scandé de plus en plus souvent. Les défaites se faisaient de plus en plus rare. Après dix ans le tournoi des sept dragons prit place à Minrathous. Le soir après la fin des combats, alors qu’il avait festoyé, satisfait son corps avec les femmes dont le rôle était de pourvoir aux plaisirs des vainqueurs, après avoir une fois encore récité le cantique de l’âme dans sa cellule, Albucius apparut encore. Ce n’était plus quotidien à présent mais il descendait toujours le voir régulièrement pour discuter. La grille était toujours ouverte, il s’asseyait sur la chaise du bureau et Katari s’asseyait sur le lit.

- « Tu t’es couvert de gloire aujourd’hui Katari. Qu’est-ce que tu désires comme récompense pour cette victoire ? »

- « Dominus, je crains que la seule chose que je désire et vous ne m’ayez pas donnée ne soit pas en votre pouvoir d’atteindre. »

- « Je suis intrigué, explique-moi. »

- « J’étais Sataari, je faisais partie des Beresaad. Mon arme et mon âme ne font qu’un. Lorsque j’ai été pris sur Seheron, les esclavagistes ont emmené tout ce qu’il y avait dans le camp, y compris nos armes. Je ne suis plus vraiment Qunari sans ma hache. Je n’ai plus d’âme pour animer mon corps, je suis une coquille vide. »

- « Si je retrouve cette épée, que ce passera-t-il ? »

- « Dominus m’aura rendu mon âme, ma gratitude et mon obéissance lui seront à jamais acquise. »

- « Je vais voir ce que je peux faire. »


A quel point le monde est-il plus grand que leur gloire ?
Le but du monde se renouvelle chaque saison.
Chaque changement ne marque




Revenant au présent Katari regarda sa hache. Non seulement elle lui avait été rendue, mais Dominus l’avait fait réparer, embellir, décorer au fil des années en appréciant l’humour de Katari. Un respect mutuel avait grandi entre eux jusqu’à ce que ce jour arrive. Le Tournoi le plus important depuis cinquante ans, organisé par Dominus. Le dernier combat, celui qui lui permettrait enfin d’être libéré de Tevinter. Si le Qun avait raison, si cesser de lutter avait été la bonne décision, alors ce soir il serait libre.

- « KATARI !! KATARI !! KATARI !! KATARI !! »

Les portes s’ouvrirent devant lui, le révélant au public, en même temps que l’autre challenger. S’il y avait des gens pour scander le nom du guerrier avec son bouclier en face de lui, on ne les entendait pas. Il avait réussi, il était favori, les Vints se massaient dans le stade pour hurler son nom, les femmes de magister trompaient leurs maris en rêve. Il était l’un des gladiateurs les plus accomplis de l’empire. Leur entrée déchaîna la foule.

La finale fût mémorable, avec un combat à mort qui le laissa vainqueur. Couvert de sang, il posa un genou à terre devant la tribune dans laquelle l’Archonte était assis, Dominus à ses côtés. Le silence se fit dans l’arène, ses épaules le faisait atrocement souffrir mais il piqua la tête de sa hache dans le sol et plaça ses mains dessus et dans un Tevene fluide il déclara devant l’assemblée.

- « Dominus, je vous ai servi loyalement, j’ai exaucé toutes vos prières et vous avez ordonné ma vie autant que le Qun pendant ce quinze années. Vous avez promis la liberté au vainqueur, j’ai vaincu… Tiendrez-vous votre parole comme j’ai tenu la mienne ? »

Dominus tint sa promesse. Plus que ça encore, il permit à Katari de partir avec ce qu’il désirait de ce qui lui avait appartenu durant ses années à son service. Il ne prit que le nécessaire, les vêtements, des vivres, le baume pour ses cornes, sa hache et s’en alla. Dominus insista pour qu’il emmène avec lui un assortiment de runes. Jusque-là il avait une masseuse pour soulager ses douleurs après les combats, Katari ne put qu’accepter ce substitut avec reconnaissance. Il quitta la ville puis l’empire pour devenir une nouvelle part du monde.

Qu'une partie du grand tout.
La mer et le ciel eux-mêmes
N'ont rien de spécial. Ce ne sont que des fragments.

- Les écrits de Koslun, le psaume de l'âme
.




Katari ~There is nothing to struggle against Latest?cb=20150523145513

Mar 18 Sep 2018 - 14:18

Anonymous
Invité

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Fiche de validation


Félicitations, Katari tu es maintenant officiellement,

Validé(e) !


Avis du staff sur ta présentation : J'ai beaucoup apprécié cette fiche, autant au niveau du contenu que de l'approche originale. J'ai donc hâte de voir ce que deviendra Katari, suite à ce dilemme de foi ! Bon jeu !

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens,  ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

N'oublions pas le plus important : Maintenant tu as accès au système de points d'expérience et au(x) QG de ton (tes) faction(s) ! De nombreuses surprises t'y attendent : tu pourras échanger avec les autres membres de ta faction pour établir des stratégies et gérer les ressources de ton groupe !

N'hésite pas à demander un RP aux autres membres du forum et créer des liens avec eux ! Rendez-vous sur le discord ou sur ce lien pour demander un jeu aux membres disponibles !

Sur ce, cher membre, nous te souhaitons un bon jeu !



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