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Fiche PNJ
 | Nom, Prénom : Nachtigall, Edwin Âge : 31 ans Origine et lieu d'habitation Marches Libres, Fort Céleste Langue parlée : Universelle Sexe : Homme Orientation sexuelle : Hétérosexuel Situation amoureuse : Célibataire Faction et rang Inquisition Profession: Enchanteur d'objets et d'armes en tous genres Armement/Magie : Ecole de l'Instinct et de l'Entropie (Mage), Sans magie (Apaisé) Intérêts : Retrouver sa liberté, retrouver la trace de sa mère disparue, lutter pour la cause des mages (Mage) - Se rendre utile, le travail bien fait, assister Lynne (Apaisé) Utilisation : Lynne Lenhardt / MJ only |
Anecdotes : Au Cercle, Edwin a été le co-fondateur du "plan Q" visant à favoriser les ébats amoureux des mages. ◇ Son animal préféré est la chouette. Pour lui, ils sont l'équivalent de "chats volants".◇ Dans ses débuts en tant qu'Apaisé, il avait du mal à sourire de manière convaincante. Il s'est amélioré depuis. ◇ Sous les injonctions de Lynne, il cachait sa marque avant de rejoindre l'Inquisition, et ce afin de ne pas se faire remarquer. ◇ Il sait jouer du luth. Il a perdu l'habitude d'en jouer, mais si cet instrument se retrouve dans ses mains, il saurait jouer quelques accords venant d'un lointain passé.
Description psychologique :
Le mage
- On dit que le courage nait d'une volonté de faire face à ses peurs tout en étant bien consciente de ces dernières. Pour d'autres, on dirait qu'elle vient d'une inconscience à la limite de la stupidité. Edwin marche à la limite de ces deux possibilités. C'est comme s'il ne se souciait pas des conséquences, peut-être même qu'il était bête ... a moins qu'il soit simplement près à payer le prix de ses convictions. Peut-être un peu de tout.
- Il trouve toujours un moyen de rire de tout, même dans les situations apparemment sans issues. Bien qu'il est sans nul doute doté d'un esprit fort enjoué et d'un grand optimisme, il faut tout de même admettre que son humour pour source dans la déviation : cela lui permet d'alléger la gravité d'une situation et la rendre plus banale.
- Edwin a détesté tout son temps au Cercle. Il ne pensait qu'à une chose : s'enfuir et retrouver sa mère, elle-même apostate, afin de retourner à leur ancienne vie - dissimulant leurs pouvoirs, mais heureux.
- Il a tendance à vouloir tirer vers le haut les personnes autour de lui. Cela a été particulièrement le cas pour Lynne, qui était son exacte opposée dans ses convictions.
C'est cela, d'ailleurs, qui l'a éveillé à la réalité des Cercles, qu'il n'avait jamais connu jusque alors qu'enen dehors des paroles de sa mère. Ainsi fut le début de l'étincelle de sa résolution à ne pas faire s'enfuir seulement lui, mais également les autres mages du Cercle.
- Révolutionnaire dans l'âme, il est de toute évidence un libertaire qui s'oppose farouchement aux loyalistes. Pour autant, il condamne fortement l'usage de la magie du sang et bien qu'il ait été plusieurs fois tenté de l'étudier, il n'y a jamais succombé.
L'apaisé
- Son courage, son empathie, sa révolte face à l'injustice, ses passions qui faisaient ressortir le meilleur et le pire de lui-même ... envolés. Il n'y a maintenant plus que cette douce somnolence, sans éclat ni sentiment.
- Stoïque, il n'exprime plus aucune émotion.
- Seule compte son utilité et son efficacité. Le reste n'a aucune importance à ses yeux.
- Lynne est un visage familier et récurrent. Il se rappelle de l'affection qu'il éprouvait pour elle, mais il y est indifférent à présent. Pour autant, il reste à ses cotés ; elle met de l'ordre et des directions dans sa vie d'Apaisé arraché du Cercle.
Description physique :
Le mage
- On dit que le courage nait d'une volonté de faire face à ses peurs tout en étant bien consciente de ces dernières. Pour d'autres, on dirait qu'elle vient d'une inconscience à la limite de la stupidité. Edwin marche à la limite de ces deux possibilités. C'est comme s'il ne se souciait pas des conséquences, peut-être même qu'il était bête ... a moins qu'il soit simplement près à payer le prix de ses convictions. Peut-être un peu de tout.
- Il trouve toujours un moyen de rire de tout, même dans les situations apparemment sans issues. Bien qu'il est sans nul doute doté d'un esprit fort enjoué et d'un grand optimisme, il faut tout de même admettre que son humour pour source dans la déviation : cela lui permet d'alléger la gravité d'une situation et la rendre plus banale.
- Edwin a détesté tout son temps au Cercle. Il ne pensait qu'à une chose : s'enfuir et retrouver sa mère, elle-même apostate, afin de retourner à leur ancienne vie - dissimulant leurs pouvoirs, mais heureux.
- Il a tendance à vouloir tirer vers le haut les personnes autour de lui. Cela a été particulièrement le cas pour Lynne, qui était son exacte opposée dans ses convictions.
C'est cela, d'ailleurs, qui l'a éveillé à la réalité des Cercles, qu'il n'avait jamais connu jusque alors qu'enen dehors des paroles de sa mère. Ainsi fut le début de l'étincelle de sa résolution à ne pas faire s'enfuir seulement lui, mais également les autres mages du Cercle.
- Révolutionnaire dans l'âme, il est de toute évidence un libertaire qui s'oppose farouchement aux loyalistes. Pour autant, il condamne fortement l'usage de la magie du sang et bien qu'il ait été plusieurs fois tenté de l'étudier, il n'y a jamais succombé.
L'apaisé
- Son courage, son empathie, sa révolte face à l'injustice, ses passions qui faisaient ressortir le meilleur et le pire de lui-même ... envolés. Il n'y a maintenant plus que cette douce somnolence, sans éclat ni sentiment.
- Stoïque, il n'exprime plus aucune émotion.
- Seule compte son utilité et son efficacité. Le reste n'a aucune importance à ses yeux.
- Lynne est un visage familier et récurrent. Il se rappelle de l'affection qu'il éprouvait pour elle, mais il y est indifférent à présent. Pour autant, il reste à ses cotés ; elle met de l'ordre et des directions dans sa vie d'Apaisé arraché du Cercle.
Description physique :
Âgé d’une trentaine d’années, Edwin ressemble à première vue à n’importe quel homme croisé sur la place du marché. Il est aussi grand que l’un d’entre eux, peut-être un peu plus : d’ailleurs, sa physionomie plutôt fine ne fait qu’accentuer ce phénomène. La teinte de sa peau, légèrement bronzée, laisse supposer qu’il passe un peu de temps à l’extérieur mais vis surtout dans l’ombre des murs. Ses cheveux, d’un brun particulièrement sombre, lui vont jusqu’au menton et son généralement un peu décoiffés. Son nez droit, légèrement courbé, lui donne un aspect franc voire volontaire, complétant ses traits francs. Son habillement varie selon les jours, mais se veut humble et pratique, ne démarquant aucune marque de richesse.
Là où le noiraud tend à s’éloigner de l’individu normal, c’est dans son regard. Derrière ses iris hésitant entre le gris et le bleu semble se dresser un voile impénétrable. S’il y avait une lumière de vie, une flamme de passion, celle-ci s’est éteinte il y a bien longtemps, ne laissant que les cendres d’un monument en ruines. Ses lèvres ne s’étirent plus que très rarement pour sourire, mais sans aucune chaleur et ce plissement des paupières caractéristique des personnes heureuses. Quant à ses mouvements ils sont devenus plus droits, efficaces, sans une marque d’hésitation. Et que dire du timbre de sa voix, qui fait raisonner les mots avec une sérénité surnaturelle ? Ses mots se déplient sans passion, d’un rythme monotone, comme s’il allait s’endormir.
Et puis sur son front, la marque qui régit tout cet orchestre dénué d’émotion. Une marque dorée à la forme d’un soleil, celui de la Chantrie.
Là où le noiraud tend à s’éloigner de l’individu normal, c’est dans son regard. Derrière ses iris hésitant entre le gris et le bleu semble se dresser un voile impénétrable. S’il y avait une lumière de vie, une flamme de passion, celle-ci s’est éteinte il y a bien longtemps, ne laissant que les cendres d’un monument en ruines. Ses lèvres ne s’étirent plus que très rarement pour sourire, mais sans aucune chaleur et ce plissement des paupières caractéristique des personnes heureuses. Quant à ses mouvements ils sont devenus plus droits, efficaces, sans une marque d’hésitation. Et que dire du timbre de sa voix, qui fait raisonner les mots avec une sérénité surnaturelle ? Ses mots se déplient sans passion, d’un rythme monotone, comme s’il allait s’endormir.
Et puis sur son front, la marque qui régit tout cet orchestre dénué d’émotion. Une marque dorée à la forme d’un soleil, celui de la Chantrie.
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