Anataar Ou le Sasquatch [Terminé]

Anecdotes :
◇ Il a embêté un mabari quand il avait 6 ans. Bien entendu, il s’est fait mordre. Depuis, il arbore une peur bleu de ses animaux à quatres pattes et une cicatrice sur la fesse gauche. il a compris la leçon depuis et a appris à respecter les animaux et la nature.
◇ Il adore chanter.
◇ A ses 11 ans, Son père trouva un petit druffle perdu dans la forêt. A la base, il devait en faire un bouillon mais la mère d’Anataar préféra reconvertir la pauvre bête en animal de bât., le jeune garçon compta vite le drufflon comme l’un de ses rares amis.
◇ Il tient toujours un journal à chaque fois qu’il part en plusieurs jours en forêt. il y écrit et dessine tout ce qui pourrait être intéressant.
◇ Le père d’Anataar devint, au fil de sa prise en main, un fin gourmet. Tentant une agréable surprise, son fils s’essaya à la cuisine. Le garçon concocta une blanquette avec ce qui restait du bélier que sa mère avait chassé il y a quelques jours. Tout se passait bien jusqu’au moment où il fallut amener la casserole à table. Prenant d’une première main le manche de la casserole, il posa l’autre main sur le rebord de la casserole. La casserole virevolta avant de répandre tout son délicieu contenu par terre. Anataar suivit peu après en glissant dans ce qui restait de son oeuvre. Il en garda une rougeoyante marque entre le pouce et l’index et une bonne dose rire avec ses parents.

Description psychologique : D’un naturel calme et apaisant, il porte à la fois un côté joueur et bagarreur.
Il est franc … voire trop franc. Il préfère que les autres savent à quoi s’en tenir vis-à-vis de lui. Une bonne partie des manières de bienséance lui manque. Ces lacunes se traduisent souvent par une inadaption sociale à l’égard des féreldiens,... si il en croise.
N’étant pas très habitué à la vie citadine, il a peu de manières en terme de bienséance.
il a aussi un goût pour l’ironie situationnel qui ne sied qu’à lui… à tel point qu’il peut s’esclaffer de rire en plein combat lorsqu’une situation désespérée tourne en sa faveur.

Son gros problème, c’est son ivresse de la chasse. Au fur et à mesure des meurtres perpétrés au nom de sa vengeance, il prit goût à la traque de templiers en milieu sauvage. En temps normal, Anataar considère l’écosystème comme un être vivant devant être respecté. Alors que dans ses instants de folie meurtrière, il n’y voit plus qu’un outil à manipuler contre ses ennemis.

Il est très protecteur envers le peu d’êtres qui trouvent grâce à ses yeux. En témoignent les quelques bandages qui peuvent parcourir Pompon, son druffle de bât. Sinon, il est souvent respectueux de ses interlocuteurs même si il ne parle pas beaucoup avec les féreldiens de par son manque de maitrise de la langue commune.

Description physique : Anataar a une morphologie normale pour un Qunari. Géant par rapport aux humains, il possède une musculature taillée par ses multiples voyages en forêt.
Des cornes courbées vers l’arrière du crâne couronnent le crâne du Qunari. Une petite crête de cheveux noirs garnissent son cuir chevelu jusqu’au haut du cou.
Il est dit que des gens se sont déjà fracassés les doigts sur son vitaar.  Cette peinture ne protège que les épaules et le visage d’Anataar. De communes oreilles pointues encadrent le visage carré du Qunari..
Une barbe de trois jours entoure ses lèvres
Il est souvent paré de vêtements en peau de bête qu’il a lui-même confectionné.

Histoire :

C’est ainsi que tout commença. D’un jour orageux où le tonnerre grondait, La brume avait envahi les quelques hauteurs surplombant la vallée.
Le jeune Qunari, Anataar, revenait triomphant d’un week-end de chasse fructueux. Fort de son butin monté sur Pompon, le druffle de bât de la famille, le chasseur cornu convoyait des vivres qu’il ramenait de l’autre bout de la vallée. Les herbes qu’il foulait ainsi que celles qu’il effleurait témoignait d’une potentielle averse prochaine. L’humidité ambiante emplissait ses narines à chaque inspiration… “dépêchons-nous” se disait-il. Une goutte venait de lui tomber sur le front portant avec elle le présage que le Qunari redoutait. Il eut fallu que quelques instants pour que l’averse prédite par ses années de vie dans la vallée se mue anormalement en pluie tempétueuse. Dans les pensées du qunari, son chemin allait être compromis si il ne se dépêchait pas. La rivière, non loin de la maison allait bientôt se transformer en torrent infranchissable avec les litres d’eau qui chutait du ciel.
Trottinant avec contenu dans la direction de son foyer, il serpentait avec facilité dans cette forêt qui l’avait vu naître. Chaque arbre et chaque ronce avait brodé sa carte mental dans laquelle il naviguait sans aucune contrainte.
Malheureusement, il était arrivé trop tard. le tumulte de la tempête avait remplacé l’affluent qu’il connaissait en un mur d’eau insurmontable. C’est avec le coeur affligé, qu’il commençait à repartir dans un endroit plus sec en amont quand ses narines ne sentirent plus d’humidité mais une odeur différente… de la fumée. Il se retourna soudainement en scrutant les hauteurs des arbres baignant dans un voile épais de brume.
Dans une vive déchirure de ce voile nébuleux, il remarqua une épaisse fumée noire se dégageant de la direction de son foyer. Une lourde angoisse vint s’emparer de lui qui redoutait le pire.


Avant qu’il commencent à étudier tous les potentiels chemins qui pourrait l’amener chez lui, il vit débarquer sur la rive opposé une forte silhouette qu’il reconnut entre mille. Malgré sa démarche désordonnée, Anataar reconnut son père, Arslan, accablée par une menace indicible dans le bosquet d’en-face. Juste derrière lui, marchait à reculons, sa mère, Kara, vigilante à une menace qui s’approchait derrière la lisière de la forêt. Trébuchant sur ses lambeaux d’espoir de survie, Anataar vit son père à genou semblant s’apaiser . Anataar aperçut cinq silhouettes armurée les encerclant comme des bêtes. Des arcs électriques déchirèrent la brume et le spectre auditif. Dans un mouvement violent de rage libéré, Arslan frappa le sol de ses deux poings, créant des fêlures électriques percutant deux de leurs opposants. Malgré la violence du choc et le fracas que fit leur armure lorsqu’ils choyèrent sur les galets du rivage, ils se relevèrent tous à l’unisson comme si l’attaque n’avait été qu’une poussée bénigne.

L’un se prit néanmoins une attaque d’opportunité de la hache de Kara venant pulvériser la clavicule de son assaillant. En représailles à l’attaque mortelle de la mère Qunari, une lame étincelante vint percer son flanc, lui arrachant un cri bestial. S’enrageant de douleur, elle percuta le casque de son assaillant de toute ses cornes meurtrières. Le chevalier en armure recula en lâchant son arme dans l’abdomen de son adversaire, sonné sous le poids du choc. Kara récupéra son arme pour préparer une décapitation immédiate de son ennemi immobilisé. Au moment où l’arc meurtrier de la Qunari termina sa course funeste au sol, tranchant dans un mouvement poétique et acharné la tête de l’épéiste, elle reçut une flèche dans le dos. Le projectile mortel fit hoqueter Senu qui s’échoua sur les genoux, épuisée et ensevelie sous la souffrance de ses blessures. Elle tomba sur son côté droit, inerte.
Anataar, poussée par la hâte et la tension de la scène se décida à brandir son arc et encocha une flèche. Tentant tant bien que mal à viser une potentielle cible dans le chaos qu’était cet affrontement, il se résolut à ne pas tirer, au risque de toucher ses parents. Il ne pouvait qu’assister à la scène, impuissant.
Tandis que son père luttait en éloignant ses deux adversaires avec des fissures électriques qui se répandait dans la brume comme un éclair dans les nuages. Les funestes hérauts encerclèrent le père Qunari qui contempla la chute de sa bien-aimé. Envahi par une haine indescriptible, un champ de javelot foudroyants électrocuta le sol environnant les deux amants. Les adversaires valdinguèrent joyeusement tandis que les galets fumaient de leur immédiate chaleur.
Devant un telle déluge de puissance, l’espoir de revoir ne serait-ce qu’un membre de sa famille renaquit au coeur du garçon avec le tonnerre que provoqua son père. Soudainement, le silence revint et des chevaliers déchus n’en resta qu’un debout. Pour une raison qui échappait au garçon Qunari, Arslan stoppa sa dance mortuaire pour se rapprocher lentement de son agonisante bien-aimée, l’enlaçant une dernière fois. A côté d’eux, la dernière silhouette armurée contempla la scène immobile pendant quelques instants avant de reprendre sa marche lugubre envers le couple. D’un geste solennel et morbide, il enfonça tout le fil de son épée dans le dos d’Arslan lui volant son dernier souffle avant de le laisser s’étaler sur le sol, inerte.
Tel une bête, Anataar hurla à s’en rompre les cordes vocales. Dans la brume, le chevalier se tourna, surpris, vers la silhouette d’Anataar, de l’autre côté du rivage.
Le voile brumeux se leva en même temps que la fin de l’escarmouche s’annonça. Dans cet éclaircissement progressif, Anataar imprima tous les traits du visage de ce survivant qui lui faisait face. Le dessin sur son armure se grava jusqu’au fond de sa retine : Une épée nimbée de flamme.
C’est ainsi que tout commença...

Félicitations, Anatar tu es maintenant officiellement,
Validé(e) !

Avis du staff sur ta présentation : Pompon et toi êtes les bienvenus XDD #fanclub-de-Pompon

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

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Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens,  ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

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