Louise Valmont de Vendôme

Anecdotes : Contrairement au reste des Valmont, Louise n'est pas atteinte par l'intérêt de l'occulte et la fascination par la mystique de cette dynastie. Après tout, le confort réelle et matériel qu'apportent pouvoir influence et argent lui semblent bien plus attrayants. ◇ Impossible de dire qui d'elle où de son frère vit le jour le premier, l'un tenait l'autre par la main ou le pied lors de l'accouchement. ◇ Louise est capable de se faire volontairement violence, voir de se sacrifier si cela permet de faire souffrir encore plus ses ennemis et adversaires. ◇ Éternelle insatisfaite, Louise a au moins 24100 projets ambitieux en tête au même moment. ◇ Bien que chantriste andrastienne, elle porte de plus en plus un intérêt envers la Chantrie Impériale, qu'elle trouve moins hypocrite et plus directe. ◇ Son statut de célibataire sans enfants la préoccupe énormément, se considérant comme vielle fille. De ce fait, Louise est prête à tout pour obtenir un bon et beau mariage, mais son côté excessivement exigeant et sélectif au possible n'arrange pas les choses. ◇

Description psychologique : Louise est ce que nous pouvons appeler une personne purement et simplement rongée par l'ambition dévorante, voyant en presque tout le monde des ennemis adversaires et autres obstacles à abattre. Très cultivée et tout autant curieuse, Louise est une des plus grandes mécènes des arts et des lettres de tout Thédas. Extrêmement fière et digne, elle assume pleinement son rôle ainsi que tout les devoirs et obligations qui en découlent sans sourciller le moins du monde, et elle ne saurait souffrir du moindre affront, ce qui le rend arrogante voir orgueilleuse. Il n'empêche qu'elle n'oubliera jamais d'où elle vient, ce qui en fait l'un des membres les plus accessible de l'entièreté de la famille impériale. Parfait produit du Noble Jeu, Louise n'est que dissimulation et duplicité, sachant où et comment appuyer sur chaque personne pour mieux les manipuler et les séduire, la faisant plus passer pour un serpent ou une araignée qu'à un véritable être humain. Rusée tel la renarde, Louise se complaît à entretenir une rutilante image publique, sachant parfaitement se montrer persuasive et convaincante dans son rôle, tout en gérant ses domaines et champs de compétences en redoutable dame d'affaire. Elle admire son frère pour ce qu'il est et a accompli et ce qu'il lui reste faire et devenir, sa dévotion familiale atteint un niveau presque religieux, ce qui la met dans une position délicate concernant la Guerre des Lions, car là où Louise est plus encline à soutenir et séduire Célène, son frère Antoine semble plus prompte à cumuler les faveurs de Gaspard, le mieux à ses yeux serait que les deux prétendants se marient et que Florianne épouse son frère... Enfin voilà son opinion publique, car en vérité, à son sens, Louise préférerait épouser Gaspard elle-même, et voir son frère  devenir Empereur via mariage avec Célène, et maintenir un statut flou entre les deux Lions afin de garantir la réalité du pouvoir pour Louise et Antoine, ou tout autre plan farfelu que peut sortir Louise en nombre illimité à la seconde.

Description physique : La première chose qu'il convient de dire à propos de Louise concerne le fait qu'elle est littéralement une très grande dame, dépassant d'une tête le commun des humain. Son port outrageusement altier et sa stature aussi droite qu'élancée lui donnent un air impérial à rendre jalouse l'Impératrice elle-même lors de ses jours de fierté. Ses traits fins et délicats sont élégamment rehaussés d'un maquillage merveilleux et alambiqué, son visage servant de trône à un magnifique masque de lionne fantasque d'or et de rubis, aux décorations impériale sophistiquées d'argent, de saphir, et de pierre de lune. Sa beauté naturelle est encadrée de vêtements à la toute dernière mode, uniquement lorsque cela n'est pas elle la lanceuse de modes, ses toilettes et ses parures étant toutes plus extravagantes extraverties et excentriques les unes que les autres, faisant de sa vie quotidienne une véritable scène ouverte perpétuelle. Louise est si mince et si maigre qu'elle passe entre les gouttes lorsqu'il pleut, pourtant, elle ne semble pas crouler sous le poids de tout ses textiles et pierreries, bien au contraire, le moindre de ses mouvement est intrinsèquement emprunt d'une grâce et d'une aisance quasi surnaturels. En tant que barde, sa voix n'est qu'or sonore.

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