Hector | What is a man ? A miserable little pile of secrets. [Terminé]

Anecdotes : Il doit sa maîtrise de la lecture, de l’écriture et des mathématiques à la Maison du Repos – qu’il n’a intégré qu’à l’aube de ses dix-sept ans. Avant cela, il était incapable de déchiffrer le moindre mot, et n’avait que de vagues notions en calcul.◇ L’Orlésien a un faible pour le tabac – et parfois d’autres herbes, comme l’elfidée – qu’il consomme généralement à la pipe. Il n’est pas rare de le voir s’embrumer les poumons entre deux missions.◇Bien qu’éternellement dissimulé sous son armure, un médaillon à l’effigie d’Andrasté pend éternellement à son cou. L’unique héritage que lui ait laissé sa mère.◇ Hector est régulièrement en proie à de sévères insomnies, qu’il tente d’apaiser par le biais de décoctions diverses. Loin de posséder le talent nécessaire à l’ouvrage de pareils remèdes, l’assassin s’approvisionne auprès d’un alchimiste de renom à Val-Royeaux.  

Description psychologique : TACITURNE. Peu versé dans le domaine de l’éloquence, Hector se révèle être un homme sensiblement secret. D’un naturel volontiers laconique, l’Orlésien écoute plus qu’il ne parle, et a pour habitude de mesurer avec soin le poids de chacun des mots qu’il prononce. Il exècre les babillages inutiles, et fait montre – même à l’égard de ses frères d’armes – d’une grande impassibilité.

PRAGMATIQUE. Spécialiste des dilemmes immoraux et des situations pour le moins délicates, Hector est un homme bigrement pragmatique, qui ne s’encombre guère de sentimentalisme lorsqu’il lui faut agir. Froid dans ses raisonnements, méticuleux dans ses calculs, la logique et l’efficacité motivent la moindre de ses décisions, qu’il ne prend jamais à la légère.

LUCIDE. Les années passées à serpenter entre complots, sombres machinations et assassinats ont rondement endurci le mental de Hector, lequel a depuis longtemps laissé derrière lui ses illusions de jeunesse. Lucide quant au fonctionnement « des choses de la vie », l’assassin n’a guère plus foi qu’en sa propre personne, et se défie de tout ce qui n’est pas sous son contrôle. D’un naturel volontiers farouche, peu de choses ont encore de valeur aux yeux de l’Orlésien, pour qui le monde n’est qu’un conglomérat de vilenies, de corruption et d’injustices.

RANCUNIER. Hector est une vieille carne, un assassin blanchi sous le harnois, que les décennies passées à suriner pour le compte de la Maison du Repos ont rendu quelque peu méfiant et rancunier. Si l’homme a grandi auprès d’une mère excessivement croyante, l’indulgence n’est toutefois pas une seconde nature chez l’Orlésien, qui oublie rarement les entourloupes dont il a pu être victime. Intransigeant avec ennemis, Hector ne fait preuve d’aucune pitié à l’égard de ces derniers, dont il n’oublie jamais les fautes. Si la vengeance est un plat qui se mange froid, l’assassin, pour sa part, l’apprécie glacée.

MANIAQUE. Quiconque ayant déjà fréquenté (de près ou de loin) Hector l’affirmera sans détour : l’homme est un perfectionniste jusqu’au-boutiste. Obsédé par l’ordre, l’assassin ne tolère aucun écart, professionnel comme personnel. Cette minutie excessive, si elle exaspère parfois ses pairs, lui vaut toutefois la confiance de ses commanditaires, qui voient dans la rigueur d’Hector la garantie d’un contrat habilement mené.

PROTECTEUR. Maître assassin oblige, l’Orlésien a formé nombre des membres actuels de la Maison du Repos, qu’il considère (pour la plupart) comme de véritables membres de sa famille. Aussi froid et inflexible puisse-t-il paraître, Hector n’en demeure pas moins un compagnon d’arme soucieux du devenir de ses confrères et consœurs – détail qu’il se garde toutefois bien l’étaler en public.


Description physique : Grand et élancé, le visage anguleux, comme taillé à la serpe, Hector est un homme à la ganache sèche, sinistre – sinon foncièrement patibulaire. Son port altier, couplé à sa démarche souple et féline, participent à la froideur de son apparence – que l’assassin veille à entretenir. Homme d’une grande rigueur, ses joues sont ainsi quotidiennement rasées de près, et ses tenues d’une propreté impeccable.

De ses années de service au sein de la Maison du Repos, Hector conserve plusieurs cicatrices et marques diverses – vestiges des nombreux combats auxquels il a pris part. Outre un impact – relativement profond – de flèche sur l’une de ses cuisses, moult entailles et coupures de tailles et importances variables, l’assassin porte également une balafre au niveau de l’œil droit, laquelle s’étend jusqu’à sa mâchoire.

Homme d’action, Hector favorise la souplesse d’une armure légère à la robustesse d’une cuirasse lourde. Ses tenues, généralement de couleurs sombres (il affectionne particulièrement le noir, mais également le pourpre) sont, de fait, choisies pour leur praticité – en témoignent, par exemple, ses chausses, que l’assassin juge bien plus accommodantes que des robes.

9 : 12 de l’Ere des Dragons – Here Lies the Abyss.

« Tout ira bien, mon cœur. Tu es un homme, maintenant. Tout ira bien. Je te le promets. »

Crac. La chair céda sous la force du choc, à l’instar de ses phalanges, que le contact avec le mur décrépi de sa modeste chambrette ne manqua pas de réduire en charpie. « Tout ira bien. » L’adolescent hoqueta, les yeux brouillés de larmes, avant de se laisser lourdement retomber sur le plancher poussiéreux du dortoir. Son poing ensanglanté se referma sur sa poitrine. Un trou. Un trou dans le cœur. Un trou béant, noir de ténèbres et vide d’espoir, que rien, il le savait, ne parviendrait jamais plus à combler. « Tout ira bien. » Le souvenir de sa voix lui arracha un nouveau sanglot, plus violent, encore, que les précédents. « Menteuse ! Menteuse, menteuse, menteuse ! » Plus rien n’irait, désormais, il le savait. Plus depuis qu'elle était partie. « J’suis pas un homme.. » Souffla douloureusement le gamin, le museau humide de chagrin. Non, décidément, il n’était pas un homme – ce même s’il s’était bien souvent plu à le prétendre à qui voulait bien le croire. Il n’était qu’un gosse. Un gosse aux genoux cagneux et aux mains écorchées, que la vie n’avait cessé d’égratigner depuis le jour de sa naissance, treize ans plus tôt. « Tout ira bien. » Pourquoi ne parvenait-il pas à y croire ?

« Ça va, petit ? » La voix rocailleuse de Claudio tira brutalement le marmot de ses ruminations. Debout dans l’entrebâillement de la porte, une bougie coincée entre ses paluches abîmées, le vieil homme l’observait d’un œil empreint d’inquiétude. « T’as l’droit de pleurer, petit. Une mère, on en a qu’une. » Le garçon ne répondit rien. D’un revers de manche, l’adolescent entreprit d’essuyer les sillons humides qui lui barbouillaient le visage, sous le regard bienveillant de l’homme, qui s’accroupit prudemment à ses côtés. « J’vais t’aider, d’accord ? T’es pas tout seul. » Quoique bienvenue, la nouvelle ne soutira à l’adolescent qu’un vague hochement de tête. Claudio ne se démonta pourtant pas pour autant. « Je connais des types qui pourraient avoir besoin d’un petit gars aussi costaud que toi. Ils paient bien. C’est un début, non ? » Nouveau hochement de tête. Le gamin releva ses yeux rougis en direction du patriarche. « Merci, Claudio. » S’efforça-t-il à articuler, dans un désordre de reniflements et de sanglots piteusement ravalés. Le vieux marin lui offrit son sourire le plus bienveillant. « Tu verras, petit. Tout ira bien. »

Si seulement.


9 : 16 de l'Ere du Dragon - Wicked Eyes and Wicked Hearts.

[Un imposant grimoire, à la reluire élégamment ouvragée. Il se dégage de l’ouvrage – épais de plusieurs centaines de pages – une odeur de poussière et de vieux parchemin.]

Quinzième jour du mois de Frimnaire, la seizième année de l’ère du Dragon.

[…] Le colloque s’est achevé par une requête de conscription, rapportée par Maître Nazaire, lequel s’est attaché à décrire en détails le profil d’un jeune homme de sa connaissance, rencontré au hasard de l’un de ses contrats, plusieurs mois auparavant. Le garçon, âgé de dix-sept ans à ce jour, se serait illustré à de nombreuses reprises au cours de différentes « affaires », impliquant généralement l’assassinat d’individus en conflit avec le groupe de voyous auquel il appartient. Doté (toujours selon Maître Nazaire) d’étonnantes aptitudes en matière de furtivité, le jeune homme ferait montre d’une détermination et d’un sang-froid à toute épreuve. Quoique peu loquace (et sensiblement méfiant), le garçon (qui a toujours refusé de communiquer son nom) a toutefois confié à Maître Nazaire être le bâtard d’une prostituée, laquelle serait décédée il y a quatre ans de cela, le contraignant, de fait, à rejoindre un groupuscule de coupe-jarrets qui l’emploie régulièrement, depuis, comme homme de main. En dépit de quoi, le jeune homme ne semble nourrir aucune espèce d’attachement à cette association de criminels, qu’il qualifierait (je cite) de « crétins pas foutus de différencier un couteau à beurre d’une dague ».

La plaidoirie de Maître Nazaire achevée, le Conseil a procédé à un vote en vue d’affirmer ou infirmer l’intérêt de la guilde à l’endroit du garçon. Le suffrage s’étant soldé par une réponse positive (7 voix pour, 3 voix contre), Maître Nazaire s’est vu confier une mission d’observation (d’une durée de trois mois) à l’attention de la potentielle recrue, qui se soldera – ou non – par l’admission du jeune homme dans les rangs de l’Organisation.



9 : 17 de l’Ere du Dragon – In Your Heart Shall Burn.

« Pour… quoi ? »

Pourquoi ? Le garçon tressaillit. Pourquoi ? Il n’en savait rien. Seule certitude : cet homme devait mourir. Et, à en juger par la plaie sanguinolente qui lui vrillait désormais la gorge, le gamin avait brillamment exécuté sa tâche. « Je ne sais pas. » S’entendit-il bredouiller, tandis que déjà s’écroulait le vieillard, les lèvres maculées d’écume rougeâtre. L’avait-il seulement entendu ? Ça aussi, il l’ignorait. Peut-être. Peut-être pas. Mais qu’importe : la chose n’avait plus aucune espèce d’importance. Rien ne comptait désormais plus que sa survie. Sa survie seule.

D’un geste souple de la main, le jeune homme s’empressa de glisser sa dague dans son fourreau. « Une issue. » Son regard s’arrêta sur la fenêtre – ouverte – par laquelle il s’était introduit quelques minutes plus tôt. Un instant, il hésita. Devait-il partir si vite ? Ses yeux lorgnèrent avec envie les bijoux coincés aux doigts du cadavre. Il lui suffisait de tendre le bras… « Fais pas l’con. » le souffla soudainement sa conscience « Ils t’ont à l’œil. » Le garçon soupira. Le Conseil, il le savait, ne tolérerait aucun écart de sa part. « Bâtard. » marmonna-t-il à l’intention du mort, avant de se diriger, bon gré mal gré, en direction de la fenêtre. Un dernier coup d’œil sur le fastueux appartement, et le garçon disparut par-delà l’embrasure de la fenêtre.

Il retrouva Nazaire sur les quais de la cité, à quelques embranchements à peine de la Grand Place. Quoique coiffé de son sempiternel masque de cuivre poli, le garçon ne manqua pas de discerner le rictus qui étirait les lèvres – tout juste discernables – de son mentor. « Bien joué. » S’exclama finalement ce dernier, tandis que l’adolescent approchait. « Net et précis. Un peu hésitant sur la fin, mais je ne te le reproche pas. » Le garçon soupira. « Vous m’observiez depuis le début, pas vrai ? » Derrière le masque, les yeux de Nazaire pétillèrent. « Évidemment. Cela t’étonne ? » Le jeune homme ne répondit pas. Non, décidément, l’omnipotence de son maître ne le surprenait guère. « Ne fais pas cette tête. » reprit Nazaire « Tu as réussi ton épreuve ! Ton admission ne devrait plus être qu’une question de semaines. » L’assassin lui tapota amicalement l’épaule. « Allez, rentrons. J’ai un rapport à faire. Et toi, tu as un contrat à célébrer. » Un sourire, et Nazaire tourna les talons.

« Attendez ! » S’écria le gamin à l’intention de l’homme qui, déjà, s’éloignait à grands pas. « Pourquoi devait-on l’éliminer ? Le vieux, j’veux dire. Pourquoi ? Qu’avait-il fait pour mériter un contrat ? » Nazaire ne se retourna pas et, d’une voix légère, se contenta de répondre : « Qu’importe ? Il est mort, et toi pas. Contente-toi de ça pour le moment. » Et, sur ces mots, disparut à l’angle de l’avenue.


9 : 17 de l’Ere du Dragon – From the Ashes.

[Un petit carnet grossièrement reliés, aux pages jaunis et maculées d'encre. Les premières entrées se résument à un amas de ratures, de traces de doigt et de fautes d'orthographe.]

[...] Du plu umble dé esqlave au plu gran dé roy,
Tou lé home son né dé min du creater
Qi séme le qonfli é nui au min moi mouindre de ces anfan
San y avouar été contrin,
Selui la é modi par le creater

[Une note, en bas de page, griffonnée d'une main visiblement plus habile.]


9 : 23 de l’Ere du Dragon – What Pride Had Wrought.

« Ces fils de putain l’avaient salement amoché. » Marmonna sombrement Rhett, tout en désignant d’un coup de museau le corps étendu sur le pageot de pierre. « J’ai fait ce que j’ai pu pour retaper sa belle gueule. Tu verras : il est presque plus beau mort que vivant, ah ! ». L’homme se fendit d’un sourire, auquel ne répondit que faiblement Hector, dont la mine assombrie trahissait sans peine la terrible humeur. Rhett grimaça, penaud. « Je sais qu’il comptait beaucoup pour toi. » Reprit-il plus doucement, visiblement au fait de l’état émotionnel du jeune homme. « C’était vrai pour lui aussi, tu sais. T’étais comme un fils pour lui. M’enfin… » L’embaumer se tût, trop conscient, sans doute, de la vacuité de ses mots et, sans un mot de plus, entreprit de ranger ses outils. Hector le regarda faire en silence, les yeux dans le vague, l'esprit ailleurs - loin, très loin du caveau humide dans lequel Rhett l'avait invité à se recueillir. « Je te laisse avec lui. » Finit par articuler ce dernier une fois son barda soigneusement remisé dans sa besace. « Des gars à moi devraient pas tarder à venir récupérer le corps pour la cérémonie. Je te retrouverai là-bas, j’imagine. » Un dernier coup d’œil en direction du gamin, et Rhett disparut derrière l’épaisse porte qui gardait l’accès de la crypte.

Hector déglutit avec difficulté. Une. Deux. Trois… Cinq minutes s’écoulèrent encore sans que le jeune homme ne bouge, ou n’accorde le moindre regard au cadavre. Ses yeux, lui semblait-il, refusaient tout bonnement la vue du corps inanimé de son vieux maître. « Je t'avais dit qu'ils n'en resteraient pas là, bon sang. Je te l'avais dit... » Lentement, le garçon s'approcha du cadavre de Nazaire, dont le visage, aux muscles si désespérément figés, lui arracha un rictus amer. « Mais tu n'écoutes jamais, pas vrai ? ». Silence. Hector soupira, tandis que se rappelaient à lui les événements de la veille : la lame de l'estafette contre sa mâchoire ; le reflet de la Lune sur les armures rutilantes des Chevaliers ; le hoquet de douleur de Nazaire, alors que le coutelas de l'un des nobles s'enfonçait dans sa poitrine ; l'odeur du sang, poissant, souillant les pavés humides de la venelle ; l'acier des gantelets et le cuir des bottes contre ses propres côtes, lorsqu'il avait tenté de venir au secours de son mentor. Et puis, le poids. Le poids du corps de Nazaire, lorsque le garçon avait entrepris de le ramener à la guilde. Le poids des remords et des regrets, lorsque la disparition du vieux maître s'était révélée indubitable. Le poids de la haine, lancinante, qui lui rongeait l'âme depuis lors.

« Je suis désolé. » Chuchota piteusement Hector à l'intention du cadavre. Timidement, le garçon posa l'une des ses mains sur celles, livides, de son ancien comparse. Si la froideur de ces dernières le fit tressaillir, l'assassin ne relâcha toutefois pas sa prise. Au contraire. « Ils t'oublieront, mais pas moi. T'entends ? Pas moi. »

Et il tint promesse.


9 : 28 de l’Ere du Dragon – In Hushed Whispers.

[Une kyrielle de tableaux, aux dimensions impressionnantes, et figurant les ganaches sèches des plus hauts dignitaires de la guilde. Parmi les toiles, le portrait d'un homme à la mine sévère et abîmée. Sous le tableau, une petite plaque de bronze, portant l'inscription suivante :]

Maître H.
9 : 17 -


9 : 41 de l’Ere du Dragon – The Final Piece.

[Une missive, trouvée dans l'âtre d'une cheminée. Les flammes ont dévoré une partie de la lettre, et roussi le parchemin.]

Maître J,

J'apprécie votre sollicitude, bien que ma réponse reste inchangée. Nous savons tous deux que [fragment illisible] dédaigner une [fragment illisible] celle-ci - qu'importe le prix à payer - : il en va de notre répu[fragment illisible] bien de notre salut.

J'ignore la durée exacte de mon périple, mais [fragment illisible] si ce n'est plus. En attendant, je [fragment illisible], soyez-en assuré.

Bien à vous,




8 : 99 de l'Ere des Bontés - Naissance à Val Royeaux, Orlaïs.
9 : 12 de l’Ere des Dragons - Disparition de sa mère, emportée par la maladie.
9 : 12 de l'Ere des Dragons - Hector rejoint un gang local, pour lequel il effectue divers contrats.
9 : 16 de l'Ere des Dragons - Première rencontre avec Maître Nazaire.
9 : 17 de l'Ere des Dragons - Admission officielle dans les rangs de la Maison du Repos.
9 : 23 de l'Ere des Dragons - Disparition de Nazaire, assassiné par un groupe de Chevaliers Orlésiens.
9 : 25 de l'Ere des Dragons - Attribution et formation de ses premiers apprentis.
9 : 28 de l'Ere des Dragons - Hector est promu au rang de Maître.
9 : 41 de l'Ere des Dragons - Informations confidentielles.
9 : 41 de l'Ere des Dragons - Départ pour Férelden.

Félicitations, Hector tu es maintenant officiellement,
Validé(e) !

Avis du staff sur ta présentation : Personnage interessant et original, nous allons te créer ton QG de faction! bon jeu

Maintenant que je suis validé(e), que faire ? Maintenant que ton groupe a été attribué, tu débloques plusieurs nouvelles fonctionnalités sur le forum ! Tu as désormais accès au flood où tu pourras t'amuser autant de fois que tu le voudras. N'hésite pas à donner un coup de pouce au forum, en votant pour nous aux topsites afin de pouvoir avoir plus de visibilité et obtenir de nouveaux joueurs sur notre plateforme !

Mais avant toute chose, tu peux avoir accès à la section Relations et Annexes jusque là invisible !
Tu peux ouvrir un sujet pour ta Gestion RPG et lister tous tes RPS en cours, gérer tes relations dans ta Fiche de liens,  ouvrir une boîte aux lettres pour recevoir tes missives, et enfin t'isoler pour rédiger dans ton journal intime et ne parler que de toi.

N'oublions pas le plus important : Maintenant tu as accès au système de points d'expérience et au(x) QG de ton (tes) faction(s) ! De nombreuses surprises t'y attendent : tu pourras échanger avec les autres membres de ta faction pour établir des stratégies et gérer les ressources de ton groupe !

N'hésite pas à demander un RP aux autres membres du forum et créer des liens avec eux ! Rendez-vous sur le discord ou sur ce lien pour demander un jeu aux membres disponibles !

Sur ce, chère membre, nous te souhaitons un bon jeu !