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Cullen Rutherford
– Inquisition –
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Quelle femme de goût cette Meridith. Cullen commençait à comprendre. Si sa gêne setait mué en confusion, sa confusion se transformait graduellement en hilarité. Mais contrairement à l'explosion de Lynne, le rire lui vint progressivement, à mesure que l'incompréhension disparaissait.
"Oh. Je vois. C'est assez... absurde en effet."
Il sourit a Lynne, partageant sa joie.
"Je tiens à te préciser quand même que la Lavande te sieds beaucoup mieux qu'à Meridith."
"Oh. Je vois. C'est assez... absurde en effet."
Il sourit a Lynne, partageant sa joie.
"Je tiens à te préciser quand même que la Lavande te sieds beaucoup mieux qu'à Meridith."
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Cœur de nuit, odeur de verveine
Une fois l'effet de surprise disparu, Lynne finit par se calmer progressivement. Elle essuya distraitement quelques larmes qui s'étaient échappées suite à l'émotion, mais non sans quelques légers ricanements.
Elle finit par rencontrer le regard du blond, rayonnante. Au travers de ses yeux, elle trouvait Cullen absolument adorable dans sa maladresse.
" Merci, c'est gentil." sourit-elle à l'adresse de son ami, " Bien que bon ... j'ai envie d'en changer de parfum, maintenant. C'est malin, maintenant je vais penser à elle à chaque fois que je vois de la lavande !"
Elle faisait semblant de le gronder, mais son sourire amuse laissait aisément entendre qu'elle était tout sauf sérieuse.
"Sinon, pour avant ..." reprit elle, un peu plus sérieuse. " Je ne voulais pas que tu culpabilises. Je me rappelle ce que tu m'avais dis il y a longtemps, au camp après notre combat et .. enfin ... c'était important pour moi de te le dire, c'est tout."
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Cullen Rutherford
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Aïe. C'est vrai que maintenant, il voyait le fantôme de Meridith flotter derrière la tête de Lynne. Les odeurs avaient un pouvoir phénoménal pour rappeler les mauvais instants.
Mais au fond de lui, il savait que la seule chose que l'odeur de Lavande allait lui rappeller était le délicieux sourire de Lynne.
La gêne était partie, mais il faudrait encore du temps pour que le rouge de ses joues disparaisse a son tour. Lui même n'était pas au courant qu'il rougissait comme une tulipe. Et ce qu'il ne savait pas ne pouvait le déranger.
"Oh, tu parlais de ça. Disons que je ne m'étais pas levé d'un très bon pied ce jour là. Je devais m'y attendre, lorsque j'ai décidé de ne plus prendre de Lyrium. Mais ça va mieux maintenant."
Il ne lui avait jamais vraiment parlé des effets que le lyrium avait sur lui. Et il ne souhaitait pas vraiment le faire, surtout pas maintenant. Ce fardeau était pour ses épaules seule
Mais au fond de lui, il savait que la seule chose que l'odeur de Lavande allait lui rappeller était le délicieux sourire de Lynne.
La gêne était partie, mais il faudrait encore du temps pour que le rouge de ses joues disparaisse a son tour. Lui même n'était pas au courant qu'il rougissait comme une tulipe. Et ce qu'il ne savait pas ne pouvait le déranger.
"Oh, tu parlais de ça. Disons que je ne m'étais pas levé d'un très bon pied ce jour là. Je devais m'y attendre, lorsque j'ai décidé de ne plus prendre de Lyrium. Mais ça va mieux maintenant."
Il ne lui avait jamais vraiment parlé des effets que le lyrium avait sur lui. Et il ne souhaitait pas vraiment le faire, surtout pas maintenant. Ce fardeau était pour ses épaules seule
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Cœur de nuit, odeur de verveine
Le spectacle du commandant couvert d'un voile cramoisi était rare, mais également fort bienvenue. A force de le cotoyer et de le connaître, l'extérieur sévère du chevalier sous capitaine qu'elle avait connu s'était effacée au fil du temps, ne devenant plus qu'un souvenir d'un temps révolu. Aussi, Lynne chérissait cette vue unique, l'emplissant d'un attendrissement à peine contenu. A ses yeux, Cullen était simplement adorable.
L'évocation des effets du Lyrium mêla cependant de l'inquiétude à ce sentiment initial.
" Tu sais, quand on ne se sent pas très bien, nos contrariétés deviennent plus fortes ... mais ça ne veut pas dire qu'elles n'existent pas. C'est pour ça que ça m'inquiète. " avoua t'elle.
Elle jeta un coup d'oeil à sa tasse, qu'elle jugea suffisamment infusée. Elle se leva alors, se dirigeant vers l'armoire pour y chercher deux cuillères.
" ... Comment te sens-tu au fait ? Tu sais, pour le Lyrium." finit-elle par demander timidement, tournant la tête vers lui dès qu'elle se fut emparée des deux ustensiles.
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Cullen Rutherford
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Cullen s'était toujours sentit... observateur. Dans une conversation, il jugeait que le langage du corps était aussi parlant que celui de la langue. Lui même, se rendant compte des tics et des tics usuels des gens, essayait de supprimer les siens. Mais ici, ce rougissement des joues était nouveau. Il n'avait jamais vraiment réagit de la sorte avant.
Il acquiesce d'un coup de tête lorsque Lynne s'expliqua. Ne sachant plus quoi dire, il baissa les yeux pour regarder le fond de sa tasse. Mais quelque chose de peut etre encore plus étrange que le rougissement était cet envie irrésistible de sourire.
Il n'était pas un homme très souriant. Enfin, il savait être poli. Un petit sourire moyen dans une discussion pouvait tout changer. Mais ici, c'était un véritable sourire de joie pure. Comme si il se sentait enfin à sa véritable place après tant d'années.
Aux côtés de Lynne. Il n'avait pas encore fait cette réalisation, mais la partie la plus primitive et la plus obscure de son cerveau le savait déjà.
Il observa la mage se lever pour aller chercher des cuillères. Et là, il se rendit compte qu'après tant d'années, depuis quil lavait rencontré à Kirkwall...
Elle avait changé. Ses gestes était sûr, son visage ferme,et tout ses gestes étaient accompagné d'une énorme confiance en elle. C'était ce qui lui semblait en tout cas. Alors que Cullen doutait chaque jour de sa décision sur le lyrium, il admirait cette force tranquille de Lynne. Elle avait un objectif et n'en demordait pas. Si seulement il pouvait puiser dans cette force.
"Ah ça... ca dépend fortement des jours. Et je me rend compte ce soir : cela dépend aussi d'avec qui je suis. Depuis que je suis entré dans cette tour avec toi, mon mal de crâne a totalement disparu pour la première fois depuis... et bien des mois. M'aurais tu jeté un sort ?"
Il acquiesce d'un coup de tête lorsque Lynne s'expliqua. Ne sachant plus quoi dire, il baissa les yeux pour regarder le fond de sa tasse. Mais quelque chose de peut etre encore plus étrange que le rougissement était cet envie irrésistible de sourire.
Il n'était pas un homme très souriant. Enfin, il savait être poli. Un petit sourire moyen dans une discussion pouvait tout changer. Mais ici, c'était un véritable sourire de joie pure. Comme si il se sentait enfin à sa véritable place après tant d'années.
Aux côtés de Lynne. Il n'avait pas encore fait cette réalisation, mais la partie la plus primitive et la plus obscure de son cerveau le savait déjà.
Il observa la mage se lever pour aller chercher des cuillères. Et là, il se rendit compte qu'après tant d'années, depuis quil lavait rencontré à Kirkwall...
Elle avait changé. Ses gestes était sûr, son visage ferme,et tout ses gestes étaient accompagné d'une énorme confiance en elle. C'était ce qui lui semblait en tout cas. Alors que Cullen doutait chaque jour de sa décision sur le lyrium, il admirait cette force tranquille de Lynne. Elle avait un objectif et n'en demordait pas. Si seulement il pouvait puiser dans cette force.
"Ah ça... ca dépend fortement des jours. Et je me rend compte ce soir : cela dépend aussi d'avec qui je suis. Depuis que je suis entré dans cette tour avec toi, mon mal de crâne a totalement disparu pour la première fois depuis... et bien des mois. M'aurais tu jeté un sort ?"
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Cœur de nuit, odeur de verveine
Ses mains n'eurent pas à chercher, attrapant machinalement la poignée d'un tiroir pour révéler l'objet de ses recherches soigneusement rangés avec d'autres divers ustensiles. Même les mages, pendant leur étranges expériences, avaient besoin d'un minimum de confort personnel - et Lynne n'avait que trop expérimenté cette réalité. Quand elle était plongée dans ses recherches, il n'y avait rien de plus réconfortant d'avoir de quoi se restaurer à proximité pendant que tout son esprit œuvrait pour une seule et même cause.
Un léger cliquetis plus tard, et ses doigts s'étaient emparés des deux cuillères. La mage se serait empressé en temps normal de revenir à la table, mais la voix de Cullen la stoppa dans son élan. Son regard s'était posé sur lui, et elle même sentait le sien couler sur elle. Une petite voix qu'elle avait du mal à faire taire lui susurrait une vérité coupable. Elle appréciait être l'objet de son attention, même lorsqu'il s'agissait d'une simple discussion telle que celle-ci. Elle appréciait être à ses cotés, dans les bons moments comme les mauvais.
La jeune femme le regardait avec des yeux attentifs, intéressés, mais également légèrement soucieux. Le Lyrium était un sujet problématique, car elle savait que cela lui faisait plus de mal qu'il ne voulait l'admettre. Pour autant, elle ne s'était pas attendue à la tournure que prit la phrase.
Jamais elle ne l'avait vu sourire ainsi. Un sourire emplit de confiance, mais également d'une joie espiègle qui ne rajoutait que davantage de piquant dans sa question qui n'avait d'innocente que son apparence.
Par le Créateur. Etait-il ... en train de flirter avec elle ? Oh non. Elle n'imaginait pas arriver si loin.
Qu'elle que fut la réponse que son esprit décida d'assimiler, son visage prit progressivement une jolie teinte pivoine.
" Je- euhm- ... Ca doit être probablement l'elfidée qui fait effet !" rit-elle doucement, dans un amusement qui ne parvenait pas à masquer la gêne issue de la timidité.
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Cullen Rutherford
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Pour Cullen, parler ainsi était totalement normal. Il n'avait pas vraiment de motifs extérieurs. En roue libre, son esprit savait qu'il n'avait pas vraiment à faire attention à ce qu'il disait en présence de Lynne. C'était une bénédiction. Il n'aimait pas quand les gens décortiquait chaque mots de chaque phrases. Ce n'était pas sain. Mais ici, voir Lynne se figer sur place sous l'effet de son regard... Créateur, est ce qu'il avait dit quelque chose qu'il ne fallait pas ?
Lynne n'aimait peut-être pas jeter de sorts aux gens. Ce n'était pourtant qu'une petite boutade gentille qu'il avait tenté de lui faire. Peut-être alors avait-il réussi son coup ? L'effet de ses paroles était tel qu'elle cherchait désormais ses mots.
"Oh, crois moi Lynne je bois de l'elfidée tout les jours, et ce n'est rien comparé au soulagement que je ressens en te regardant sourire."
Ah. C'était peut-être un peu... osé. Un artéfact de rougissement revint immédiatement, et il se corrigea :
"Euh... je veux dire, en buvant la tienne, de tisane. Ca doit être l'expérience. Tu les fais mieux que moi. Je te demanderai la recette, un jour."
Lynne n'aimait peut-être pas jeter de sorts aux gens. Ce n'était pourtant qu'une petite boutade gentille qu'il avait tenté de lui faire. Peut-être alors avait-il réussi son coup ? L'effet de ses paroles était tel qu'elle cherchait désormais ses mots.
"Oh, crois moi Lynne je bois de l'elfidée tout les jours, et ce n'est rien comparé au soulagement que je ressens en te regardant sourire."
Ah. C'était peut-être un peu... osé. Un artéfact de rougissement revint immédiatement, et il se corrigea :
"Euh... je veux dire, en buvant la tienne, de tisane. Ca doit être l'expérience. Tu les fais mieux que moi. Je te demanderai la recette, un jour."
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Malgré la brusque bouffée de chaleur qui lui était montée au visage, le trouble de la jeune femme s'amenuisa progressivement alors que Cullen répondait à sa tentative de banaliser la situation. Au contraire, il semblait laisser place à une émotion qu'elle ne connaissait que trop bien lorsqu'elle se trouvait aux cotés de son ami : de l'affection. Elle sourit doucement, n'osant pas d'abord le regarder suite à son compliment, avant de finalement lever les yeux vers lui quand ce fut au tour du blond de se troubler de la même manière qu'elle.
Une teinte d'amusement revint à la fois dans son regard et sur ses lèvres. Aucune moquerie ne se lisait sur son visage : simplement un mélange de bienveillance et de reconnaissance.
" C'est gentil. Moi aussi je ... j'aime bien te voir sourire." confessa t'elle, évitant brièvement son regard dans un nouvel élan de timidité. " Et ça me ferait plaisir de t'apprendre ce que je sais. Si tu veux, je peux te montrer demain à la même heure ... ? Enfin - si tu as le temps, bien sûr. "
Elle ne put s'empêcher de le regarder avec un brin d'espérance. Si il lui était possible de repasser un peu de temps seule en sa compagnie ... Elle ne pouvait laisser passer cette occasion.
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Cullen Rutherford
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Elle aimait le voir sourire. Troublant. Depuis l'explosion du Conclave, Cullen n'avait pas énormément fait preuve de joie. Les quelques heures de liesse avant la chute de Darse ne comptait pas, n'est ce pas ? Ils avaient vendu la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Peut-être était-ce la rareté de la chose qui faisait que Lynne aimait ça ? Après tout, certains disaient que les femmes adoraient les bijoux d'or rares, les pierres précieuses et les parfum exotiques. Mais... Est ce que Lynne était vraiment comme ça ?
La chose qu'il préférait le plus chez la mage était sa simplicité. C'était une femme du monde, et elle avait la tête sur les épaules. Contrairement à ces orlésiennes insupportables, elle se contentait de peu. L'ordinaire l'embelissait, mais elle rendit exquis l'ordinaire.
Il vit l'espoir dans les yeux de la mage quand elle fit sa proposition. Mais le destin faisait en sorte qu'il ne pourrait être là. Demain, il devait examiner les rapports des éclaireurs de la porte du ponant, éplucher les archives des anciennes forteresses de Férelden pour détecter de potentiels lieux de failles, écouter les conseils sans fin de maîtres d'armes qui questionnait ses entraînements. Son sourire se tordit, se préparant à annoncer la mauvaise nouvelle :
"Bien sûr, j'adorerais revenir. Je n'ai rien demain, de toute fa-"
Que ? Quoi ? Pourquoi avait-il dit-ça ? Oh, Créateur. Son coeur avait été plus rapide que son esprit. C'était la première fois que cela lui arrivait. D'habitude, il se targuait d'avoir un ferme contrôle sur ses émotions, laissant toujours sa logique pure le guider. Mais là... Il venait de s'engager. Il ne pouvait absolument pas décevoir Lynne alors qu'il lui avait promis de venir.
"Oui, je pourrais absolument venir. C'est un rendez vous, alors ?"
La chose qu'il préférait le plus chez la mage était sa simplicité. C'était une femme du monde, et elle avait la tête sur les épaules. Contrairement à ces orlésiennes insupportables, elle se contentait de peu. L'ordinaire l'embelissait, mais elle rendit exquis l'ordinaire.
Il vit l'espoir dans les yeux de la mage quand elle fit sa proposition. Mais le destin faisait en sorte qu'il ne pourrait être là. Demain, il devait examiner les rapports des éclaireurs de la porte du ponant, éplucher les archives des anciennes forteresses de Férelden pour détecter de potentiels lieux de failles, écouter les conseils sans fin de maîtres d'armes qui questionnait ses entraînements. Son sourire se tordit, se préparant à annoncer la mauvaise nouvelle :
"Bien sûr, j'adorerais revenir. Je n'ai rien demain, de toute fa-"
Que ? Quoi ? Pourquoi avait-il dit-ça ? Oh, Créateur. Son coeur avait été plus rapide que son esprit. C'était la première fois que cela lui arrivait. D'habitude, il se targuait d'avoir un ferme contrôle sur ses émotions, laissant toujours sa logique pure le guider. Mais là... Il venait de s'engager. Il ne pouvait absolument pas décevoir Lynne alors qu'il lui avait promis de venir.
"Oui, je pourrais absolument venir. C'est un rendez vous, alors ?"
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lle le regarda avec attention, guettant sa réponse : finalement, son sourire s'élargit quand il accepta finalement, bien qu'une légère interrogation demeurait quant à l'emploi du termes utilisé pour leur prochaine rencontre.
Lynne vint se rasseoir en face de lui, posant une cueillere près de la tasse de Cullen puis de la sienne.
" Je ... suppose, oui ? Cela dépend ce que tu entends par rendez-vous. " sourit-elle, s'efforçant à ne pas fuir son regard à nouveau. " Bien que je doute que l'activité elle-même soit très romantique."
La jeune femme semblait plaisanter, mais au fond d'elle, elle était dans l'incertitude : aussi demeura t'elle attentive à la réaction de son ami.
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